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L’engagement selon les réseaux sociaux et la tailles des pages et profils
Les caractéristiques de l’engagement sur les réseaux sociaux ne sont pas les mêmes selon les réseaux et la taille des pages.
Quintly, spécialiste des social media analytics s’est penché sur plus de 150 000 pages et profils Facebook, Instagram et Twitter de 1 à plus de 10 000 000 de fans / followers afin de donner des datas précises en termes de posts / jour et en termes d’engagement moyen. Voici les principales informations de l’étude :
Nombre moyen de posts par jour selon la taille des pages
Les pages Facebook, comptes Twitter et Instagram postent très peu quand ils ont une petite fanbase (0-1K).
Au contraire, les pages et comptes entre 1 et 10 millions postent le plus : 22 tweets par jour, 7,8 posts Facebook et 2,63 posts Instagram en moyenne par jour.
Source du 29/07/2015 http://www.blogdumoderateur.com/
Pour télécharger l’étude : Happy Analyzing! Contact us for more information or to setup a custom metric for you: http://quint.ly/start_trial_now To keep up-to-date, follow us on Twitter @quintlyapp
http://fr.slideshare.net/quintly/social-media-benchmarking-study-51007774
En direct de San Francisco
Les 3 catégories du social média marketing
| A l'occasion de LiNC'15, la conférence annuelle de Lithium/Klout, Nate Elliott, de Forrester, a détaillé les trois types de social media marketing à prendre en compte pour une stratégie marketing efficace. > Lire la suite |
Facebook Opens a Paris Lab
as AI Research Goes Global
Facebook is opening a new artificial intelligence lab in Paris after building a dedicated AI team that spans its offices in New York and Silicon Valley.
The New York University professor who oversees the company’s AI work, Yann LeCun, was born and educated in Paris.
Pour lire la suite : http://www.wired.com/2015/06/facebook-opens-paris-lab-ai-research-goes-global/
Facebook ou la contagion émotionnelle
Le réseau social s'est livré à une expérience de manipulation à l'insu de ses utilisateurs.
Un phénomène fascinant par lequel des émotions et des points de vue peuvent se transmettre aux groupes et aux foules.
Facebook et des chercheurs viennent de le tester sur presque 700 000 personnes.
L'expérience est simple : quand des utilisateurs reçoivent moins d'informations négatives, ils postent moins de commentaires négatifs et vice-versa. La contagion émotionnelle, par laquelle on peut manipuler et induire des états émotionnels durables dans une population, a donc été testée sur le réseau social, suscitant nombre de réactions....
Cette expérience est aussi intéressante qu'inquiétante. Il est en effet possible à Facebook d'orienter les émotions de ses utilisateurs pour faciliter l'émergence d'un état collectif, voir le passage à l'action. C'est la raison de l'interdiction par la Chine de Facebook, Twitter et Google....
On peut reprocher à Facebook ne ne pas avoir informé ses utilisateurs, mais l'entreprise n'était pas tenue de le faire puisque tout utilisateur du réseau, en acceptant ses conditions d'utilisation, lui cède le droit perpétuel d'utiliser son comportement sur le site comme celui d'un cobaye, et d'en revendre les résultats à des tiers.
Si Facebook n'a pas enfreint la loi ni la coutume, on peut considérer qu'il a enfreint l'éthique de l'expérimentation psychologique sur des sujets humains, rappelée dans la Déclaration d'Helsinki "Les sujets en question devant être informés de l'expérimentation dont ils font l'objet, de ses raisons et des risques possibles pour leur santé physique ou mentale".
Or, en exposant un échantillon d'utilisateurs aussi important à des nouvelles sélectionnées pour altérer leur humeur, Facebook et les chercheurs ont pesé sur l'état dépressif de certains. Cette pollution émotionnelle ne respecte pas le principe fondamental de la médecine : "En premier lieu, ne pas nuire".
Les utilisateurs de Facebook ont une double responsabilité. D'abord, ils sont signataires permanents des conditions d'utilisation du site, sachant qu'elles évoluent dans le temps. Ensuite, c'est par leur seul arbitre, bien que soumis à la pression intense de leurs pairs, qu'ils s'y connectent. C'est aussi par leur seul arbitre qu'ils se soumettent ou non à la contagion émotionnelle.
Source : Idriss J. Aberkane - Le Point n° 2184 du 24 juillet 2014
Etude comparative (bibliothèques de Paris)
La bibliothèque de la Canopée en projet (elle sera ouverte en 2015 au Forum des Halles à Paris 1er) a publié en juin 2014 une étude comparative sur les réseaux sociaux en bibliothèque de lecture publique voir en fin d’article (57 pages, consultable en ligne et téléchargeable) avec comme leitmotiv :
« Assurer une présence sur les réseaux sociaux est aujourd’hui incontournable pour les bibliothèques d’une certaine taille. Cette démarche permet de toucher un public étendu, d’assurer une médiation vers ses ressources et celles de ses partenaires, de développer la participation des usagers, et de montrer la connexion entre l’établissement et son quartier. »
En 2013, un travail similaire avait été effectué. Cette nouvelle étude de l’existant intègre de nouvelles plateformes étudiées : Flipboard, Issuu, Snapchat, Flipagram, Libfly tout en mettant à jour une évaluation des critères pour les 46 autres services en ligne déjà répertoriés.
Cette étude sur les réseaux sociaux sera aussi utile à des organisations de différentes tailles qui réfléchissent aussi à leur stratégie de présence en ligne sur les médias sociaux : bibliothèques bien sûr, TPE-PME, institutions et associations.
Tableaux d’analyse de réseaux sociaux
La grande originalité de ce document est de fournir un vaste panorama de réseaux sociaux (approche par types de médias) avec des tableaux récapitulatifs par types de critères d’utilité (fonctionnalités, modalités de production et de partage des contenus, ergonomie…). Un dossier pourvu de nombreux commentaires : un travail de titan marquée de patience!
Un classement par types de réseaux sociaux détermine les plateformes les plus en adéquation avec un objectif de communication pour une bibliothèque.
4 types de critères pour analyser les réseaux sociaux
Les publics utilisateurs du réseau social : quels utilisateurs et quels usages
La bibliothèque : quels usages ? Quelles possibilités offre une page institutionnelle ?
L’interaction entre les publics et la bibliothèque : quelles conditions d’utilisation du réseau social ? Quelle est l’image publique du réseau ?
Quels sont les éléments marquants du réseau identifiés
8 types de réseaux sociaux analysés
Les « Facebook » : Facebook ; Google+ ; Friendster ; Tagged ; Bebo ; Netlog ; Skyrock ; Hi5 ; Peuplade (Paris).
Les « Twitter » : Twitter ; Identi.ca ; Path ; Reddit ; Pheed.
Partage de d’image, photo et vidéo : Instagram ; Flickr ; YouTube ; DailyMotion ; Vimeo ; Vine ; Snapchat ; Flipagram.
Musique : Myspace ; Spotify ; Deezer ; Grooveshark ; Soundcloud ; Mupiz ; Music me.
Etude comparative sur les réseaux sociaux en bibliothèque de lecture publique
http://www.netpublic.fr/2014/07/50-reseaux-sociaux-analyses-etude-comparative/
Myriam KISS. Anild 07/2014
Depuis l’avènement du web social et la « prise de pouvoir » relative par les consommateurs, on essaie de vendre aux marketers de la visibilité gratuite.
Et puis en 2014, on vous annonce que le Earned Media n’existe plus, que la visibilité naturelle sur Facebook s’approche de plus en plus de 0 et puis d’ailleurs que Facebook va peut être disparaitre, que Twitter ne sera jamais un outil grand public et qu’il est majoritairement utilisé comme un portail d’informations, bref…qu’en réalité tout cela est une erreur.
Oui le monde du web social se resserre à travers des acquisitions avec en tête en pont Facebook, Google et Twitter qui rachètent à tour de bras en particulier dans l’analyse des données.
Non Facebook n’est pas mort et reste la plateforme privilégiée pour le moment mais il est certain que les jeunes lui préfèrent largement les réseaux photos et autres réseaux de chat (ce n’est pas pour rien que Facebook a acheté l’un et l’autre à travers Instagram et What’s app).
Non Twitter ne deviendra sans doute jamais une plateforme grand public mais les personnes qui y sont actives (pas la majorité donc) sont néanmoins importantes et pour beaucoup d’entres eux, Twitter est leur réseau social favori.
Oui comme le souligne la dernière étude de Forrester, Google Plus est de plus en plus (vraiment) utilisé et génère plus d’interactions que Twitter aujourd’hui.
http://blogs.forrester.com/nate_elliott/14-03-31-why_every_marketer_should_use_google_plus
Pour lire l’article complet : http://frenchweb.fr/les-gurus-du-social-media-vous-ont-menti-on-fait-quoi-maintenant/148949?utm_source=FRENCHWEB+COMPLETE&utm_campaign=8a0855546e-FrenchWeb_PM_16_04_2014&utm_medium=email&utm_term=0_4eb3a644bc-8a0855546e-106188826
Myriam KISS. Anild 07/2014
Le baromètre Emploi et Réseaux Sociaux du mois de mai, lancé par RegionsJob et Bringr, vient de sortir ! Ce mois-ci, nous nous sommes particulièrement intéressés au traitement du sujet « formation » sur la toile (Twitter, Facebook, Google Plus, Youtube, Instagram…).
De l’orientation à la gestion de carrière, se former représente un enjeu de taille tout au long du parcours professionnel. Aussi, afin de comprendre ce qui préoccupe les internautes en la matière, nous avons analysé quatre grandes thématiques : l’enseignement secondaire, l’enseignement supérieur, la professionnalisation et la formation continue. Voici les résultats.
Top 10 des sujets formation abordés
N°1 : professeurs/enseignants – 199 157 messages
N°2 : lycée – 101 457 messages
N°3 : stage/stagiaire – 74 858 messages
N°4 : collège – 43 013 messages
N°5 : Bac – 41 225 messages
N°6 : alternance (contrat d’alternance et de professionnalisation) – 30 059 messages
N°7 : BTS – 20 684 messages
N°8 : Master – 13 341 messages
N°9 : fac (faculté, université, campus) – 11 002 messages
N°10 : diplôme – 10 397 messages
Les jeunes se lâchent sur la Toile
La thématique de l’enseignement secondaire est fort logiquement abordée avant tout par les jeunes. Après « professeurs », les termes « Bac », « lycée » et « orientation » comptent parmi les plus abordés.
On note que collégiens et lycéens, hyper-connectés, profitent des réseaux sociaux pour exprimer leurs déboires. Twitter devient notamment une sorte de journal intime servant à raconter leur quotidien à l’école et à se « lâcher » sur leurs professeurs…
Avec presque 200 000 messages en un mois, les mots clés « professeur », « enseignant » et « instituteur » sont les plus utilisés du baromètre formation de mai 2013.
Le BTS au Top
Dans le supérieur, on s’intéresse principalement au BTS (20 684 messages recensés sur mai) en gestion, communication et commerce notamment, ce qui correspond au moment de la préparation des épreuves du Bac.
La faculté (plus de 17 000 messages) a également suscité l’intérêt avec l’annonce d’une réforme universitaire par Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Les diplômes (10 397 messages) sont au centre des préoccupations, en particulier la licence avec 13 341 messages, largement devant le Master (8496), ou l’IUT/DUT (4010).
Du côté des parcours universitaires, on remarque que plus le niveau augmente, moins le nombre de messages est important.
Le stage, sujet à débat
La recherche « stage » regroupe près 75 000 messages en un mois, ce qui classe le sujet en troisième position des plus discutés du Baromètre formation. Pourtant il n’y a pas de quoi se réjouir car si les réseaux sociaux sont le lieu idéal pour diffuser une annonce de stage, le bad buzz n’est pas loin.
En effet, de nombreux messages pointent du doigt des offres considérées comme abusives et le ton employé est souvent ironique et satirique. De plus, l’annonce des députés de rendre les stages gratuits interdits a aussi rallumé le débat sur les réseaux sociaux.
Peu d’intérêt pour la formation professionnelle
Côté formation professionnelle (3100 messages en 1 mois), le débat est surtout d’ordre politique, entre UMP et PS notamment, on trouve peu de témoignages sur le sujet. De même, les sujets « DIF », « CIF » et « VAE » recensent peu de messages qualitatifs.
Ceux-ci viennent d’ailleurs de quelques experts en la matière et les vraies discussions concernant le DIF sont de préférence abordées sur Facebook.
Consultez l’intégralité de l’enquête ci-dessous ou téléchargez-la sur Regionsjob : Source : Priscilla Gout
Myriam KISS. Anild 06/2014
Le Comptoir : c'est le nom de l'incubateur parisien qui sera lancé en mars 2014 à destination des jeunes entrepreneurs de la région Ile-de-France.
. Énième accélérateur de création d'entreprise ? Pas vraiment :
le Comptoir est le premier à faire de la reprise d'entreprise le coeur de son activité.
Le nouveau visage du “startuper” ? Homme, expérimenté, diplômé… et heureux !
Dans 92% des cas, ces entrepreneurs de l’innovation se disent satisfaits de leur expérience, et s’affirment même à plus de 80% “dynamiques” et “passionnés”, selon le dernier baromètre de l’Atelier.
Faut-il alors se réjouir que cette vague d’enthousiasme se déferle sur l’immense chantier de la transmission d’entreprise ?
La transmission, enjeu vital pour l'économie et la société
Un tabou ? Aujourd'hui, plus de 6.000 entreprises disparaissent faute de transmission correctement anticipée.
C’est en tout cas la promesse de ce nouvel incubateur, le “Comptoir”, qui vise à donner aux entrepreneurs de 18 à 30 ans un environnement favorable au développement ou à la reprise d’entreprise.
En fournissant expertise, formations, accompagnement personnalisé et locaux, l’accélérateur, né de l’association du Comptoir de l’innovation, de la Fondation JP Morgan, de Moovjee et de la Seine Saint-Denis, souhaite s’attaquer au problème de la transmission d’entreprise afin de “créer et/ou conserver des emplois locaux durables”.
L’enjeu n’est pas des moindres : selon l’INSEE, 700.000 chefs d’entreprises partiront à la retraite dans les dix prochaines années, soit, en Île-de-France, un potentiel de 266 300 entreprises à reprendre, selon l’observatoire de la CCI de Paris. Et les départs à la retraite ne constitueraient qu’une moitié des cas effectifs de transmission.
Une autre étude du groupe BPCE dénombrait ainsi qu’au total, en 2011, au moins 13. 000 PME ont été cédées ou transmises, ce qui correspond à un potentiel de près de 1,5 million d’emplois.
Et alors que de nombreuses PME et TPE peinent à réussir leur fin de vie, ce sont une grande partie de ces emplois qui sont en danger, faute de repreneurs, sans parler des compétences, savoir-faire et talents menacées de disparaître.
> Lire aussi : Le boom de l’entrepreneuriat pour retrouver un emploi
“Kit transmission d’entreprise”
La donne est-elle en train de changer ? La transmission d’entreprise fait partie de la liste des étapes de la vie de l’entreprise que le gouvernement s’est engagé à faciliter, dans le vaste chantier “simplification” lancé en ce début d’année.
En décembre 2013, la ministre du tourisme, du commerce et de l’artisanat, Sylvia Pinel, avait déjà lancé un “kit transmission d’entreprise”, ainsi qu’un site dédié, transmettre-mon-entreprise.gouv.fr, afin de mettre à disposition des dirigeants de PME ou TPE “des informations pratiques concernant les dispositifs et structures pouvant les aider à céder leur entreprise”.
Suffisant pour profiter ce “potentiel négligé” pour l’emploi ?
Selon BPCE, le faible taux de renouvellement démographique, dans les bassins d’emploi peu dynamiques, rend la menace particulièrement tangible dans des régions telles que la Picardie, la Bourgogne ou Poitou-Charentes. Incubateurs de province, lancez- vous ! Source 01/2014 www.manpowergroup.fr
La « culture geek » ce n’est pas uniquement un iPhone 5, Google Chrome et des vidéos YouTube…
Elle est aussi fondée sur plusieurs livres, souvent de science-fiction, qui font figure de référence depuis l’apparition d’une culture informatique et par extension « geek ».
Voici donc une petite sélection complètement subjective d’œuvres à lire pour leur imbrication dans l’univers du web. Cette liste est non-exhaustive.
· Le guide du voyageur intergalactique - Douglas Adams
Sûrement le livre de la culture geek, The Ultimate Hitchhiker’s Guide to the Galaxy publié par Douglas Adams en 1979 est une perle de la science fiction et de l’humour absurde.
Il relate les aventure d’un humain embarqué dans un voyage rocambolesque à travers la galaxie.
Si vous voulez une idée de l’influence du livre dans la culture moderne, c’est de là que vient l’idée que 42 régit le sens de la vie.
Une référence qui sera reprise notamment dans Lost, Google, le jeu vidéo Spore, Open Office, XFiles, Stargate, Ubuntu, ou encore par Siri.
· Dune - Franck Herbert
Une épopée futuriste en 6 tomes de Franck Herbert mêlant SF, aventure, écologie, vers géants, planète désertique, et mythologie. La trame géopolitique et économique derrière l’intrigue est aussi prenante que géniale. Le personnage principal Paul Atréide se mue peu à peu en figure messianique et visionnaire à mesure que l’intrigue avance.
Une oeuvre complexe et belle à la fois qui a marqué son temps. Publié en 1965, le livre n’a pas pris une ride.
Dune est aussi connu pour avoir été « adapté » au cinéma en 1984 par David Lynch avec Sting dans le rôle principal. Le film est kitchissime mais fait partie des classiques de la SF.
· Le meilleur des mondes - Aldous Huxley
Grand classique s’il en est, Le meilleur des mondes (Brave New World) d’Aldous Huxley est une œuvre à lire impérativement. Cette contre utopie paraît en 1932.
Elle relate le fonctionnement d’une société mondiale et totalitaire régie par un système de castes.
Les êtres humains sont tous créés en laboratoire selon la caste à laquelle ils appartiennent.
Sexualité, théocratie, systèmes politiques, liberté…les thèmes abordés sont nombreux, et la trame de l’aventure rend le livre vivant et rythmé.
· Les chroniques martiennes - Ray Bradburry
Les chroniques martiennes est un recueil de nouvelles d’un des maîtres de la littérature d’anticipation, Ray Bradburry. Il a été publié en 1954.
Particulièrement bien écrite, cette fresque futuriste relate la colonisation de Mars par les hommes qui aura comme conséquence la disparition des martiens. Un livre phare.
· 1984 – George Orwell
Encore un classique, qu’on lit même à l’école, c’est dire… Le livre publié en 1949 est encore une fois une contre-utopie (ou une dystopie) qui fait figure de référence.
Le roman relate une société post guerre nucléaire régie par Big Brother. Un régime totalitaire qui reprend les grandes lignes de ce que l’on peut voir encore aujourd’hui. Et vu la propension des États à nous surveiller et à surveiller nos moyens de communications, l’œuvre d’Orwell est plus que jamais au goût du jour.
Pour la petite histoire depuis les révélations sur le scandale PRISM, les ventes de 1984 ont bondi de 7000% sur Amazon.
· 2001 : l’odyssée de l’espace - Kubrick
Avant d’être brillamment adapté sur grand écran par Kubrick, L’odyssée de l’espace est une suite de nouvelles et de livres écrits par Arthur C. Clark. Les 4 tomes couvrent une durée d’1 millénaires, de 2001 à 3001. Le premier tome est tout particulier puisqu’il s’agit d’une collaboration avec Kubrik.
On y suit les aventures du vaisseau Explore 1 et de son équipage à la recherche d’un mystérieux monolithe noir. Et bien sûr on y retrouve HAL 900, l’ordinateur le plus connu de la littérature et du cinéma.
· Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? - Philip K. Dick
Philip K. Dick est un des maîtres de la littérature d’anticipation. Il était difficile de choisir entre Ubik et « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? » dans cette sélection.
Ce dernier est sûrement le plus célèbre puisqu’il a été adapté par Ridely Scott au cinéma sous le nom de Blade Runner.
Le livre relate l’histoire d’un chasseur de droïdes dans un monde post catastrophe nucléaire. Derrière l’intrigue se cache une grande réflexion sur ce qui différencie l’homme de la machine. Vaste débat…
· Fondation – Isaac Asimov
Fondation est un livre d’Issac Asimov composé de 5 nouvelles parues entre 1942 et 1944.
Dans un futur très éloigné, un homme décide de conserver toute l’histoire et le savoir de l’humanité dans une fondation.
L’histoire reprend cette grande peur de l’humanité de perte de savoir et d’histoire face à la barbarie. Un must-read.
· Game of Thrones - Geoges R. R. Martin
Sûrement le livre qu’il y a le moins à présenter dans cette sélection. Mais si vous ne le saviez pas, avant dêtre une série à succès diffusée par HBO, Game of Thrones est une épopée écrite par Geoges R. R. Martin sous le titre de A Song of Ice and Fire.
Tous les éléments de la série sont évidemment présents. La parution a commencé en 1996 et déjà 5 tomes sur les 7 prévus sont publiés.
Un bon moyen de suivre les aventures des Starks et des Lannisters à Westeros sans devoir attendre la saison 4.
· Je suis une légende - Richard Matheson
Avant d’être un film (plutôt moyen), I am a legend est un roman de science fiction écrit par Richard Matheson et publié en 1954.
Le livre retranscrit l’aventure du dernier homme sur terre, Robert Neville, dernier survivant d’une grande pandémie. Et très sincèrement, ce livre vaut bien 10 fois le film qui en a été tiré.
Source : Fabian Ropars | http://www.blogdumoderateur.com/livres-culture-geek/
Cookit vous donne les ingrédients des grands chefs, Pixopolitan : faites décorer votre appart par les autres…Libsum, nouveau réseau social autour du livre…Zoom sur trois nouveaux sites.
Le site MyCookit vous permet de vous faire livrer à domicile une box contenant tous les ingrédients nécessaires à la réalisation d’une recette.
Le concept est simple : faites votre choix sur le site entre les 3 recettes proposées et le nombre de personnes à servir (2 ou 4), et commandez avant 20h. Cookit vous livre dans l’heure un kit contenant les ingrédients pré-dosés, une fiche recette explicative, ainsi que des renseignements sur les apports caloriques des produits ou encore le vin conseillé pour ce diner.
Vous n’avez plus qu’à cuisiner et déguster votre plat. Petit bémol, le service Cookit n’est pour l’instant disponible qu’à Paris. http://www.mycookit.com/
Pixopolitan offre à ses utilisateurs la possibilité de décorer leur intérieur avec une photographie personnalisée de leur rue ou de leur quartier préféré, prise dans n’importe quelle ville du monde.
Si vous souhaitez par exemple décorer votre appartement avec une photographie de Rome, mais que vous habitez à Paris, lancez un « appel d’offres » via MyPixopolitan.
Les photographes de la communauté de Rome vont sur place, prennent des clichés et vous les proposent sur le site. Si vous êtes satisfait par l’une des photos, Pixopolitan vous l’imprime sur le papier et dans le format souhaité.
Le site met également en vente les photographies des grandes métropoles du monde prises par sa communauté de talents. Les utilisateurs les consultent, ville par ville, quartier par quartier et commandent une impression pour décorer leur intérieur.
Pixopolitan a été lancé officiellement le 4 octobre 2012. http://www.pixopolitan.com/fr/
La start-up Libsum lance sa web application dédiée à la lecture numérique. Celle-ci, se décrivant à la fois comme une liseuse, une bibliothèque et un réseau social, elle permet à ses utilisateurs de bénéficier d’un espace personnalisé ou ils peuvent constituer et organiser leur bibliothèque selon leurs envies, mais également partager leurs points de vue autour des ouvrages.
Libsum est disponible sur tout appareil disposant d’un navigateur web : ordinateurs, tablettes et smartphones. La version beta du site est disponible sur invitation. http://www.libsum.com/register
Myriam KISS. Anild 10/2012
L’addiction aux réseaux sociaux, est-ce possible ? Sans doute y passons-nous un peu trop de temps… Alors, quel type d’accro êtes-vous ?
Le fan d’alertes : il a paramétré son téléphone pour recevoir tous les types d’alertes possibles dès que quelque chose se passe. Son téléphone sonne dès que quelqu’un tweet, partage ou commente une publication, et il abandonne tout ce qu’il était en train de faire pour lire ces alertes.
Le ninja des médias sociaux : il s’est autoproclamé « Social media Guru », sauf que tout le monde en est un maintenant.
Le créateur de verbes : il transforme les médias sociaux en verbes. Par exemple, il dit : « je dois instagramer ça » ou « Je vais redditer ces photos ».
Le rageux des voyelles : il abandonne toutes les voyelles pour tirer le meilleur parti possible des 140 caractères autorisés sur Twitter.
Le référenceur de blogs : il répond à la plupart des questions par « Vous devriez lire mon article à ce sujet ».
L’influenceur auto-proclamé : il vérifie régulièrement son influence sur tous les sites de mesures sociales possibles et imaginables.
Le pluri-maire : il prend le temps de checker dans tous les endroits par lesquels il passe. A cause de ça, il est maire, duc ou roi de plus d’une dizaine d’établissements.
Le fan : il utilise le bouton « J’aime » tout le temps, au lieu de poster un commentaire.
Le vérificateur permanent : il consulte son téléphone toutes les deux minutes pour savoir comment ses photos Instagram, ses publications ou ses tweets sont accueillis, sans aucun égard pour les gens qui sont avec lui.
L’angoissé : il est en stress dès qu’un réseau social est en panne. Pourtant, les chances que le problème ait un impact sur sa carrière ou sa vie personnelle sont minces…
Source : http://www.blogdumoderateur.com/ par Anne-Laure Raffestin | 12 octobre 2012
Aucun domaine n’échappe à la vague du web social, et celui du recrutement est aujourd’hui l’un des terrains d’innovation les plus fertiles, entre le géant Linkedin et les applications Facebook de plus en plus nombreuses. Pourtant les réseaux sociaux sont aussi le lieu de recrutements plus anarchiques et pas toujours plus efficaces.
La startup Work 4 Labs vient de lever 11 millions de dollars (http://frenchweb.fr/social-recrutement-le-francais-work4-labs-leve-11-millions-de-dollars/76006) pour poursuivre le développement de son offre Facebook pour les recruteurs.
L’appli de recrutement social SILP (http://frenchweb.fr/le-phenomene-silp-lancement-viral-reussi-ou-grande-operation-de-spam/74421) a fait le tour de nos amis Facebook à la vitesse de l’éclair.
90% des recruteurs américains déclarent utiliser les réseaux sociaux. Que ce soit du côté du recruteur ou du chercheur d’emploi, il semble qu’on compte beaucoup sur les réseaux sociaux.
DR
Pourtant la bonne formule est difficile à trouver : Linkedin ou Viadeo peinent à attirer un public moins “col blanc” pour étendre leur base, et l’application BranchOut, pionnière du recrutement social sur Facebook, est passé de 14 millions d’utilisateurs actifs à son pic à moins de 4 millions aujourd’hui.
On voit donc se développer des concepts plus ou moins prometteurs comme Oh My Job, encore une application Facebook, ou MyJobCompany, qui applique le principe du crowdsourcing au processus de recrutement. On pourrait en ajouter des dizaines à la liste : Tweetajob, Talentbin, Path.To…
Clairement, ces startups ne se laissent pas intimider par le géant Linkedin et pensent qu’il y a encore de la place sur le marché.
La promesse du recrutement social, c’est de permettre un recrutement plus efficace, où la bonne personne trouve le bon poste, parce que le recruteur à pu filtrer les candidatures selon des critères très précis, qu’il a eu accès à une sélection de candidats plus large qu’auparavant, et parce que le candidat a pu lui même bénéficier d’offres sélectionnées pour lui en fonction de son profil et d’outils facilitant sa recherche.
Le marché de l’emploi devrait être plus efficient. Mais est-ce que le recrutement social fonctionne vraiment ?
Difficile de répondre à cette question : si les startups sont souvent heureuses de communiquer sur leur nombre d’inscrits ou d’annonces, le nombre de postes effectivement pourvus grâce à elles reste généralement secret. On soupçonne bien sûr que, dans bon nombre de cas, c’est parce que ce chiffre reste assez décevant.
La dégringolade de Branch Out montre en tout cas que la formule idéale reste encore difficile à trouver.
Pourtant, selon une étude de Linkedin, les réseaux sociaux ont joué un rôle dans le processus de recrutement d’un employé sur six.
La vérité c’est que quand on dit que 90% des recruteurs utilisent les réseaux sociaux, il ne faut pas croire que ça se résume aux réseaux spécialisés et aux applis Facebook.
L’ensemble du processus de recrutement peut aussi se faire avec les outils “de base” de Facebook et Twitter.
DR
Des recruteurs qui se contentent, pour toute annonce, d’un tweet avec mentions “DM si intéressé” et “merci de RT”, qui vont jeter un oeil au profil Facebook personnel d’un candidat, qui repèrent un candidat potentiel grâce à ses tweets… C’est aussi ça le recrutement social : on a toujours utilisé son réseau pour trouver le candidat idéal, et les médias sociaux permettent simplement d’élargir le réseau.
Le risque, bien entendu, c’est le mélange des genres. On doit chacun veiller à notre présentation sur les réseaux sociaux, tandis que les recruteurs doivent veiller à ne pas se laisser berner par un expert en personal branding qui n’est pas forcément doué pour autre chose.
Avec entre 300 et 500 000 postes non pourvus rien qu’en France, et des dizaines de millions par le monde, nul doute qu’il y a un avenir pour le recrutement social.
Mais pour l’instant, il semblerait que personne n’a trouvé la formule idéale pour matcher recruteurs et candidats sur les réseaux sociaux. Source : http://frenchweb.fr/ 17. sept, 2012
