Mais qui sont donc ces mystérieux « anges des affaires » et comment les séduire ?
En 2013, ce réseau féminin a ainsi financé treize entreprises à hauteur de 590 000 euros.
Alter Eco (commerce équitable), Babyloan (microcrédit solidaire), ou encore Chaak (restauration rapide mexicaine) figurent à leur palmarès.
Tous les mois, les 86 adhérentes de Femmes Business Angels – des cadres supérieurs, chefs d’entreprise, professions libérales prêtes à investir une part de leur patrimoine dans des start-up innovantes sous forme de prise de participation au capital – sont conviées à étudier « les quatre à cinq projets qui ont été préalablement sélectionnés en petit comité pour être présentés à cette séance plénière, sur la trentaine de dossiers que nous recevons mensuellement », explique Agnès Fourcade, coprésidente de l’association.
Les réseaux de business angels (investisseur dans une entreprise innovante) se sont multipliés ces dernières années. Au total, il en existe 82 aujourd’hui en France, soit 4 292 particuliers investisseurs, selon France Angels, leur fédération.
En 2013, ils ont investi 41 millions d’euros (contre 44,5 millions d’euros en 2011) auprès de 370 start-up de tous les secteurs, pour un montant global de financement de 120 millions d’euros grâce à l’effet de levier provoqué auprès d’autres investisseurs.
Sans compter tous les business angels « solitaires » (hors réseaux), plus de 3 200, selon Benjamin Bréhin, le directeur des opérations de France Angels.
Source : Le Monde | 05.02.2015 | Léonor Lumineau Pour lire la suite : http://www.lemonde.fr/emploi/article/2015/02/05/dans-les-coulisses-des-anges-des-affaires_4571073_1698637.html
Le financement participatif est en plein boom. Au premier semestre 2014, plus d'un million de contributeurs et 66,4 millions d'euros ont été collectés sur les plateformes de crowdfunding françaises, soit deux fois plus qu'en 2013.
Panorama des plus incontournables en France et aux USA.
> Lire la suite http://www.ecommercemag.fr/Thematique/solutions-1011/plateforme-10051/Diaporamas/les-principales-plateformes-crowfunding-249570/ulule-1er-site-financement-participatif-europeen-249571.htm?IDInfoPartie=3626&utm_source=ECVB_13_01_2015&utm_medium=e-mail&utm_campaign=newsletter&XType=XTM&isn=13/01/2015
Myriam KISS. Anild 01/2015
Concevoir des objets dans des fab labs, échanger ses compétences professionnelles, troquer du matériel de bureau et même partager le pouvoir avec les salariés...
L'entreprise découvre de nouveaux modes de fonctionnement. Et gagne en créativité.
Même si le malaise des cadres et le stress sont des réalités - très médiatisées - dans l'entreprise en France, il existe aussi un autre visage de la vie au travail. Celui de l'entraide et de la solidarité.
1 - L'essor des fab labs
Les entreprises manifestent un intérêt croissant pour les "fab labs", ces locaux ouverts où se rencontrer et concevoir des objets. Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont théorisé le concept de ces "laboratoires de fabrication" dans les années 2000.
Leurs maîtres mots ? Open source, collaboratif ou encore doityourself. Un dialecte réputé mal maîtrisé par les entreprises, a fortiori industrielles. Et pourtant, dix ans plus tard, des groupes de l'aéronautique (Snecma, Safran, Airbus), de l'automobile ou de l'électroménager (Seb) ont tenté l'aventure.
"L'innovation collaborative s'accélère depuis deux ans, constate Muriel Garcia, présidente d'Innov'Acteurs, association d'organismes engagés dans la démarche.
L'intérêt que la société porte à l'entraide prend corps dans les entreprises. Certaines vont jusqu'à créer des lieux dédiés, dont les fab labs font partie."
En février 2014, Airbus a inauguré son "Protospace", un atelier ouvert doublé d'un espace de travail collaboratif. Objectif : permettre aux salariés de tester rapidement leurs idées, sans les contraintes financières et administratives d'une commande de prototype.
S'y croisent ingénieurs et techniciens. "L'un d'eux a par exemple conçu un outillage qui réduit le temps d'installation des sièges dans les avions", explique Alain Fontaine, vice-président en charge des technologies émergentes dans le groupe aéronautique.
Sans l'appui du fab lab, le projet aurait mis des mois à voir le jour. Des matériaux en libre accès, mais surtout un climat bienveillant, rendent possible le prototypage express. "Le salarié ne doit jamais se sentir jugé.
Aucune idée n'est considérée comme sotte, insiste Alain Fontaine. Les personnes ont parfois du mal à les verbaliser mais ici, elles les mettent directement en pratique. On voit très vite ce qui fonctionne…..
2 - Les vertus du coworking
Signe des temps, certaines organisations partagent désormais leurs locaux dans un état d'esprit qui dépasse le simple désir de mutualiser des bureaux pour faire des économies.
Porte de Clichy par exemple, le Beeotop s'étend sur 6500 mètres carrés. Réaménagé par Generali en 2013 afin de créer un lieu de travail fertile à l'engagement sociétal, l'immeuble abritera bientôt 500 personnes. Espace de coworking et salle d'événementiel se partagent le rez-de-chaussée.
3 - Des échanges de savoirs
Une montagne de fournitures occupe la salle des conférences de la Caisse régionale d'assurance maladie, avenue de Flandre, à Paris, ce 1er avril 2014.
A l'occasion de la semaine du développement durable, l'organisme a voulu tester un "troc des secrétariats". A sa grande surprise, 250 des 1000 agents ont joué le jeu….
5 - Partager le pouvoir
Une révolution des esprits, c'est aussi ce que doivent accomplir les entreprises tentées de partager le pouvoir avec les salariés.
Première à avoir parié, dès les années soixante-dix, sur un management par la confiance, la fonderie Favi est devenue un cas d'école des sociétés "libérées", analysées par Isaac Getz et Brian M. Carney dans "Liberté & cie, Quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises"(Fayard). Le modèle a essaimé depuis, comme chez Lippi (Charente). …
Source : Alexia Eychenne et Anne-Sophie Novel, 13/10/2014
Coup de chapeau :
Frenchweb vous propose aujourd’hui de décourvrir HelloAsso, une plateforme de financement participatif pour les Associations. Plus de détails avec Léa Thomassin, co-fondatrice.
Source : 05/2014 - Lire l’article sur http://frenchweb.fr
« les plateformes françaises ont le potentiel de devenir des leaders europe?ens »
La plateforme de financement participatif pour investir en capital dans des entreprises, SmartAngels, vient de lever 1 million d’euros auprès d’Elaia Partners, Idinvest, XAnge et d’une douzaine de business angels.
Parmi ces derniers, on retrouve notamment Xavier Niel, Jacques-Antoine Granjon, Marc Simoncini ou Pierre Kosciusko-Morizet. Une opération pour laquelle la jeune pousse créée en 2012 a été accompagnée par Avolta Partners.
L’entreprise avait initialement démarré ses recherches en janvier dernier. « Finalement, ce fut assez rapide, il nous a fallu quelque mois pour trouver plus que ce que nous recherchions au départ, soit un montant entre 500 000 euros et 1 million » explique Benoit Bazzocchi, le fondateur.
« Cet investissement va nous permettre de développer la société de manière très forte et d’amorcer notre internationalisation avec l’Europe en ligne de mire. La France a clairement pris un temps d’avance et les plateformes françaises ont désormais le potentiel de devenir des leaders européens du financement participatif » ajoute-t-il.
Pour cela, la jeune start-up prévoit de renforcer ses effectifs avec le recrutement de 5 à 10 personnes supplémentaires dans les 6 à 18 prochains mois.
Les profils visés correspondent aux besoins de l’entreprise, à savoir essentiellement des développeurs informatiques, des spécialistes du webmarketing et des profils financiers pour le « sourcing » des dossiers…
« SmartAngels va permettre la création d’un grand réseau de confiance permettant aux énergies créatrices de certains de toucher le plus grand nombre de micro-investisseurs passionnes par l’aventure entrepreneuriale » selon Jacques-Antoine Granjon.
« Le crowdfunding equity est le financement des entreprises qui utilise enfin la puissance du web. [...] C’est un secteur qui va avoir un impact majeur sur l’economie, et pas seulement celle du web » ajoute Pierre Kosciusko-Morizet.
Face à l’engouement pour le financement participatif, de nombreux acteurs du secteur se sont récemment renforcés, notamment depuis la réforme présentée par Fleur Pellerin en février 2014 [le détail de la réforme dans notre article, ndlr].
WiSEED a ainsi levé 1 million d’euros il y a un an, et Anaxago a vu L’Accélérateur prendre une participation dans son capital.
Pour en savoir plus : https://www.smartangels.fr/homepage Source : Olivier Harmant | le 24 avril 2014 http://frenchweb.fr
Le OuiShare Tour c'est une tournée de 10 dates en région pour rencontrer des acteurs locaux de l'économie collaborative, échanger avec des collectivités locales mais aussi (et surtout) des membres passionnés de la communauté :
C'est est une communauté internationale composée d’entrepreneurs, journalistes, chercheurs, designers, activistes et citoyens oeuvrant pour le développement de l’Economie Collaborative, structuré en un réseau global de hubs locaux (Paris, Berlin, Barcelone, Rome, Londres, Bruxelles, …) lui permettant d’agir au niveau global, avec un média en ligne collaboratif, et au niveau local sur décembre 2012 en France par l’organisation d’événements et l’interconnexion du tissu local des acteurs de cette nouvelle économie.
Lancé en Janvier 2012, OuiShare compte 400 membres dans 20 pays d’Europe, Amérique du Nord et Amérique Latine contribuant en anglais, français et espagnol.
Pour suivre le OuiShare Tour, un voyage en France via :
-Compte Twitter : @OuiShare_Fr / ou via #OSTour
On compte sur vous pour diffuser le message !
Les Islandais ont voté en faveur d'une Constitution écrite par 25 individus ordinaires qui cherchaient une entrée de la foule dans les décisions.
Le résultat du vote, cependant, est non contraignant, ce qui signifie que la Constitution Crowdsourcing peut-être la base pour un projet rédigé par le gouvernement, qui devrait être finalisée à la mi-2013.
Myriam KISS. Anild 10/2012
Source : http://www.crowdsourcing.org/editorial/icelanders-back-crowdsourced-constitution/20548
Emprunter ou épargner, tout en sachant que les projets financés sont solidaires et durables.
C'est l'idée de Quentin Brackers de Hugo, fondateur de la société "Spear".
C'est une révolution. Le 5 avril 2012, le président américain Barak Obama signait à la Maison-Blanche, le Jobs Act, un plan de relance doté de plus de 400 milliards de dollars destiné à stimuler l'emploi aux Etats-Unis.
Parmi les mesures adoptées figure un programme visant les start-up, qui peuvent désormais se tourner plus largement vers des investisseurs en ligne pour trouver des capitaux.
Un pied de nez aux banques ? Pas seulement. Car le crowdfunding (littéralement " financement par la foule ") est en passe de devenir un véritable business modèle.
Il connaît des réussites fulgurantes outre-Atlantique, comme celle de Kickstarter, une plate-forme de financement de projets créée en 2009 par deux entrepreneurs new-yorkais, qui a récemment permis à Eric Migicovsky, l'inventeur d'une montre connectée aux smartphones (Pebble Watch), de lever 10 millions de dollars (7,5 millions d'euros) auprès de 85 000 donateurs (ou pré-acheteurs). Et ce, avant même que le créateur ait lancé la production !
Avec le Jobs Act, les entreprises de crowd-funding américaines sont en mesure de lever jusqu'à 50 millions de dollars en actions auprès de 1 000 actionnaires.
Dix fois plus qu'en France, où le secteur souffre encore d'un cadre réglementaire contraignant (mais sécurisant pour l'épargnant).
Le Medef lui-même, par la voix de sa présidente Laurence Parisot, est monté au créneau il y a quelques semaines pour demander au nouveau gouvernement de permettre le financement des entreprises de l'internet par des particuliers via la Toile.
D'ores et déjà, les plate-formes de crowdfunding sont de plus en plus nombreuses en France. Elles font appel à la foule aussi bien pour financer un album musical, qu'un prêt ou qu'une start-up.
Ulule, un des acteurs majeurs du secteur, propose aux internautes de cofinancer des projets humanitaires.
Babeldoor joue davantage la carte sociale et solidaire, tandis que KissKissBankBank développe des partenariats d'image, par exemple avec le journal "Le Monde" ou "La Banque Postale", pour diversifier ses revenus.
" C'est important de s'ouvrir au B to B", précise Vincent Ricordeau, cofondateur de KissKissBankBank.
Pour que le modèle soit pérenne, il faut être très créatif, aller chercher des fonds ailleurs et surtout proposer une vision très locale du business. " Tous ces sites se rémunèrent en prenant une commission (de 5 à 10 %) sur les sommes collectées.
Ayant obtenu 1 million d'euros depuis sa création en 2009, KissKissBankBank affiche un chiffre d'affaires de 300 000 euros en 2011 pour 700 projets présentés aux internautes, et un prévisionnel trois fois supérieur pour 2012.
Les prêts entre particuliers
Né au début des années 2000 aux Etats-Unis, le crédit entre particuliers ou crédit « peer to peer » a connu un développement rapide dans le monde anglo-saxon.
Des sites comme le britannique Zopa ou les américains Prosper et Lending Club délivrent chaque mois l'équivalent de plusieurs dizaines de millions d'euros de prêts.
Pourtant, en France, le financement de projets en direct tarde à s'imposer dans le paysage. La faute à un encadrement législatif plus strict. En effet, seules les banques sont autorisées à collecter de l'épargne et à accorder des prêts.
Pour délivrer des crédits, les sites doivent donc s'appuyer sur un établissement bancaire ayant pignon sur rue, ou obtenir un agrément délivré par l'Autorité de contrôle prudentiel (ACP), bras armé de la Banque de France.
" Prêt d'Union, Spear et FriendsClear sont les trois sites français qui se partagent ce marché innovant mais encore balbutiant ", détaille Thierry Dinard, auteur d'une étude sur les innovations en matière de services financiers.
Chaque site a sa spécificité : Crédit à la consommation pour Prêt d'Union, Prêt communautaire entre entrepreneurs pour FriendsClear et Financement de projets écologiques, culturels et sociaux en une coopérative pour Spear.
" Si les modèles divergent, tous témoignent d'une réelle tendance à la désintermédiation", complète Thierry Dinard. Une désintermédiation à laquelle s'ajoute la volonté de redonner sens et transparence au placement de son épargne.
Dans ces structures de paiement entre particuliers, les contrôles sont stricts, les risques calculés.
Spear s'est adossée au Crédit Municipal de Paris (CMP Banque), qui se porte garant et assume les éventuelles pertes.
Quant à FriendsClear, il s'appuie sur le Crédit Agricole et l'emprunteur s'engage, en cas d'échec du projet, à rembourser ses mensualités.
Le financement d'entreprises
Vincent Ricordeau le reconnaît aisément : " En France, l'argent est un problème. " Un problème culturel plus précisément, quand on regarde ce qui se passe aux Etats-Unis ou en Angleterre.
En Grande-Bretagne, on recense 40 000 business angels alors qu'ils ne sont que 5 000 en France.
Les start-up françaises souffrent cruellement de l'absence de fonds propres.
C'est pourquoi l'idée de faire appel au crowdfunding pour lever des fonds fait son chemin.
Dans l'Hexagone, le pionnier s'appelle Wiseed (2009). L'idée de son fondateur, Thierry Merquiol, était de proposer aux épargnants français de participer à une aventure entrepreneuriale. " Mais investir c'est aussi pouvoir décider ", déclare Joachim Dupont, fondateur d'Anaxago, un site de crowdfunding lancé en février 2012, spécialisé dans le financement de start-up innovantes.
Wiseed a opté pour un segment de levées de fonds inférieures à 100 000 euros. Anaxago se positionne sur l'étage supérieur à partir de 300 000 euros. L'entreprise prend 5 % de commission côté entreprises, plus des frais côté particuliers.
Comme KisskissBankBank, elle est soucieuse de trouver d'autres sources de revenus.
Pour faciliter son développement en France, le crowdfunding va devoir casser des barrières fiscales et administratives.
Le président de la République, François Hollande, souhaitait pendant la campagne " mobiliser davantage l'épargne des Français ". Les start-up n'attendent que ça.
CrowdfundIntermediary Regulatory Advocates
Ce que dit la loi
Articles L. 411-1 et L. 411-2 du Code monétaire et financier Si le financement d'entreprises par des particuliers est légal en France, il est très encadré.
Le crowdfunding opte ainsi pour des holdings de prise de participations. La loi impose un maximum de 99 actionnaires au capital.
Ce nombre doit être augmenté à 150 le 1er juillet 2012. Les dirigeants d'une plate-forme doivent fournir une information détaillée aux investisseurs potentiels, dans la limite de 99 documents, ce qui les contraint à exercer une sélection drastique des investisseurs potentiels.
C'est ce cercle restreint d'investisseurs qui définit le montant minimum de l'investissement. Ainsi, pour une entreprise cherchant 1 million d'euros, l'investissement minimal sera de 10 100 euros.
Myriam KISS. Anild 06/2012 - Source : lentreprise.com
Web et high-tech
Mais à la différence de ce qui se passe chez My Major Company, ici l'internaute n'est pas "producteur".
Non, ce n'est pas une banque. "Kisskissbankbank, c'est un lieu de rencontre.
Vous avez une idée, vous voulez aller au bout, venez exposer votre projet et faites-vous financer par la communauté", explique Vincent Ricordeau. A la différence de ce qui se passe chez My Major Company, ici l'internaute n'est pas "producteur". Il n'est donc pas commissionné sur les ventes mais, en contre-partie de son investissement, reçoit des contenus inédits du projet soutenu.
Un disque dédicacé, une photo tirée d'un reportage, son nom ou celui de sa société associé au générique. "Je pense qu'avec internet le sponsoring et le mécénat culturel sont des moyens de financer la création sous toutes ses coutures. Il faut juste que les différentes parties se rencontrent", précise l'ancien vice-président de Sportfive. En un an, le site a reçu près de 1 000 projets.
Deux cents ont été présentés à la "foule" pour une collecte totale de 250 000 euros. Le business model repose (pour l'instant) exclusivement sur la commission de 10 % que perçoit le site sur l'enveloppe collectée.
Conforté par le succès de sites étrangers comme Kickstarter aux Etats-Unis (600 000 membres, 22 500 projets soutenus pour 55 millions de dollars collectés), Vincent Ricordeau n'envisage pas de vendre sa solution en marque blanche.
En revanche, il songe fortement à développer le sponsoring avec des marques. "Nous venons de signer un partenariat de trois ans avec La Banque postale. La banque sponsorisera des projets à auteur de 50%", explique l'entrepreneur, qui souhaite à terme développer avec son site le mécénat culturel d'entreprise. Kisskissbankbank
La présidente du Medef Laurence Parisot a annoncé 3/05/2012 que son organisation patronale proposerait au prochain gouvernement d'introduire en France le "crowd funding" afin de permettre le financement des entreprises de l'internet par des particuliers via la toile.
"Nous allons au Medef proposer une modalité qu'on appelle aux Etats-Unis le crowd funding", a-t-elle déclaré dans un entretien accordé au Journal du Net. "C'est-à-dire que nous voulons que tout entrepreneur puisse via internet s'adresser à des quantités d'investisseurs même modestes qui pourraient online mettre quelques milliers d'euros dans l'entreprise" a-t-elle expliqué.
Selon Mme Parisot, ce projet serait, pour des Français "qui ne connaissent pas les nouvelles entreprises du web, une façon d'y accéder, d'en devenir même partie prenante via cet actionnariat modeste et démultiplié".
"Le Medef va porter ce projet et présentera au nouveau gouvernement de F. Hollande cette idée nouvelle comme axe de développement de l'entreprenariat du net en France", a affirmé Mme Parisot .
Le crowdfunding est déjà en vogue en France : en 2011, il a permis de rassembler 6 millions d'euros pour financer 15 000 projets innovants. Pour ce qui est des entreprises, certains acteurs de la finance participative avaient attirés l'attention des candidats à la présidentielle sur ce nouveau mode de développement et de financement.
Myriam KISS. Anild 06/2012 - Source : L'Expansion.com avec AFP
Larry Namer
- Entertainment and media entrepreneur.
- Founder of E! Entertainment Television, a company now valued at over $3.5 billion USD.
- Creator of successful companies in the United States, Russia/Europe and China.
- Currently President and Founder of Metan Development Group, a premier China-focused media, entertainment and technology company with its head office in Beijing.
Adam Chapnick
- Principal at IndieGoGo, where he also serves as CEO of Distribber.com, the new-model which allows independent filmmakers to keep 100% of their revenue.
- Vice President of the Board of Directors of the International Documentary Association
- Has been recently named as one of “19 Brave Thinkers in Independent Film” by uber-producer Ted Hope’s Truly Free Film blog.
Carl Esposti
- CEO of massolution - an advisory, data and research firm specializing in the design and implementation of enterprise crowdsourcing and crowdfunding models.
- Founder of Crowdsourcing.org - one of the most influential and credible authorities in the crowdsourcing and crowdfunding space. Crowdsourcing.org is recognized worldwide for its insights, opinion and thought leadership.
Howard J. Leonhardt
- Serial entrepreneur, inventor, investor and the Startup California state spokesperson on the JOBS ACT and Crowdfunding.
- Has founded 20 companies to date including The California Stock Exchange www.calstockexchange.com, one of the leading equity crowdfunding portals.
- Serves on a number of Crowdfunding Professional Association boards.
- Has 20 U.S. patents; his inventions in the biomedical field have treated over 140,000 patients in 60 countries.
Eric Jackson
- Co-founder and CEO of CapLinked.com; hailed as “the go-to place for setting up and closing deals” by WSJ.
- Former Senior Director of Paypal.
- Since launching to the public in February 2011, CapLinked has grown to $25 billion in deals;
Luan Cox
- Co-Founder and CEO of Crowdnetic – an organization that builds innovative tech for the crowdfunding industry.
- Operates two crowdfunding sites - GreenUnite.com and HelpersUnite.com.
- Luan currently serves on the Boards of the Crowdfunding Intermediary Regulatory Advocates (CFIRA), the Crowdfunding Professional Association (CfPA) and is a founding council member of the Crowdfunding
Accreditation for Platform Standards (CAPS) program.
Ash Kumra
- Recognized by the White House as one of the top 100 young entrepreneurs making an impact for America
- Currently co-founder of DreamItAlive.com - an online community dedicated to guiding people to create, believe and live out their dreams using virtual dream boards.
- Co-leader for the Startup California Team for White House.
- Chairman for Southern California based Tech Coast Venture Network.
Ed Sauve
- Senior advisor for the Global Financial Services Group of Silicon Valley Bank.
- 20 plus years of commercial banking experience including provision of credit and delivery of a wide variety of financial services to small business, middle market, institutional and multi-national companies.
Rick Smith
- Venture capitalist
- Managing Director of CrossCut Ventures, seed-stage venture capital firm looking to invest $250,000 - 1,000,000 in early-stage companies with great growth potential.
- Has led the investments in over a dozen companies that have been sold or gone public.
Jon Funk
- Has been a venture capitalist for 20 years.
- Directed first-round investments in numerous startups, including LA-area top successes Sandpiper Networks, Rent.com and Shopzilla.
- Currently involved in the founding of Ocean Road Partners.
Victor Parker
- District Director of the Small Business Administration (SBA), Los Angeles District Office since 2011.
- Prior to joining the SBA, Victor worked in various capacities as a small business manager and corporate executive for nearly 20 years.
Brock Pierce
- Serial entrepreneur and investor, best known for pioneering the market for virtual goods in online game.
- Has started or acquired more than 30 businesses and secured more than $200 million of funding on behalf of his companies.
- Currently is a Managing Director of the Clearstone Global Gaming Fund, CEO of Playsino, and sits on the boards of IMI Exchange, Xfire, Spicy Horse Games and Evertune.
Monica Dodi
- Venture Capitalist and new media pioneer.
- Co-Founder and Managing Director of The Women's Venture Capital Fund, focused on early stage women led new ventures in digital media and sustainability.
- Over 20 years experience building successful media companies in Europe and the U.S.
David Carter
- Serial entrepreneur and angel investor.
- Has funded numerous companies including Caplinked, Ecomom, CrimeReports and others.
- Co-founder of one of the leading incubators in California - Amplify LA.
Alex Barkaloff
- Executive, innovator and entrepreneur in the field of media, social game and mobile applications.
- Currently is an Executive Director (Digital Media) of Lions Gate.
- Manages all US and EMEA business development activities for Reliance and Playtone.
Dennis Adamo
- Serial entrepreneur and adviser for US and Russia/CIS based companies in digital media.
- Founder of many successful companies including Pseudo Programs Inc., Venturehighway.com and Wicked Wireless.
- Currently resides in Moscow, Russia and advises innovative companies like Yahoo! and many other pioneering companies in the Infrastructure, Energy, Internet and Financial services industries.
Gunjan Bagla
- Entrepreneur and adviser for U.S. and India based companies.
- On executive team at venture-funded startups, including idealab's PeopleLink, and Dynamics Direct.
- President of Indian Institute of Technology Alumni Group.
- Author of Doing Business in 21st Century India.
Daniel Gorfine
- Director of Special Projects and Legal Counsel at the Milken Institute, a leading Californian think-tank (Washington, D.C., office)
- Convened and moderated a high-level roundtable discussion on securities crowdfunding and Title III of the JOBS Act in Washington in July, 2012.
- Co-authored recent report on securities crowdfunding, and frequent contributor on economic policy matters.
Igor Taber
- Director at Intel Capital (Russia office) with focus on investments in e-commerce, enterprise software, mobile and digital media.
- Serves on the Board of Russia Venture Capital Association.
- Has invested and serves on the boards of KupiVIP (E-commerce), Ozon (E-commerce), Altergeo (mobile), DeNovo (enterprise data center and cloud provider), etc...
Chance Barnett
- Serial entrepreneur; Co-Founder & CEO of Crowdfunder.com, a platform that enables businesses to raise equity and revenue based financing.
- Forbes Contributor on Start-ups and Crowdfunding.
- Best-selling author & speaker for the area of personal development and entrepreneurship.
Mike Colosimo
- Co-Founder and CEO of thrdPlace. The first platform to unite for-profit, non-profit and individuals to collaborate to build their shared communities.
- Board Member of Campathos Org, Biomicry LA, Pacific Cities Sustainability Initiative.
- Has been a leader in community development and grassroots organization across the United States.
T. Hale Boggs
- Partner in the Venture Capital & Emerging Companies practice at Manatt, Phelps & Phillips, LLP.
- Specializes in VC and other equity and debt financings, equity compensation matters, SEC reporting and disclosure, intellectual property licensing, complex corporate partnering transactions, corporate governance and protecting and distributing technologies and products both domestically and internationally.
Sandro Monetti
- Internationally acclaimed journalist, author, BBC broadcaster and TV host;
- Host and creator of One Man Show "Clooney, Cowell, Pitt and Me: Amusing Encounters with the A-List"
- Co-Chair of Global Strategic Group, Los Angels Venture Association (LAVA)
Victoria Silchenko, Ph.D.
- Producer and Organizer of Metropole Global Forum 2012, Founder and CEO of Metropole Capital Group providing capital formation advisory services to startups and VC backed companies through the U.S. and Russia/Europe.
- Chair of Global LAVA Group and LAVA Board Member (Los Angeles Venture Association)
- Previously worked at the Milken Institute managed by Michael Milken and directly with Dr. Arthur Laffer, former economic advisor to President Reagan.
Sergio Fernandez de Cordova
- Serial entrepreneur and investor, co- founder of Innovators Fund, the Public Foundation and Fuel Outdoor Advertising, a multimillion dollar company.
- On the Board of the United Nations Foundation's Global Entrepreneurs Council, Co-chairman of the World Energy Forum's Next Generation Energy Leaders, Co-Chair G8 Young Summit 2012.
- On the board and/or advises over 10 media related companies, such as DELL EIR, Cross Commerce Media and others.
Howard Marks