TRAVAIL à L'ETRANGER

                                                                    

TRAVAIL ETRANGER panneau villes

   
 
Et si vous joigniez l’utile à l’agréable ? En effectuant un job à l’étranger, non seulement vous améliorez votre niveau en langues, mais vous gagnez aussi en maturité… et un peu de sous en prime !   http://pro.leforumexpat.com/

Mondialisation oblige, on n’imagine plus aujourd’hui faire carrière sans passer par la case internationale. D’autant plus que le marché de l’emploi reste morose pour les jeunes diplômés en France.

LE PETIT JOURNAL.COM Expatriation

http://www.leforumexpat.com/      http://www.infojeunesse17.com

OSEZ LE MONDE   Parler, étudier, travailler, s'expatrier

Destination Canada 2016

 Entrée express sera votre passeport à l'immigration permanente et rapide.
http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/express/entree-express.asp

Des employeurs canadiens recrutent dans des secteurs aussi variés que l'ingénierie, la santé, l’éducation, l'hôtellerie et la restauration, l’informatique, le multimédia...

Travailler au Québec :

la bonne attitude à adopter

Recrutement sur  Paris - 15 au 17 novembre 2016

http://www.destination-canada-forum-emploi.ca/accueil.php?lang=fr

Destination Canada 2016 est un forum sur la mobilité au Canada qui met en avant les possibilités de vie et de travail au Canada dans les provinces et territoires autres que le Québec. Toutes les provinces et tous les territoires canadiens ont une population francophone. Destination Canada vous permet d’aller à leur rencontre.

Destination Canada est présenté par
l'Ambassade du Canada en France avec le soutien de Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et avec les services publics de l'emploi et de la mobilité internationale : Pôle emploi Mobilité internationale en France et le FOREM, Actiris International, le VDAB en Belgique.

Destination Canada est une activité annuelle, inscrite dans le cadre de la Feuille de route pour les langues officielles, qui vise à informer des candidats francophones des opportunités qui existent pour vivre et travailler en français à travers le Canada.

Le 5 septembre, c'est la fête du travail au Canada. L'occasion de donner un coup de projecteur sur les us et coutumes professionnels au Québec.

Notre témoin: Jean-Pierre Sablé, vice-président exécutif stratégie, marketing et innovation du groupe coopératif Desjardins.

Arrivé à Montréal en 2001 comme consultant pour un grand cabinet international, Jean-Pierre Sablé, ingénieur de formation, a rejoint ensuite la firme de conseil Secor, emblématique du Québec inc (la communauté d'affaires de la Belle province), avant d'être recruté en 2011 par Desjardins, la plus grande institution financière québécoise. 

Comment réussir sa recherche d'emploi au Québec ? 

Jean-Pierre Sablé: C'est forcément plus difficile que ce à quoi on s'attend. Il faut savoir où mettre son énergie. Au Québec, beaucoup de postes se comblent par le réseau. Ce qui ne veut pas dire par le piston, mais par des rencontres et des échanges. Bien sûr, il existe des chasseurs de têtes et des emplois sont pourvus par annonces, mais quand il s'agit de recruter des profils expérimentés, cela se fait beaucoup par recommandation. Ceux qui trouvent le plus facilement sont donc ceux qui ont passé 80% de leur temps à rencontrer des gens, et non à répondre à des annonces. C'est très naturel, ici, d'appeler un contact, d'expliquer qu'on travaille dans le même domaine, qu'on essaie d'identifier les opportunités, qu'on recherche des conseils. Et c'est très naturel, en face, de répondre positivement car l'appel ne se fait jamais dans la logique "je cherche un job, est ce que vous pouvez m'embaucher?". 

Pour le nouvel arrivant, cela suppose une certaine audace... 

C'est certain que vous prenez moins de risque d'être dans l'écart culturel en répondant à une annonce qu'en acceptant un face-à-face. Beaucoup de Français, et j'en ai fait partie, sous-estiment l'écart culturel auquel ils sont confrontés. En 2001, quand je suis arrivé à Montréal, j'avais une longue expérience de gestion de projets internationaux. Ma première mission de conseil était pour un industriel québécois d'envergure mondiale, c'était un projet en anglais et tout s'est bien déroulé. Ma seconde mission était pour une entreprise locale, moins diversifiée dans ses équipes, et dans un environnement francophone. Et cela ne s'est pas bien passé du tout. Car avec la langue vient une façon d'être. Quand vous travaillez en anglais, vous adoptez une approche anglo-saxonne, une certaine façon d'interagir, de régler les problèmes. Si vous travaillez en français, vous êtes dans un autre mode, moins dans la nuance et le consensus, davantage en confrontation, avec un esprit plus critique. Du coup, vous êtes perçu comme donneur de leçon, pas assez respectueux des personnes. Conclusion:
les Québécois parlent français mais travaillent comme des Anglo-Saxons. Cela demande donc un ajustement permanent. Voilà quinze ans que je suis ici, et je pense que cet ajustement est réalisé à 90%. 

Qu'est-ce qui est le plus délicat ? 

La façon dont les gens expriment leurs émotions. Ici, ce qui est admis, toléré, est très différent de ce qui l'est en France, où le désaccord peut s'exprimer ouvertement. Au Canada, c'est impossible! Un Français qui n'est pas d'accord avec son interlocuteur le signifie clairement. Un Québécois, lui, dira: "C'est intéressant, mais je ne suis pas sûr" ; le Français entendra : "Il est presque d'accord". Alors qu'en fait, il est contre!

Autre exemple : un manager québécois ne dira pas à ses équipes: "Il faut faire comme cela" mais "Diriez-vous que l'on pourrait faire comme cela?". C'est tout un apprentissage.
Et cela commence dès la garderie : les enfants, par petits groupes, apprennent à exprimer leur désaccord, à résoudre un conflit, à expliquer à l'autre pourquoi ses propos ont été blessants.
Tout le contraire de ce qui se passe en France, à l'école, où le message serait plutôt: "La vie est une jungle, débrouille-toi pour faire ta place". Ici, on explique sans cesse aux enfants: "Tu ne peux pas agir ainsi car cela aura tel ou tel impact sur tes amis". Et les amis, ce sont tous les autres élèves de la classe, pas forcément ceux que tu as choisis! 


Comment savoir si on adopte la bonne attitude ? 

J'ai rencontré plusieurs Français qui avaient perdu leur job et ne comprenaient pas pourquoi. D'après eux, tout allait bien. Si on avait l'occasion de parler avec leur ancien boss, c'était un autre son de cloche: "Ça n'allait pas, et ce n'est pas faute de lui avoir dit". En fait, le Français n'avait pas entendu la critique car elle était tout en nuances, presque sous-jacente. Le boss avait dû dire : "C'est bien mais tu devrais faire attention à ce point-là" ; ce qui signifie en réalité: "Attention, il y a un problème, là". C'est ainsi qu'on procède à l'école, au Québec: si l'enfant a un résultat très moyen, on lui dit "Bon travail mais tu dois t'améliorer" ; alors qu'en France, on lui dirait: "Ce n'est pas bon du tout". C'est le principe du renforcement positif, la culture de la confiance. "Vas-y, tu es capable": les enfants, ici, entendent cette phrase depuis leur plus jeune âge. Voilà pourquoi les diplômes ne sont qu'un critère d'embauche parmi d'autres. Il faut surtout montrer ce dont vous êtes capable.

Si vous avez tenté de créer une entreprise, de changer de métier, dites-le, même si vous avez échoué : le courage d'entreprendre, de se mettre en risque, est valorisé. 

Quelle a été la difficulté la plus importante, pour vous ? 
S'assurer que mon interlocuteur ne se méprend pas sur mes intentions. Il faut vraiment avoir en tête que le milieu des affaires au Québec a été bâti, à l'origine, par les Anglo-Saxons, que la façon de faire du business est anglo-saxonne, même si ça se passe en français. Dans une
réunion, on est là pour faire avancer les choses, il faut que ce soit concret. Pas question de débattre à l'infini, de "pelleter les nuages", comme on dit ici. Il y a une véritable économie d'énergie et de mots quand il s'agit de travailler. Cela suppose une remise en question, un changement de référentiel. Et beaucoup d'humilité. Mais cette adaptation n'est pas douloureuse, elle est plutôt stimulante! 

Qu'appréciez-vous le plus au Québec? 

La confiance et l'énergie positive! Cette façon de voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. La simplicité et la fluidité des relations au travail sont aussi très agréables; le côté respectueux et consensuel est reposant. 


Quels sont les atouts des Français? 

Dans le secteur financier, ils sont évidents: en Amérique du Nord, le nombre de personnes avec une expérience dans la finance, dans une institution de taille importante, et capables de s'exprimer en français, est finalement assez limité. Au Canada, hormis
le Mouvement Desjardins*, il n'y a que deux autres banques où on parle majoritairement le français, la Banque Nationale et la Banque Laurentienne. Donc il y a encore des opportunités. Mais il est vrai que le nombre de Français se cumule chaque année, et que dans les entreprises québécoises, on ne peut pas avoir des équipes avec 70% de Français! L'employeur doit aussi s'assurer d'une certaine diversité et rester représentatif de ses clients. 

Vous voulez travailler au Canada ? Rendez-vous les 15, 16 et 17 novembre 2016 à Paris au Forum Destination Canada, pour rencontrer employeurs, provinces et associations spécialisées dans l'accueil et l'accompagnement des immigrants.  

Inscriptions ICI   http://www.destination-canada-forum-emploi.ca/accueil.php?lang=fr
*48 000 employés dont 40 000 au Québec, plusieurs centaines de recrutement par an. 

                      Sessions d'informations sur l'immigration

Source du 5/09/2016 : Propos recueillis par Valérie Lion,

http://www.lexpress.fr/emploi/conseils-emploi/travailler-au-quebec-la-bonne-attitude-a-adopter_1826602.html

Pour en savoir plus : Ambassade du Canada en France  Pôle emploi international en France, le FOREM, Actiris International, le VDAB en Belgique et ANETI et ATCT en Tunisie.

Depuis 2015, Entrée express est votre passeport à l'immigration permanente et rapide.

http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/express/entree-express.asp

Myriam KISS. Anild 09-2016

 
Expatriation :

quel pays d’Europe est fait pour vous ?


Etes-vous tentés par l’expatriation ? Les pays d’Europe sont en général les premiers choix quand on décide de quitter la France pour aller travailler ailleurs.
 

Des destinations comme la Suisse, le Danemark, les Pays-Bas ont bonne réputation à la fois au niveau de la qualité de vie, des salaires, ou des opportunités de travail. Mais d’autres critères entrent en ligne de compte comme l’équilibre entre vie pro et vie perso.

Pour vous aider à décider, Talentsoft a comparé les pays européens en fonction de différents critères : par exemple dans quel pays faut-il s’installer pour avoir plus de jours de congés, notamment quand vous avez des enfants ? Qui sont les meilleurs élèves européens au niveau de la parité ? Qui offre le plus de formation ?

Vous le saurez en consultant les chiffres synthétisés dans cette infographie qui nous apprend également que les pays européens sont plutôt bien classés au niveau mondial selon leur BNB, l’indice de Bonheur National Brut. 
 

                          EUROPE schema EXPAT
 

 Source 2015 : FmR  http://www.blog-emploi.com/expatriation-quel-pays-deurope-est-fait-pour-vous/

 
 

   20 sites utiles pour chercher du travail aux Etats-Unis
 

Les Etats-Unis attirent beaucoup de Français. Les opportunités y sont nombreuses et chacun peut tenter sa chance pour vivre son rêve américain. Cependant, s’expatrier là-bas n’est pas si simple.

Le taux de chômage y est certes plus faible qu’en France.  Mais difficile de comparer ces deux marchés du travail tant ils diffèrent : le chômeur français bénéficie en moyenne d’une meilleure protection alors que beaucoup d’Américains exercent des emplois très précaires.

 

Si vous voulez aller travailler aux Etats-Unis en tant qu’expatrié, vous devrez vous munir d’un visa et vous armer de patience… En attendant, voici une liste non exhaustive des sites web à consulter pour trouver un job.


                                     Quels sites pour chercher un emploi ?
 

Les sites officiels
  • fr.ambafrance-us.org : le site de l’ambassade de France à Washington.
  • www.usajobs.gov (en anglais) : le site emploi du gouvernement américain, équivalent du portail de la fonction publique en France.
Les agences de travail temporaire et de placement

Les sites emplois
 
Les sites spécialisés et associations
  • www.cursusmundus.com site d’information « numéro 1″ pour partir à l’étranger dans le cadre de ses études, d’un stage ou d’un job.
  • www.vivre-aux-etatsunis.com : de l’info pratique pour vivre, étudier, travailler et s’installer aux Etats-Unis pour les expatriés, PVT / Working Holiday Visa, voyageurs, globetrotters, voyageurs d’affaires…
  • www.expat-blog.com  propose notamment un guide pour travailler aux Etats-Unis.
Du bonus à bas prix…
  • www.teli.asso.fr : L’association française Le Club TELI propose, moyennant certes une adhésion de 45€ par an, 10 magazines par an ainsi que de nombreuses offres de stages, de jobs saisonniers et d’emplois analysées et évaluées au préalable par l’équipe du club. testé et approuvé par Mode(s) d’Emploi, c’est peu cher payé pour un adhésion qui peut rapporter gros !
Quelques règles à connaître
 
Aux Etats-Unis, le salaire minimum est de 7,25 dollars de l’heure. La moyenne hebdomadaire de travail est de 40 heures, certains jobs étant payés aux pourboires seuls. Mais chaque Etat a ses propres règles en matière de travail.

Attention également à votre curriculum vitae (« resume ») et votre lettre de motivation (« cover letter »), dont les règles différent de la candidature française (des
conseils ici).
 
A noter que chaque année, le gouvernement américain organise aussi une loterie mettant en jeu 50.000 cartes vertes de résidents permanents aux Etats-Unis (« green cards »).
Vous pouvez tenter votre chance…

 
> Vous connaissez un site emploi pour travailler aux Etats-Unis ? Faites-le nous savoir en commentaire !


        20 sites utiles pour trouver du travail en Chine

                       chinois JEUNES

                                                                                                 DR
 

Une expatriation en Chine nécessite beaucoup de préparation. D’abord, il est préférable maîtriser parfaitement l’anglais et de parler un minimum le chinois.

De plus, certains métiers sont plus facilement « exportables » que d’autres comme ingénieur ou commercial (dans l’import-export en particulier). Enfin la culture chinoise nécessite une certaine adaptation, pas toujours évidente pour les Français…

Toutefois, si votre projet d’expatriation en Chine est mûrement réfléchi, viendra le moment de trouver un emploi. Si vous travaillez ou avez travaillé pour un groupe international, renseignez-vous sur les perspectives d’emploi à l’international en interne.

Si vous n’avez encore aucune piste, voici une sélection d’une vingtaine de sites internet à l’aide desquels vous pourrez peut-être trouver un emploi en Chine.

 

                                                         Sur quels sites chercher ?

                                                                                  Les sites officiels

                                                            Drapeau FRANCE-CHINE


L’Ambassade de France en Chine http://www.ambafrance-cn.org


Les sites d’informations et blogs d’expatriés


Les journaux et sites emploi

Les cabinets de recrutement

Organismes d’aide au recrutement

> A lire « Chine, merci et au revoir » : lettre d’un expat’ qui revient en France sur Rue89 (2013)
Et pour préparer votre expatriation au mieux, vous pouvez aller sur
www.voyage-chine.com.

Source :  Priscilla Gout http://www.blog-emploi.com/20-sites-travailler-chine/

 

Travailler, entreprendre, vivre à l'étranger
Voir les postes de cadres et de dirigeants sur Cadreo :
http://www.cadreo.com/offres

                                   L’industrie automobile allemande tourne avec nos ingénieurs

Les amateurs de belles mécaniques s’en réjouiront. Comme toute l’industrie outre-Rhin, les constructeurs automobiles allemands sont confrontés à une pénurie d’ingénieurs. «Le pays n’en forme que 50.000 par an, alors que les besoins globaux dépassent les 80 000», analyse Dominique Cherpin, du centre d’affaires La Villafrance, à Cologne.

Du coup, de BMW à Mercedes en passant par Audi, Volkswagen ou Porsche, on ne compte plus les étrangers présents dans les bureaux d’études de ces grandes marques, mais aussi chez leurs principaux équipementiers, comme Bosch ou Continental.


Et les Français sont appréciés, en raison du haut niveau de nos écoles scientifiques. Nul besoin de sortir des tout meilleurs établissements. Nos voisins cherchent d’abord des compétences pointues, par exemple en génie mécanique et électronique (70% des embauches sont constituées de profils techniques).

Partout, la priorité est donnée aux jeunes diplômés ayant choisi de faire leur stage de fin d’école dans l’entreprise visée. Les candidats doivent postuler sur le site RH en n’hésitant pas à multiplier les documents (notes et attestations des enseignants, premières références professionnelles…). Puis il faudra passer un à deux entretiens téléphoniques en anglais ou en allemand, suivi d’un déplacement sur place généra­lement remboursé.

Naturellement, les germanisants seront favorisés, tout comme ceux affichant un cursus scolaire franco-allemand. «Mais le cas contraire n’est pas rédhi­bitoire, assure Jean-­Michel ­Juchet, directeur des ­affaires publiques chez BMW. L’important est de montrer son envie de s’installer durablement en Allemagne.»


 
                               ETRANGER jeune H.
 
Autre piste intéressante pour intégrer ces prestigieuses maisons : se faire embaucher par des sociétés d’ingénierie auxquelles les constructeurs font appel en sous-traitance.

Il en existe des dizaines, comme MBtech, IndustrieHansa ou encore Ingenics, qui envoient leurs experts travailler dans les locaux des industriels. Une position idéale pour se faire connaître et être informé si un poste se libère. Côté rémunération, il faut s’attendre à une hausse de 5% en moyenne par rapport à un poste équivalent en France.

Quant au rythme de travail, s’il est intense, on pratique peu les heures sup comme chez nous, la badgeuse étant même de rigueur en début de carrière ! Travailler tard le soir est un signe de mauvaise organisation, pas de professionnalisme…
Source : 30/05/2014 pour lire la suite

                                          EMPLOI jeunes. Dessin 

                                         Les jeunes doivent-ils quitter la France pour réussir ?

Ils en auraient assez, les jeunes Français, assez du chômage, des salaires de misère…,
même à bac+5. Au point de partir à l’étranger, en masse.

Selon le ministère des Affaires étrangères de 60.000 à 80.000 personnes s’expatrient chaque année. Parmi eux, des cadres et des jeunes diplômés. Inquiète, la chambre de commerce et d’industrie d’Ile-de-France a étudié de près ce phénomène.

La fuite des jeunes, « forces vives » de la France, à l’étranger inquiète la chambre de commerce et d’industrie d’Ile-de-France, écrit Le Monde.fr, qui publie les éléments d’une étude de la CCI montrant que  « qualifiée et active », l’expatriation à l’étranger (Europe comprise) a augmenté de « 3 % à 4 % par an au cours des dix dernières années (soit environ de 60 000 à 80 000 personnes par an) ».

Le ministère des Affaires étrangères estime le nombre de Français établis à l’étranger à 1,5 à 2 millions de personnes, et confirme la tendance : l’expatriation a augmenté de 35% depuis dix ans.

C’est l’Afrique du Nord, l’Amérique du Nord, l’Asie-Océanie et l’Europe hors Union européenne qui ont attiré le plus de Français en 2013,
précise l’étude du ministère.

De son côté, l’IPSOS a publié en mars 2014 un sondage sur l’expatriation. Celui-ci montre que la principale motivation des jeunes qui partent, c’est l’espoir de trouver un travail ou d’avoir un meilleur salaire. Source : Christine Cathiard -27 mars 2014

http://infos.emploipublic.fr/a-la-une/les-jeunes-doivent-ils-quitter-la-france-pour-reussir/?utm_source=news-ep&utm_medium=newsletter&utm_campaign=2014_04_News-ep-51

Le gouvernement lance deux incubateurs français
à San Francisco et Boston

           SAN FRANCISCO incubateurs FR

                                                     Crédit photo: Fotolia, banque d’images, vecteurs et videos libres de droits

Ces deux maisons de l’international seront intégrées
au réseau FrenchTech

Le projet était dans les tuyaux depuis les Assises de l’entrepreneuriat qui se sont tenues fin avril 2013, et les premiers éléments voient le jour. Nicole Bricq, la ministre du Commerce extérieur, a confirmé le 6 février 2014 l’ouverture des deux premières « maisons de l’international », appellation derrière laquelle se cache des incubateurs pour les entreprises françaises innovantes, dans deux villes américaines : San Francisco et Boston.

Intégrées au réseau FrenchTech récemment officialisé par Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée de l’Innovation et de l’Économie numérique, « ces « Maisons », seront des incubateurs proposant à chaque entreprise des services d’hébergement et de conseil, un accès à des financements adaptés ainsi qu’une mise en relation avec des réseaux de décideurs et de mentors de haut niveau » explique le ministère du Commerce extérieur.

Cette fois-ci, les dates sont connues : les deux locaux verront le jour le 12 février 2014 selon les propos de Mme. Bricq rapportés par l’AFP. Une date qui coïncide bien entendu avec la visite du président François Hollande sur le sol américain.

Un voyage au cours duquel il rendra visite à des entrepreneurs français installés dans la Silicon Valley [Frenchweb s'est procuré la liste des entrepreneurs que le président français rencontrera sur place : lire l'article, ndlr].

La dernière fois qu’un Président français a mis les pieds dans la Silicon Valley, c’était il y a 30 ans, c’était François Mitterrand.

Le 12 février 2014, François Hollande fera une halte à San Francisco, et déjeunera avec les grands patrons du web américains: Twitter, Facebook, Google. Il rencontrera aussi les patrons français installés là-bas depuis plusieurs années.

Dans le cadre du déplacement du président dans la Silicon Valley, Frenchweb a réalisé une série d’articles sur « ce que les french-entrepreneurs souhaitent lui dire » :

François Hollande à San Francisco: ce que les french-entrepreneurs ont à lui dire (épisode 1)

François Hollande à San Francisco: ce que les french-entrepreneurs ont à lui dire (épisode 2)

Source :Olivier Harmant et MarionMoreau - le 7/02/ 2014  http://frenchweb.fr

                                                       Mains en cercle

La recherche d'emploi est plus ou moins aisée, suivant la destination choisie (Europe ou pas) : informez-vous sur le marché du travail (chômage, secteurs qui recrutent, ...) et sur la législation (salaire, coût de la vie, fiscalité, ...).

Afin de limiter les déceptions, définissez clairement vos objectifs et faites l'inventaire de vos motivations (pourquoi, combien de temps, dans quel pays, ...)


                           TRAVAIL linguistique ETRANGER

                               Il faut adapter son CV et sa lettre de candidature aux usages du pays.

A savoir : pour travailler en Europe le passeport des langues Europass permet de présenter vos compétences en langues : à télécharger sur www.europass-france.org

Pensez à tester votre niveau de langue  www.alte.org  -  www.bulats.org

Envoyer des candidatures spontanées : ou trouvez des adresses ?

Liste des entreprises françaises à l'étranger : www.dgtpe.fr/se
Annuaires spécialisées : www.kompass.com - www.lemoci.com
Chambres de Commerce et d'Industries étrangères en France et l'UCCIFE à l'étranger : www.uccife.org
Les pages jaunes : www.europages.fr - www.wayp.com

Répondre à une offre d'emploi
Consultez la presse française et étrangère
Contactez les réseaux d'offres :

www.emploi.org  - www.pole-emploi-international.fr

www.apecita.com (spécialiste agriculture)  -   www.apec.fr (spécial cadres)

www.afij.org (spécial jeunes diplomés)  -  www.teli.asso.fr

Informations générales sur les pays

www.pole-emploi-international.fr  -  www.eurodesk-france.org

www.formationauvergne.com rubrique «Mobilité»

Myriam KISS. Anild 05/2013 - Source : http://www.info-jeunes.net/content/travailler

 

EURES :
Le Portail européen sur la mobilité de l'emploi

                                                                     

Demandeurs d'emploi

Le principe de la libre circulation des travailleurs au sein de l’Union européenne signifie que vous pouvez trouver un emploi dans n’importe quel pays de l’Union, ainsi qu’en Norvège, en Islande, au Liechtenstein (pays de l’EEE) et en Suisse.

 

Seuls quelque 2 % des citoyens européens vivent et travaillent dans un État membre autre que leur pays d’origine. Pourtant, il y a de nombreux avantages à travailler à l’étranger, tels que la possibilité ...

...d’acquérir de nouvelles capacités professionnelles et personnelles en développant vos compétences, votre confiance et votre aptitude à la communication;

...de découvrir de nouvelles façons de voir le monde et des perspectives différentes en élargissant votre horizon culturel et en acquérant ou en enrichissant votre connaissance d’une langue étrangère;

...de choisir l’emploi qui vous convient le mieux, c’est-à-dire en trouvant un emploi permanent, temporaire ou saisonnier.

                            Que pouvez-vous attendre d’EURES ?

Le portail EURES vous donne accès à des informations relatives à la mobilité professionnelle, à des fonctionnalités de recherche d’emploi ainsi qu’à un réseau de 800 conseillers EURES prêts à vous aider. Par exemple…

-en sélectionnant l’option «Rechercher un emploi», vous accédez à des offres d’emploi mises à jour en temps réel dans 31 pays européens;

-en vous inscrivant gratuitement sur «Mon EURES» pour demandeurs d’emploi, vous pouvez créer votre CV et le rendre accessible aux employeurs enregistrés et aux conseillers EURES qui assistent les employeurs dans leur recherche de candidats appropriés;

-en consultant la rubrique «Vivre et travailler», vous pouvez vous assurer que vous êtes préparés et bien renseignés sur le marché de l’emploi ainsi que sur les conditions de vie et de travail dans un autre pays de l’EEE.


Cette rubrique vous permet de connaître les marchés du travail des pays de l’EEE dont l’accès fait l’objet de restrictions, pendant une période transitoire, pour les ressortissants de Bulgarie, de Roumanie et des dix nouveaux États membres ayant rejoint l’Union européenne le 1er mai 2004.

-en cliquant sur «Contacter un conseiller EURES» ou en prenant contact avec un bureau de l’emploi local ou régional, vous avez accès à toute une série d’outils d’information et pouvez vous faire conseiller sur de nombreux aspects pratiques, juridiques et administratifs liés à la recherche et à l’acceptation d’un emploi à l’étranger.

Si vous souhaitez connaître les mesures pratiques à prendre pour trouver un emploi et vous installer à l’étranger, consultez les listes de contrôle disponibles sur la page web «Vous êtes diplômé(e)?».
Vous y trouverez des informations utiles concernant aussi bien la recherche d’emploi que l’installation dans un pays étranger.

LIEN : http://ec.europa.eu/eures/main.jsp?acro=job&lang=fr&catId=52&parentId=0

CALENDRIER DES MANIFESTATIONS : http://ec.europa.eu/eures/main.jsp?lang=fr&acro=calendar&eventCalendar=init

Vous cherchez un job ?  Le BUSINESS CLUB DE FRANCE, en partenariat avec MY JOB COMPANY, vous propose les meilleures offres du moment :  http://businessclubdefrance.com/vous-cherchez-un-job/

Myriam KISS. Anild

 

Le point sur...

Ouverture du premier service de placement franco-allemand

Le premier service de placement franco-allemand a ouvert ses portes.

Ce service transfrontalier (Service de Placement Transfrontalier/ Service für Grenzüberschreitende Arbeitsvermittlung Strasbourg-Ortenau) est conçu pour répondre aux besoins des demandeurs d’emploi et des employeurs des deux côtés du Rhin.

Depuis le 26 février 2013, les ministres du travail français et allemand, M. Michel Sapin et Mme Ursula von der Leyen, étaient à Kehl, ville de l’État fédéral du Bade-Wurtemberg, pour signer un accord de coopération pour le placement de demandeurs d’emploi français et allemands.

Cet accord fait partie des célébrations du cinquantenaire du Traité de l’Élysée, aussi appelé Traité d’amitié franco-allemand.

Partenaires depuis de nombreuses années, l’Agence fédérale pour l’emploi d’Allemagne et son homologue française, Pôle Emploi, ont signé un accord-cadre visant à intensifier la coopération entre les deux pays dans le district de Strasbourg-Ortenau.

Les partenaires ont pour but d’éliminer les obstacles aux investissements transfrontaliers et de garantir un équilibre entre l’offre et la demande d’emploi des deux côtés de la frontière. Cette coopération se concrétisera par l’ouverture du premier service de placement transfrontalier franco-allemand à Kehl.

 La demande concernant ce service se manifeste dans les statistiques régionales relatives aux trajets domicile-travail. Aujourd’hui, 30 000 Lorrains vont travailler dans la région de Sarre/Rhénanie-Palatinat, et 23 000 Alsaciens dans le Bade-Wurtemberg.

À l’inverse, 1 500 Allemands exercent une activité professionnelle quotidienne en Alsace et en Lorraine.

 
Renforcement de l’assistance transfrontalière

 

 Situé dans les locaux de l’Agence locale pour l’emploi de Kehl, le service contribuera à réduire le chômage dans la région en renforçant le réseau d’agences fournissant une assistance transfrontalière. Il facilitera la recherche d’un emploi pour les candidats des deux pays voisins.

Les profils des demandeurs tant français qu’allemands, ainsi que les postes vacants dans la région, seront enregistrés dans les bases de données de chaque pays.

Le service fournira aux employeurs des informations sur la situation du marché du travail en France et en Allemagne.

De plus, il présentera les qualifications professionnelles des demandeurs d’emploi du pays voisin, pour faire face à la nécessité de normes communes à travers la région.
 
Pour en savoir plus :
 Pour en savoir plus sur le Service de placement transfrontalier/Service für Grenzüberschreitende Arbeitsvermittlung Strasbourg-Ortenau, consulter :
Service-Strasbourg-Ortenau@arbeitsagentur.de

Myriam KISS. Anild

                                                                                      Logo DRAPEAUX Europe en rond
 

                                                            L’EUROPE : prêt à partir ?

 Envie de découvrir de nouveaux horizons, de vivre, travailler, étudier… en Europe ?

 C’est possible, mais certaines démarches sont incontournables.

Papiers : un passage obligé
Pour un séjour de moins de 3 mois, carte d’identité ou passeport suffisent.
Au delà, une carte de séjour peut être requise.
En savoir + 
http://europa.eu/youreurope  et www.mfe.org

 Assurance et protection sociale : partir tranquille

Se procurer une carte européenne d’assurance maladie auprès de la sécurité sociale pour le remboursement des soins. Pour les personnes sans couverture sociale, souscrire une assurance maladie.

 Dans les deux cas, prévoir une assurance maladie complémentaire et un contrat d’assistance.
 En savoir + :
www.ameli.fr

 Logement : pas sans toit !

Qui dit séjour à l’étranger dit nécessité de trouver un logement.
 

Pour ne pas se ruiner : auberges de jeunesse ou campings pour les voyageurs, foyers ou colocation pour les étudiants, travailleurs ou stagiaires.  En savoir + : www.europa.eu/youth

Transport : à pied, à cheval, en bus… tous les engins mènent à destination

De nombreuses réductions, le covoiturage, le bus, certaines compagnies aériennes permettent de voyager moins cher. En savoir + : www.europa.eu/youth

 
Financements : pas si faciles à obtenir !

Ils proviennent de l’Union européenne, de l’Etat, des collectivités locales, des fondations ou du pays de destination.  Selon le statut (étudiant, demandeur d’emploi, salarié), l’âge, le type de projet (études, stages, échanges, etc...) les possibilités d’aide varient..

En savoir + :  www.eurodesk-france.org  - www.jeunesseenaction.fr - www.europe-education-formation.fr


                           Etudiants étrangers, oui, mais étudiants à l'étranger aussi !

La circulaire Guéant a été abrogée, c'est une bonne chose. Mais il faudrait également oeuvrer pour une meilleure mobilité des jeunes français.

                                                 TRAVAIL ETRANGER étiquettes visas

La circulaire Guéant sur l’emploi des étudiants venus de l’étranger a vécu. C’est une bonne chose. Mais l’important battage médiatique qui a accompagné cette nouvelle, très utile en période électorale pour qui en est à l’origine, m’a agacé.

Oui moralement et probablement économiquement, cette circulaire n’était pas adaptée. Certes, son abrogation va permettre aux étudiants concernés de retrouver agilité et sérénité dans la recherche d’un emploi en France.

Mais derrière l’écume de l’actualité et au-delà de la satisfaction d’avoir renoué avec une certaine façon de faire s’épanouir la France, cet événement masque une réalité dont on parle bien peu : la France dépense infiniment plus pour accueillir des étudiants étrangers dans ses universités que pour aider ses propres étudiants à sortir du territoire, que ce soit pour des études ou pour des stages.

http://www.slate.fr 

                                          TRAVAIL linguistique ETRANGER

Notre dossier vous aide à préparer un tel séjour et vous donne des pistes de petits boulots originaux pour booster votre CV à coup sûr.

Trouver un job à l’étranger : les premières démarches

Avant de vous lancer dans la recherche d’un job à l’étranger, posez-vous quelques questions :
 

Qu’attendez-vous de cette expérience ? Quels types de jobs voulez-vous effectuer ? Avez-vous un pays de prédilection ? Concernant ce dernier point, certains éléments sont à prendre en compte.

Un pays avec lequel vous avez des affinités

Ce bilan personnel est essentiel. Sur vos compétences linguistiques par exemple, sachez que si vous visez un job qui exige un contact avec le public, un très bon niveau dans la langue du pays vous sera demandé.

 

Le choix du pays est capital. La langue, la culture, les relations de travail et personnelles, le style de vie... constituent autant de facteurs d’intégration à prendre en compte pour choisir sa destination.

Décrocher un job d’été s’avère plus facile en Europe

Sachez d’ores et déjà qu’il est généralement moins compliqué de trouver un job dans un pays de l’Union européenne. En effet, pour un job d’été de moins de 3 mois dans l’Union européenne, une carte d’identité ou un passeport valide suffisent.

Au-delà, vous devrez demander une carte de séjour de ressortissant d’un Etat membre de l’Union européenne auprès des
administrations du pays dans lequel vous séjournez.

Pour travailler dans un pays hors de l’Union européenne, il vous faudra un visa de travail parfois difficile à obtenir. Si vous désirez partir aux Etats-Unis par exemple, vous aurez besoin d’un visa J-1 qui vous sera délivré par un organisme agréé par l’Ambassade des Etats-Unis.
 

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Un bon plan : le visa "vacances travail"

Peu connu des étudiants qui souhaitent exercer un job à l’étranger, le visa "vacances travail" vous offre l’opportunité de partir en Australie, au Japon, en Nouvelle-Zélande et au Canada. Il permet en effet aux ressortissants des deux Etats de séjourner, à titre individuel, dans l’autre Etat signataire afin d’y passer des vacances, tout en travaillant pour compléter leurs moyens financiers.

Il s’adresse aux 18-30 ans (35 ans pour le Canada) et est valable un an.

Ce visa est gratuit mais vous devrez néanmoins justifier de ressources financières pour pouvoir subvenir à vos besoins au début du séjour.
 
Pour demander ce visa, vous devez vous renseigner auprès des ambassades des pays concernés. Vous trouverez aussi des informations sur le programme ainsi que les dossiers de demande de visa sur leurs sites Internet.
 
Une fois que vous aurez posé à plat toutes ces questions et que vous aurez choisi votre destination, vous allez pouvoir vous lancer dans la recherche d’un job.

Myriam KISS. Anild 05/2012

                                                            

                    Types de contrats de travail

                          Le droit belge connait trois types de contrat de travail

Le contrat à durée indéterminée (CDI)

Les conditions de travail varient parfois selon que le salarié a un statut d’ouvrier ou d’employé.  Ainsi, concernant la durée de la période d’essai, le statut du salarié a une incidence.

Pour un employé, la durée de la période d’essai ne peut être inférieure à un mois et ne peut être supérieure à 6 ou 12 mois, selon que la rémunération annuelle du salarié dépasse ou non 36.604 euros (montant au 1er janvier 2011).

Si la rémunération du salarié dépasse 36.604 euros, la période d’essai pourra aller jusqu’à 12 mois.

Si la rémunération est inférieure à ce nombre, alors la période d’essai ne pourra pas excéder 6 mois. A défaut de précision, la période d’essai se limite à un mois.

Pour un ouvrier, la durée de la période d’essai peut varier entre 7 et 14 jours.

Le contrat à durée déterminée (CDD)

Pour pouvoir avoir recours à un CDD, l’employeur doit démontrer que ce type de contrat est justifié par des motifs légitimes.

On peut conclure au maximum quatre contrats successifs, sous couvert du respect de deux conditions cumulatives : que la durée de chacun d’entre eux ne soit pas inférieure à trois mois et que leur durée totale ne dépasse pas deux ans.

Le contrat pour la réalisation d’un travail nettement défini (CTND)

Ce type de contrat de travail doit être constaté par écrit au plus tard au moment de l’entrée en service du travailleur. Il prend fin automatiquement, sans qu’un avertissement par une des parties ne soit nécessaire, dès l’achèvement du travail convenu.

Myriam KISS. Anild  - Source: ressources.humaines.svp.com

 





































 

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