Mondialisation oblige, on n’imagine plus aujourd’hui faire carrière sans passer par la case internationale. D’autant plus que le marché de l’emploi reste morose pour les jeunes diplômés en France.
http://www.leforumexpat.com/ http://www.infojeunesse17.com
OSEZ LE MONDE Parler, étudier, travailler, s'expatrier
Des employeurs canadiens recrutent dans des secteurs aussi variés que l'ingénierie, la santé, l’éducation, l'hôtellerie et la restauration, l’informatique, le multimédia...
Pour en savoir plus : Ambassade du Canada en France Pôle emploi international en France, le FOREM, Actiris International, le VDAB en Belgique et ANETI et ATCT en Tunisie.
http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/express/entree-express.asp
Myriam KISS. Anild 09-2016
quel pays d’Europe est fait pour vous ?
Etes-vous tentés par l’expatriation ? Les pays d’Europe sont en général les premiers choix quand on décide de quitter la France pour aller travailler ailleurs.
Des destinations comme la Suisse, le Danemark, les Pays-Bas ont bonne réputation à la fois au niveau de la qualité de vie, des salaires, ou des opportunités de travail. Mais d’autres critères entrent en ligne de compte comme l’équilibre entre vie pro et vie perso.
Pour vous aider à décider, Talentsoft a comparé les pays européens en fonction de différents critères : par exemple dans quel pays faut-il s’installer pour avoir plus de jours de congés, notamment quand vous avez des enfants ? Qui sont les meilleurs élèves européens au niveau de la parité ? Qui offre le plus de formation ?
Vous le saurez en consultant les chiffres synthétisés dans cette infographie qui nous apprend également que les pays européens sont plutôt bien classés au niveau mondial selon leur BNB, l’indice de Bonheur National Brut.
Source 2015 : FmR http://www.blog-emploi.com/expatriation-quel-pays-deurope-est-fait-pour-vous/
20 sites utiles pour chercher du travail aux Etats-Unis
Les Etats-Unis attirent beaucoup de Français. Les opportunités y sont nombreuses et chacun peut tenter sa chance pour vivre son rêve américain. Cependant, s’expatrier là-bas n’est pas si simple.
Le taux de chômage y est certes plus faible qu’en France. Mais difficile de comparer ces deux marchés du travail tant ils diffèrent : le chômeur français bénéficie en moyenne d’une meilleure protection alors que beaucoup d’Américains exercent des emplois très précaires.
Si vous voulez aller travailler aux Etats-Unis en tant qu’expatrié, vous devrez vous munir d’un visa et vous armer de patience… En attendant, voici une liste non exhaustive des sites web à consulter pour trouver un job.
Quels sites pour chercher un emploi ?
20 sites utiles pour trouver du travail en Chine
DR
Une expatriation en Chine nécessite beaucoup de préparation. D’abord, il est préférable maîtriser parfaitement l’anglais et de parler un minimum le chinois.
De plus, certains métiers sont plus facilement « exportables » que d’autres comme ingénieur ou commercial (dans l’import-export en particulier). Enfin la culture chinoise nécessite une certaine adaptation, pas toujours évidente pour les Français…
Toutefois, si votre projet d’expatriation en Chine est mûrement réfléchi, viendra le moment de trouver un emploi. Si vous travaillez ou avez travaillé pour un groupe international, renseignez-vous sur les perspectives d’emploi à l’international en interne.
Si vous n’avez encore aucune piste, voici une sélection d’une vingtaine de sites internet à l’aide desquels vous pourrez peut-être trouver un emploi en Chine.
Sur quels sites chercher ?
Les sites officiels
L’Ambassade de France en Chine http://www.ambafrance-cn.org
Les sites d’informations et blogs d’expatriés
> A lire « Chine, merci et au revoir » : lettre d’un expat’ qui revient en France sur Rue89 (2013)
Et pour préparer votre expatriation au mieux, vous pouvez aller sur www.voyage-chine.com.
Source : Priscilla Gout http://www.blog-emploi.com/20-sites-travailler-chine/
Ils en auraient assez, les jeunes Français, assez du chômage, des salaires de misère…,
même à bac+5. Au point de partir à l’étranger, en masse.
Selon le ministère des Affaires étrangères de 60.000 à 80.000 personnes s’expatrient chaque année. Parmi eux, des cadres et des jeunes diplômés. Inquiète, la chambre de commerce et d’industrie d’Ile-de-France a étudié de près ce phénomène.
La fuite des jeunes, « forces vives » de la France, à l’étranger inquiète la chambre de commerce et d’industrie d’Ile-de-France, écrit Le Monde.fr, qui publie les éléments d’une étude de la CCI montrant que « qualifiée et active », l’expatriation à l’étranger (Europe comprise) a augmenté de « 3 % à 4 % par an au cours des dix dernières années (soit environ de 60 000 à 80 000 personnes par an) ».
Le ministère des Affaires étrangères estime le nombre de Français établis à l’étranger à 1,5 à 2 millions de personnes, et confirme la tendance : l’expatriation a augmenté de 35% depuis dix ans.
C’est l’Afrique du Nord, l’Amérique du Nord, l’Asie-Océanie et l’Europe hors Union européenne qui ont attiré le plus de Français en 2013, précise l’étude du ministère.
De son côté, l’IPSOS a publié en mars 2014 un sondage sur l’expatriation. Celui-ci montre que la principale motivation des jeunes qui partent, c’est l’espoir de trouver un travail ou d’avoir un meilleur salaire. Source : Christine Cathiard -27 mars 2014
Crédit photo: Fotolia, banque d’images, vecteurs et videos libres de droits
Le projet était dans les tuyaux depuis les Assises de l’entrepreneuriat qui se sont tenues fin avril 2013, et les premiers éléments voient le jour. Nicole Bricq, la ministre du Commerce extérieur, a confirmé le 6 février 2014 l’ouverture des deux premières « maisons de l’international », appellation derrière laquelle se cache des incubateurs pour les entreprises françaises innovantes, dans deux villes américaines : San Francisco et Boston.
Intégrées au réseau FrenchTech récemment officialisé par Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée de l’Innovation et de l’Économie numérique, « ces « Maisons », seront des incubateurs proposant à chaque entreprise des services d’hébergement et de conseil, un accès à des financements adaptés ainsi qu’une mise en relation avec des réseaux de décideurs et de mentors de haut niveau » explique le ministère du Commerce extérieur.
Cette fois-ci, les dates sont connues : les deux locaux verront le jour le 12 février 2014 selon les propos de Mme. Bricq rapportés par l’AFP. Une date qui coïncide bien entendu avec la visite du président François Hollande sur le sol américain.
Un voyage au cours duquel il rendra visite à des entrepreneurs français installés dans la Silicon Valley [Frenchweb s'est procuré la liste des entrepreneurs que le président français rencontrera sur place : lire l'article, ndlr].
La dernière fois qu’un Président français a mis les pieds dans la Silicon Valley, c’était il y a 30 ans, c’était François Mitterrand.
Le 12 février 2014, François Hollande fera une halte à San Francisco, et déjeunera avec les grands patrons du web américains: Twitter, Facebook, Google. Il rencontrera aussi les patrons français installés là-bas depuis plusieurs années.
Dans le cadre du déplacement du président dans la Silicon Valley, Frenchweb a réalisé une série d’articles sur « ce que les french-entrepreneurs souhaitent lui dire » :
François Hollande à San Francisco: ce que les french-entrepreneurs ont à lui dire (épisode 1)
François Hollande à San Francisco: ce que les french-entrepreneurs ont à lui dire (épisode 2)
Source :Olivier Harmant et MarionMoreau - le 7/02/ 2014 http://frenchweb.fr
La recherche d'emploi est plus ou moins aisée, suivant la destination choisie (Europe ou pas) : informez-vous sur le marché du travail (chômage, secteurs qui recrutent, ...) et sur la législation (salaire, coût de la vie, fiscalité, ...).
Afin de limiter les déceptions, définissez clairement vos objectifs et faites l'inventaire de vos motivations (pourquoi, combien de temps, dans quel pays, ...)
Il faut adapter son CV et sa lettre de candidature aux usages du pays.
A savoir : pour travailler en Europe le passeport des langues Europass permet de présenter vos compétences en langues : à télécharger sur www.europass-france.org
Pensez à tester votre niveau de langue www.alte.org - www.bulats.org
Envoyer des candidatures spontanées : ou trouvez des adresses ?
Liste des entreprises françaises à l'étranger : www.dgtpe.fr/se
Annuaires spécialisées : www.kompass.com - www.lemoci.com
Chambres de Commerce et d'Industries étrangères en France et l'UCCIFE à l'étranger : www.uccife.org
Les pages jaunes : www.europages.fr - www.wayp.com
Répondre à une offre d'emploi
Consultez la presse française et étrangère
Contactez les réseaux d'offres :
www.emploi.org - www.pole-emploi-international.fr
www.apecita.com (spécialiste agriculture) - www.apec.fr (spécial cadres)
www.afij.org (spécial jeunes diplomés) - www.teli.asso.fr
Informations générales sur les pays
www.pole-emploi-international.fr - www.eurodesk-france.org
www.formationauvergne.com rubrique «Mobilité»
Myriam KISS. Anild 05/2013 - Source : http://www.info-jeunes.net/content/travailler
Demandeurs d'emploi
Le principe de la libre circulation des travailleurs au sein de l’Union européenne signifie que vous pouvez trouver un emploi dans n’importe quel pays de l’Union, ainsi qu’en Norvège, en Islande, au Liechtenstein (pays de l’EEE) et en Suisse.
Seuls quelque 2 % des citoyens européens vivent et travaillent dans un État membre autre que leur pays d’origine. Pourtant, il y a de nombreux avantages à travailler à l’étranger, tels que la possibilité ...
...d’acquérir de nouvelles capacités professionnelles et personnelles en développant vos compétences, votre confiance et votre aptitude à la communication;
...de découvrir de nouvelles façons de voir le monde et des perspectives différentes en élargissant votre horizon culturel et en acquérant ou en enrichissant votre connaissance d’une langue étrangère;
...de choisir l’emploi qui vous convient le mieux, c’est-à-dire en trouvant un emploi permanent, temporaire ou saisonnier.
Que pouvez-vous attendre d’EURES ?
Le portail EURES vous donne accès à des informations relatives à la mobilité professionnelle, à des fonctionnalités de recherche d’emploi ainsi qu’à un réseau de 800 conseillers EURES prêts à vous aider. Par exemple…
-en sélectionnant l’option «Rechercher un emploi», vous accédez à des offres d’emploi mises à jour en temps réel dans 31 pays européens;
-en vous inscrivant gratuitement sur «Mon EURES» pour demandeurs d’emploi, vous pouvez créer votre CV et le rendre accessible aux employeurs enregistrés et aux conseillers EURES qui assistent les employeurs dans leur recherche de candidats appropriés;
-en consultant la rubrique «Vivre et travailler», vous pouvez vous assurer que vous êtes préparés et bien renseignés sur le marché de l’emploi ainsi que sur les conditions de vie et de travail dans un autre pays de l’EEE.
Cette rubrique vous permet de connaître les marchés du travail des pays de l’EEE dont l’accès fait l’objet de restrictions, pendant une période transitoire, pour les ressortissants de Bulgarie, de Roumanie et des dix nouveaux États membres ayant rejoint l’Union européenne le 1er mai 2004.
-en cliquant sur «Contacter un conseiller EURES» ou en prenant contact avec un bureau de l’emploi local ou régional, vous avez accès à toute une série d’outils d’information et pouvez vous faire conseiller sur de nombreux aspects pratiques, juridiques et administratifs liés à la recherche et à l’acceptation d’un emploi à l’étranger.
Si vous souhaitez connaître les mesures pratiques à prendre pour trouver un emploi et vous installer à l’étranger, consultez les listes de contrôle disponibles sur la page web «Vous êtes diplômé(e)?».
Vous y trouverez des informations utiles concernant aussi bien la recherche d’emploi que l’installation dans un pays étranger.
LIEN : http://ec.europa.eu/eures/main.jsp?acro=job&lang=fr&catId=52&parentId=0
CALENDRIER DES MANIFESTATIONS : http://ec.europa.eu/eures/main.jsp?lang=fr&acro=calendar&eventCalendar=init
Vous cherchez un job ? Le BUSINESS CLUB DE FRANCE, en partenariat avec MY JOB COMPANY, vous propose les meilleures offres du moment : http://businessclubdefrance.com/vous-cherchez-un-job/
Myriam KISS. Anild
Le premier service de placement franco-allemand a ouvert ses portes.
Ce service transfrontalier (Service de Placement Transfrontalier/ Service für Grenzüberschreitende Arbeitsvermittlung Strasbourg-Ortenau) est conçu pour répondre aux besoins des demandeurs d’emploi et des employeurs des deux côtés du Rhin.
Depuis le 26 février 2013, les ministres du travail français et allemand, M. Michel Sapin et Mme Ursula von der Leyen, étaient à Kehl, ville de l’État fédéral du Bade-Wurtemberg, pour signer un accord de coopération pour le placement de demandeurs d’emploi français et allemands.
Cet accord fait partie des célébrations du cinquantenaire du Traité de l’Élysée, aussi appelé Traité d’amitié franco-allemand.
Partenaires depuis de nombreuses années, l’Agence fédérale pour l’emploi d’Allemagne et son homologue française, Pôle Emploi, ont signé un accord-cadre visant à intensifier la coopération entre les deux pays dans le district de Strasbourg-Ortenau.
Les partenaires ont pour but d’éliminer les obstacles aux investissements transfrontaliers et de garantir un équilibre entre l’offre et la demande d’emploi des deux côtés de la frontière. Cette coopération se concrétisera par l’ouverture du premier service de placement transfrontalier franco-allemand à Kehl.
La demande concernant ce service se manifeste dans les statistiques régionales relatives aux trajets domicile-travail. Aujourd’hui, 30 000 Lorrains vont travailler dans la région de Sarre/Rhénanie-Palatinat, et 23 000 Alsaciens dans le Bade-Wurtemberg.
À l’inverse, 1 500 Allemands exercent une activité professionnelle quotidienne en Alsace et en Lorraine.
Renforcement de l’assistance transfrontalière
Situé dans les locaux de l’Agence locale pour l’emploi de Kehl, le service contribuera à réduire le chômage dans la région en renforçant le réseau d’agences fournissant une assistance transfrontalière. Il facilitera la recherche d’un emploi pour les candidats des deux pays voisins.
Les profils des demandeurs tant français qu’allemands, ainsi que les postes vacants dans la région, seront enregistrés dans les bases de données de chaque pays.
Le service fournira aux employeurs des informations sur la situation du marché du travail en France et en Allemagne.
De plus, il présentera les qualifications professionnelles des demandeurs d’emploi du pays voisin, pour faire face à la nécessité de normes communes à travers la région.
Pour en savoir plus :
Pour en savoir plus sur le Service de placement transfrontalier/Service für Grenzüberschreitende Arbeitsvermittlung Strasbourg-Ortenau, consulter : Service-Strasbourg-Ortenau@arbeitsagentur.de
Myriam KISS. Anild
Envie de découvrir de nouveaux horizons, de vivre, travailler, étudier… en Europe ?
C’est possible, mais certaines démarches sont incontournables.
Papiers : un passage obligé
Pour un séjour de moins de 3 mois, carte d’identité ou passeport suffisent.
Au delà, une carte de séjour peut être requise.
En savoir + http://europa.eu/youreurope et www.mfe.org
Assurance et protection sociale : partir tranquille
Se procurer une carte européenne d’assurance maladie auprès de la sécurité sociale pour le remboursement des soins. Pour les personnes sans couverture sociale, souscrire une assurance maladie.
Dans les deux cas, prévoir une assurance maladie complémentaire et un contrat d’assistance.
En savoir + : www.ameli.fr
Logement : pas sans toit !
Qui dit séjour à l’étranger dit nécessité de trouver un logement.
Pour ne pas se ruiner : auberges de jeunesse ou campings pour les voyageurs, foyers ou colocation pour les étudiants, travailleurs ou stagiaires. En savoir + : www.europa.eu/youth
Transport : à pied, à cheval, en bus… tous les engins mènent à destination
De nombreuses réductions, le covoiturage, le bus, certaines compagnies aériennes permettent de voyager moins cher. En savoir + : www.europa.eu/youth
Financements : pas si faciles à obtenir !
Ils proviennent de l’Union européenne, de l’Etat, des collectivités locales, des fondations ou du pays de destination. Selon le statut (étudiant, demandeur d’emploi, salarié), l’âge, le type de projet (études, stages, échanges, etc...) les possibilités d’aide varient..
En savoir + : www.eurodesk-france.org - www.jeunesseenaction.fr - www.europe-education-formation.fr
La circulaire Guéant a été abrogée, c'est une bonne chose. Mais il faudrait également oeuvrer pour une meilleure mobilité des jeunes français.
La circulaire Guéant sur l’emploi des étudiants venus de l’étranger a vécu. C’est une bonne chose. Mais l’important battage médiatique qui a accompagné cette nouvelle, très utile en période électorale pour qui en est à l’origine, m’a agacé.
Oui moralement et probablement économiquement, cette circulaire n’était pas adaptée. Certes, son abrogation va permettre aux étudiants concernés de retrouver agilité et sérénité dans la recherche d’un emploi en France.
Mais derrière l’écume de l’actualité et au-delà de la satisfaction d’avoir renoué avec une certaine façon de faire s’épanouir la France, cet événement masque une réalité dont on parle bien peu : la France dépense infiniment plus pour accueillir des étudiants étrangers dans ses universités que pour aider ses propres étudiants à sortir du territoire, que ce soit pour des études ou pour des stages.
Notre dossier vous aide à préparer un tel séjour et vous donne des pistes de petits boulots originaux pour booster votre CV à coup sûr.
Avant de vous lancer dans la recherche d’un job à l’étranger, posez-vous quelques questions :
Qu’attendez-vous de cette expérience ? Quels types de jobs voulez-vous effectuer ? Avez-vous un pays de prédilection ? Concernant ce dernier point, certains éléments sont à prendre en compte.
Un pays avec lequel vous avez des affinités
Ce bilan personnel est essentiel. Sur vos compétences linguistiques par exemple, sachez que si vous visez un job qui exige un contact avec le public, un très bon niveau dans la langue du pays vous sera demandé.
Le choix du pays est capital. La langue, la culture, les relations de travail et personnelles, le style de vie... constituent autant de facteurs d’intégration à prendre en compte pour choisir sa destination.
Décrocher un job d’été s’avère plus facile en Europe
Sachez d’ores et déjà qu’il est généralement moins compliqué de trouver un job dans un pays de l’Union européenne. En effet, pour un job d’été de moins de 3 mois dans l’Union européenne, une carte d’identité ou un passeport valide suffisent.
Au-delà, vous devrez demander une carte de séjour de ressortissant d’un Etat membre de l’Union européenne auprès des administrations du pays dans lequel vous séjournez.
Pour travailler dans un pays hors de l’Union européenne, il vous faudra un visa de travail parfois difficile à obtenir. Si vous désirez partir aux Etats-Unis par exemple, vous aurez besoin d’un visa J-1 qui vous sera délivré par un organisme agréé par l’Ambassade des Etats-Unis.
DR
Un bon plan : le visa "vacances travail"
Peu connu des étudiants qui souhaitent exercer un job à l’étranger, le visa "vacances travail" vous offre l’opportunité de partir en Australie, au Japon, en Nouvelle-Zélande et au Canada. Il permet en effet aux ressortissants des deux Etats de séjourner, à titre individuel, dans l’autre Etat signataire afin d’y passer des vacances, tout en travaillant pour compléter leurs moyens financiers.
Il s’adresse aux 18-30 ans (35 ans pour le Canada) et est valable un an.
Ce visa est gratuit mais vous devrez néanmoins justifier de ressources financières pour pouvoir subvenir à vos besoins au début du séjour.
Pour demander ce visa, vous devez vous renseigner auprès des ambassades des pays concernés. Vous trouverez aussi des informations sur le programme ainsi que les dossiers de demande de visa sur leurs sites Internet.
Une fois que vous aurez posé à plat toutes ces questions et que vous aurez choisi votre destination, vous allez pouvoir vous lancer dans la recherche d’un job.
Myriam KISS. Anild 05/2012
Types de contrats de travail
Le droit belge connait trois types de contrat de travail
Le contrat à durée indéterminée (CDI)
Les conditions de travail varient parfois selon que le salarié a un statut d’ouvrier ou d’employé. Ainsi, concernant la durée de la période d’essai, le statut du salarié a une incidence.
Pour un employé, la durée de la période d’essai ne peut être inférieure à un mois et ne peut être supérieure à 6 ou 12 mois, selon que la rémunération annuelle du salarié dépasse ou non 36.604 euros (montant au 1er janvier 2011).
Si la rémunération du salarié dépasse 36.604 euros, la période d’essai pourra aller jusqu’à 12 mois.
Si la rémunération est inférieure à ce nombre, alors la période d’essai ne pourra pas excéder 6 mois. A défaut de précision, la période d’essai se limite à un mois.
Pour un ouvrier, la durée de la période d’essai peut varier entre 7 et 14 jours.
Le contrat à durée déterminée (CDD)
Pour pouvoir avoir recours à un CDD, l’employeur doit démontrer que ce type de contrat est justifié par des motifs légitimes.
On peut conclure au maximum quatre contrats successifs, sous couvert du respect de deux conditions cumulatives : que la durée de chacun d’entre eux ne soit pas inférieure à trois mois et que leur durée totale ne dépasse pas deux ans.
Le contrat pour la réalisation d’un travail nettement défini (CTND)
Ce type de contrat de travail doit être constaté par écrit au plus tard au moment de l’entrée en service du travailleur. Il prend fin automatiquement, sans qu’un avertissement par une des parties ne soit nécessaire, dès l’achèvement du travail convenu.
Myriam KISS. Anild - Source: ressources.humaines.svp.com