La loi Macron de février 2015 alourdit les sanctions et instaure la carte professionnelle obligatoire pour tous sur les chantiers.
Témoignage : Sur les marchés publics, je vois des offres anormalement basses, 20% moins chères. Impossible de faire face à la fraude aux travailleurs détachés" se désole Pascal Barbosa, gérant d'une petite entreprise de construction du Loir-et-Cher.
Grâce à la loi Macron, le BTP sera mieux armé pour endiguer le flot de travailleurs détachés illégaux - 120 000 dans le secteur - qui ne respectent pas le droit du travail (salaire minimum, temps de travail...).
Sur une proposition du président de la Fédération française du bâtiment, Jacques Chaunut, la loi instaure une carte d'identification professionnelle, délivrée par les caisses de congés du BTP, obligatoire pour tous les employés d'un chantier.
"Jusqu'alors, elle ne concernait que les salariés en CDI" explique Jacques Chanut, qui salue "un tournant majeur de la lutte contre la fraude".
La Fédération Française du Bâtiment représente 50.000 adhérents dont 35.000 entreprises de taille artisanale. Ils réalisent les 2/3 des 126 milliards d’euros HT de la production annuelle du Bâtiment et emploient les 2/3 des 1.144.000 salariés du Bâtiment.
La Fédération française du Bâtiment a pour vocation de rassembler les entreprises de Bâtiment de toutes tailles, afin de défendre efficacement les intérêts collectifs de la Profession.
Pour plus d’information : http://www.ffbatiment.fr/
Féderation Francaise du Batiment - Syndicats et Ordres Professionnels
Adresse : 7 Rue la Pérouse, 75116 Paris Téléphone : 09 61 30 93 62
Dans le cadre des élections départementales des 22 et 29 mars 2015, la Fédération française du Bâtiment (FFB) publie dix propositions prioritaires pour développer l’essor économique des territoires et y maintenir l’emploi.
Trois grandes thématiques sont mises en avant :
Jacques Chanut complète « Près de 100 000 emplois ont été perdus dans notre profession depuis 2008 et les risques de défaillance n’ont jamais été aussi élevés. Cette situation est d’autant plus préoccupante que nos entreprises constituent souvent le socle du dynamisme local et de l’activité dans les départements. La fin des investissements est toujours le premier signe d’un déclin programmé d’un territoire et de sa perte d’attractivité pour longtemps. Les entrepreneurs et artisans du bâtiment avec les élus départementaux peuvent, ensemble, trouver des solutions pour éviter une telle spirale, lutter contre la désertification rurale et anticiper les enjeux de demain. »
Myriam KISS. Anild 03/2015
C'est la crise, on construit moins et ça se sent sur les chiffres de l'emplois.
Selon une récente étude du cabinet KMPG, seulement 18% des entreprises françaises du secteur du bâtiment pensent embaucher du personnel d'ici septembre 2013, contre 23% en 2011 et 28% en 2010.
En outre, le niveau de formation exigé par les employeurs s'élève.
Parmi les entreprises qui envisagent d'embaucher, 40% veulent ainsi recruter un salarié titulaire d'un bac pro (contre 34% en 2011), 37% avec un profil BTS (stable par rapport à 2011) et 22% disposant d'un CAP (contre 39% en 2011), tandis que les diplômés d'écoles d'ingénieurs seront davantage sollicités que l'an dernier (15% contre 10% en 2011).
Parmi les entreprises qui n'envisagent pas de recruter dans les prochains mois, près de 9 sur 10 prévoient de maintenir leur effectif, tandis que 11% des dirigeants interrogés souhaitent le réduire (contre 9% en 2011).
D'autre part, 60% des entreprises envisagent une hausse du prix des matières premières d'ici septembre 2013, tandis qu'une entreprise sur 10 prévoit une diminution.
Parmi les dirigeants qui prévoient une hausse du coût des matières premières, 60% ont déjà prévu de répercuter cette potentielle augmentation sur leurs devis (contre 74% en 2011), selon une enquête d'opinion réalisée par téléphone au cours de la période du 27 août au 15 septembre 2012, auprès de 800 dirigeants du bâtiment.
Source du 3/12/2012 http://www.economiematin.fr - Tugdual de Dieuleveult
DR
Seulement 18% des entreprises du bâtiment envisage de recruter d'ici septembre 2013
Patrick Liébus a lancé un cri d’alarme à l’attention du Gouvernement.
En effet, le recul de l’activité, qui s’est déclaré plus vite que prévu, ne serait que le « début d’une aggravation persistante ». Mesures de soutien, fin des restrictions fiscales et relance de la rénovation énergétique seront les clés pour sauver le secteur. Détails.
« Le recul de l’activité s’est confirmé plus rapidement que prévu. Nous comptons sur le Gouvernement pour prendre des mesures de soutien », a déclaré ce jeudi le Président de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).
Un nouveau vent de panique qui souffle sur le secteur ?
Après le froid qui avait gelé l’activité sur le premier trimestre, cette fois, c’est la suppression des mesures fiscales incitatives qui est pointée du doigt.
La Capeb note ainsi une baisse d’activité de -0.5% au 2e trimestre 2012, qu’elle explique également par les conditions climatiques encore capricieuses en avril et la succession de ponts en mai 2012, et par le durcissement d’accès au crédit, tant pour les ménages que pour les entreprises.
La rénovation énergétique : véritable appel d’air
En effet, le marché de la réhabilitation (0%) semble résister mieux que le neuf (-1%), si l’on compare au 2e trimestre 2011. Mais plus que la rénovation, c’est la rénovation énergétique qui pourrait être le salut des artisans (+3%). « Les chantiers de rénovation énergétique sont une vraie opportunité pour le secteur », reconnaît Patrick Liébus.
Cependant, si cette « bulle d’oxygène » est bien réelle, elle paraît soumise au bon vouloir des particuliers, qui « effectuent des travaux de rénovation énergétique une fois qu’ils n’ont plus le choix », s’inquiète le Président de la Capeb.
Ainsi, elle indique qu’au 2e trimestre 2012, 53% des travaux d’amélioration de la performance énergétique des logements (APEL) ne se font qu’en ultime recours, soit pour remplacer du matériel définitivement hors d’usage (contre 42% au 2e trimestre 2011).
« Nous attendons avec impatience la conférence environnementale de la rentrée qui, nous l’espérons, donnera des moyens aux particuliers afin qu’ils anticipent [leurs travaux], sans quoi ce marché, comme celui du neuf, s’arrêtera », prévient Patrick Liébus.
Nuages à l’horizon
Côté perspectives, le ciel ne fait que s’assombrir. C’est même un « avis de tempête », prédit la Capeb. Inquiète des derniers chiffres de la construction – permis de construire en baisse de 3.2% ; mises en chantier en chute de 18.7% - elle n’imagine pas une situation qui irait en s’arrangeant.
Ainsi, en matière d’emploi, 4% des chefs d’entreprises artisanales du bâtiment (soit environ 9.000 entreprises) prévoient de licencier ou de ne pas renouveler les contrats d’un ou plusieurs salariés. Plus inquiétant encore, ce sont les carnets de commandes qui sont passés de 107 à 89 jours entre janvier et fin juin 2012.
Sans compter des trésoreries qui ne font que de se dégrader…
Et Patrick Liébus de conclure : « Nous sentons une grande inquiétude chez les artisans qui craignent le pire pour les tout prochains mois. Nous attendons beaucoup du projet de loi de finances : le secteur ne supportera pas des restrictions fiscales supplémentaires et nous espérons que le Gouvernement en est bien conscient ».
Myriam KISS. Anild. Source : http://www.batiactu.com C.L. (12/07/2012)
Enjeu économique important, l’intérim préfigure les tendances du recrutement.
Pour le mois d’avril 2012, les chiffres demeurent fortement négatifs, avec une baisse de 11.2% des effectifs intérimaires, selon le dernier baromètre « Prisme Emploi ».
Le BTP, qui accusait, il y a encore deux mois, une des plus fortes chutes, semble suivre la tendance nationale. Explications.
Si l’on considère les secteurs d’activité, la dégradation est remarquable dans le Commerce (-8.1%), les services (-10.4%), le BTP (-10.4%), l’Industrie et les transports (-12%).
Encore une fois, le BTP fait parler de lui, qui représente près de 20% du marché de l’intérim (soit 120.000 équivalents temps plein).
L’Industrie et le transport, quant à eux, comptent pour quelque 60% des effectifs intérimaires.
Pour rappel, le BTP affichait une baisse de -12.7 % en mars 2012 (par rapport à mars 2011) et -14.4% en février dernier (par rapport à février 2011). « Le BTP suit en général une évolution stable, que la tendance moyenne baisse ou augmente.
En 2010 et 2011, l’intérim dans le BTP a ainsi moins augmenté que les autres secteurs, note Sébastien Archi, directeur des affaires économiques de Prisme.
En revanche, en 2012, la tendance se retrouve comparable avec la moyenne, ce qui est assez inhabituel, et le mois de février a été atypique, en raison des conditions climatiques ».
Dans les secteurs de la construction les plus touchés par la baisse de l’emploi intérimaire, le gros œuvre connaît une tendance moins porteuse, avec -19.5% sur les quatre premiers mois de l’année 2012.
Du côté des Travaux publics, la baisse est moins importante, à -4.4%, tandis que pour les travaux de construction spécialisés (2nd œuvre, travaux sur site…), la chute est de 9.4%, toujours entre janvier et avril 2012. « Un certain nombre de projets sont en stand-by, en raison des élections passées et à venir ».
C’est une période peu propice au développement des chantiers. En revanche, on peut s’attendre à un effet de rattrapage dès la rentrée », prédit Sébastien Archi.
L’Est parmi les régions en crise
Par qualification, sans surprise, les cadres et professions intermédiaires connaissent les baisses les moins fortes (-6.7% par rapport à avril 2011), tandis que les ouvriers qualifiés (-11.0%), les ouvriers non qualifiés (-12.9%) et les employés (-12.9%) accusent un fort recul.
Par région, enfin, pas de jaloux : la chute de l’emploi intérimaire concerne tout le territoire. Mais ce sont surtout les régions de l’Est de la France qui sont les plus touchées, avec des baisses de 15.3% en Lorraine, -16.0% en Champagne-Ardenne, -16.2% en Alsace et -17.6% en Franche-Comté.
Par ailleurs, l’Ile-de-France accuse une baisse de 12.5%, la Bretagne (-11.1%), l’Aquitaine (-7.3%) ou encore Provence-Alpes-Côte d’Azur (-11.6%).
En revanche, le Poitou-Charentes et le Limousin subissent une rétractation de l’activité, et enregistrent respectivement des baisses de 4.5% et 4.3%.
Emploi intérimaire par métiers
- Installations électriques : 16%
- Construction autres bâtiments : 13%
- Maçonnerie, gros-œuvre : 11%
- Construction routes et autoroutes : 7%
- Installation équipements thermiques et climatisation : 5.2%
Myriam KISS. Anild 06/2012 - Source : batiu.com
L'emploi intérimaire en baisse au mois de février
Le baromètre Prisme Emploi vient de publier les chiffres des effectifs intérimaires pour le mois de février 2012. Ils sont en baisse dans tous les secteurs et sur la quasi-totalité du territoire.
Le secteur du BTP est celui qui connaît le plus fort recul : -14,4 % par rapport à février 2011.
L’intérim représente un indicateur avancé du marché de l’emploi : il préfigure en effet les tendances du recrutement. Le baromètre Prisme Emploi permet donc de connaître rapidement les tendances afin d’identifier les métiers porteurs.
Les chiffres-clés pour le mois de février 2012 ont été communiqués et reflètent un repli de tous les secteurs de l’économie.
Tous subissent en effet une contraction des effectifs intérimaires (-6,8 %), un phénomène encore plus marqué dans le BTP (-14,4 % en un an). Le secteur représente à lui seul 14 % du marché de l’intérim, derrière l’industrie (52 %) et les services (16 %).
L’ensemble du territoire français est touché, certaines régions montrant un fort recul de l’activité comme la Picardie (-13,4 %), l’Alsace (-12,3 %) et la Champagne-Ardenne (-11,4 %).
Seule la région Midi-Pyrénées tire son épingle du jeu, avec une progression sur une année de 3,2 % des effectifs (+8,2 % depuis janvier 2012).
Du côté des emplois, les effectifs ouvriers sont en baisse (-6,1 % pour les ouvriers qualifiés, -9,6 % pour les non-qualifiés), tout comme le nombre d’employés intérimaires (-9,7 %).
En revanche, les cadres et professions intermédiaires connaissent une progression en février (+3 %).
Rappelons que les ouvriers non qualifiés représentent près de 4 3% des effectifs de l’intérim, devant les ouvriers qualifiés (36 %), les cadres (12 %) et les employés (9 %).
Myriam KISS. Anild 04/2012. Source : Batiacu.com
Construction21, premier portail européen de la construction durable
L’Ifpeb et France GBC ont annoncé, le 30 /03/2012, le lancement du site internet de « Construction21.eu », portail européen des professionnels de la construction durable.
Il s’agira à la fois d’une base de données européenne des réalisations les plus performantes (neuves ou rénovées), d’une bibliothèque d’innovations et d’une plateforme d’échanges entre spécialistes du durable.
L’économie verte et la mutation écologique de la construction sont en marche. Elles mettent les professionnels du bâtiment face à de nouveaux défis, comme trouver de nouveaux matériaux, de nouveaux procédés constructifs, de nouvelles façons de travailler.
L’Ifpeb (Institut Français pour la performance énergétique du bâtiment) a donc initié et coordonné un projet de plateforme collaborative européenne des acteurs du bâtiment :
le portail Internet « Construction21.eu ».
Lancé officiellement le 30 mars 2012, il s’agit d’un outil permettant de rassembler des réalisations de pointe dans une base de données unique, commune à l’ensemble des intervenants de la filière. Première communauté multi-spécialistes et multilingues du bâtiment durable, l’ensemble regroupe six plateformes nationales (France, Allemagne, Espagne, Italie, Roumanie et Lituanie) plus une plateforme centrale en langue anglaise, afin de faciliter les échanges.
Dans chaque pays, des contributeurs experts apportent un contenu d’intérêt, vérifié par des spécialistes reconnus par leurs pairs avant d’être publié. Les ressources de chaque plateforme nationale sont ensuite traduites en anglais puis remontées vers la plateforme centrale, internationale.
De là, elles sont également envoyées vers Buildup, le site de la Commission européenne, qui soutient financièrement le projet pendant 2 ans.
Christian Brodhag, président de l’Ifpeb, explique : « La performance énergétique et environnementale sont des enjeux internationaux de la construction. L’approche sera ici non descendante mais ascendante, depuis les projets l’information remontera à travers le réseau. Nous mettrons en synergie, voire en compétition amicale, les différents projets de construction au niveau européen afin d’apprendre des bonnes pratiques des uns et des autres ».
Il est rejoint par Bertrand Delcambre, président du CSTB : « Le portail apportera un rayonnement national et international aux atouts de la France. Il donnera également une bonne visibilité de l’état de l’art des meilleures pratiques étrangères ».
Le site « Construction21.eu » sera un outil d’accès à l’information gratuit dans un cadre non marchand.
Un réseau collaboratif ouvert
Outre la base de données des constructions les plus performantes, présentée sous forme de fiches synthétiques (plus de 100 critères, compatibles SB Alliance, dont la performance énergétique et environnementale, les systèmes, les innovations, l’environnement urbain et le coût de chaque bâtiment), d’autres fonctionnalités sont proposées.
Une bibliothèque des innovations recense les matériaux, équipements et solutions mises en œuvre dans les bâtiments d’excellence. Un palmarès annuel valorisera les meilleures réalisations européennes.
Le site internet « Construction21.eu » sera également un réseau collaboratif ouvert permettant le partage d’expériences.
Diverses communautés seront créées, à l’instar des groupes « Analyse du cycle de vie » ou « Garantie de performance énergétique » qui sont déjà actifs en France, animés par des experts.
Lors du lancement, 35 fiches bâtiments ont été mises en ligne, dont 22 sont d’origine française. Quelque 500 membres sont déjà inscrits.
Mais les objectifs sont ambitieux : d’ici à la fin de 2013, le site « Construction21.eu » espère publier 1.000 fiches et regrouper 300.000 membres provenant de neuf pays (les responsables espèrent un rapprochement avec des acteurs de Grande-Bretagne, du Danemark, de Finlande, de Hongrie ou de République tchèque).
Tous les professionnels de la construction durable pourraient être intéressés : architectes, maîtres d’ouvrage, constructeurs, promoteurs, bureaux d’études, collectivités, certificateurs, etc. comme le prouve la présence à la cérémonie de lancement d’Antoine Desbarrières, directeur de Qualitel, ou de Jean-Pierre Auriault (BNP Real Estate).
Ce dernier prévient : « Mieux faire connaître à l’international ce qui se fait en France et mieux communiquer est une première étape. Faciliter la convergence de marques de qualité au niveau européen et contribuer à leur rapprochement pourraient constituer un autre but.
Mais attention à ne pas verser dans le spectaculaire de certains projets, au risque d’oublier la production quotidienne de logements et de bureaux. Il faudra rester près des utilisateurs des bâtiments ».
Myriam KISS. Anild 04/2012 - Source : batiactu.com / G. N.
Benoist Apparu a présenté le 28/03/2012, en Conseil des ministres la feuille de route établie jusqu’en 2020 dans le cadre du «Plan Bâtiment Grenelle».
Objectif : poursuivre les efforts fournis en matière de consommation d’énergie dans le secteur du bâtiment.
Tout d’abord, il faudra « généraliser la construction des 'bâtiments basse consommation » (BBC) au 1er janvier 2013 et des «bâtiments à énergie positive» à l’horizon 2020» ;
- ensuite «réduire la consommation d’énergie du parc de bâtiments existants d’au moins 38 % d’ici à 2020, avec un objectif de 400.000 rénovations de logements, chaque année, à compter de 2013» ;
- «rénover l’ensemble des logements sociaux, avec, d’ici à 2020, la réalisation de travaux sur les 800 000 logements sociaux les plus 'énergivores» ;
- «engager la rénovation des bâtiments de l’Etat et de ses établissements publics, afin de réduire leur consommation énergétique de 40 % et leurs émissions de gaz à effet de serre de 50 % dans un délai de 8 ans» ;
- et enfin, «accompagner et mobiliser les professionnels du secteur pour relever les défis du recrutement, de la formation, de la qualification et du développement des filières industrielles».
Pour l’heure, le bilan a été dressé : «Le poids du bâtiment dans la consommation d’énergie totale en France a diminué de 1 point par an, passant de 43 % en 2007 à 40 % en 2010». Des efforts sont donc encore fournir dans les années à venir pour poursuivre ce recul entamé depuis cinq ans.
Retour sur des mesures et initiatives destinées à réduire la consommation d’énergie dans les bâtiments.
- Dans le domaine de la construction neuve, la «Réglementation Thermique 2012»
(RT 2012), prévoit une consommation énergétique divisée par trois. Cette réglementation a été largement anticipée puisque, en 2011, près de 190 000 logements et plus de 2,6 millions de m2 dans le tertiaire ont fait l’objet d’une demande de certification BBC, contre moins de 1.000 logements en 2007.
- Pour le parc existant, des travaux de rénovation ont été engagés, grâce au crédit d’impôt développement durable, à l’éco-ptz ou encore à l’éco prêt logement social (éco-PLS).
- Pour lutter contre la précarité énergétique, le programme «Habiter Mieux», géré par l’Agence nationale de l’habitat (Anah), vise à soutenir 300 000 propriétaires occupants modestes à financer des travaux d’amélioration de leur logement, d’ici à 2017.
- L’obligation depuis le 1er janvier 2011 d’afficher la performance énergétique des logements dans les annonces immobilières doit aider les ménages lors de l’acquisition ou la location de logements.
- Le programme de formation aux économies d’énergie des entreprises et artisans du bâtiment (FEEBAT) a déjà été suivi par près de 40 000 professionnels.
Myriam KISS. Anild 04/2012. Source : Batiactu.com
1,2 millions de salariés évoluent dans ce domaine en France et le BTP est en recherche de main d’œuvre qualifiée.
12,3 % des employés du BTP travaillent dans le domaine de l’encadrement de chantier.
L’encadrement de chantier :
des métiers de terrain aux responsabilités variées
L’encadrement de chantier consiste à assurer quotidiennement l’organisation générale d’un chantier d’un point de vue technique, humain et financier.
Diriger un chantier, composer les équipes, surveiller l’avancement des travaux, contrôler, coordonner, planifier les missions sont des responsabilités qui deviendront les vôtres en vous formant à distance avec l’Ecole Chez Soi.
Grâce à une formation en encadrement de chantier, devenez Chef de chantier, Aide conducteur de travaux ou encore Conducteur de travaux… Autant de métiers qui peuvent être spécialisés en bâtiment, travaux publics, construction métallique, paysagisme, bois…
Des métiers de terrain où l'homme est au centre de l'activité du chantier
Les métiers de la coordination et de l’encadrement de chantier nécessitent d’avoir le sens du travail en équipe et le goût pour la vie de chantier.
En fonction de votre niveau d’étude et de votre expérience, vous pourrez exercer les métiers de Chef d’équipe, Chef de chantier, Conducteur de travaux ou encore Directeur de travaux.
Les professeurs de l’Ecole Chez Soi sont des professionnels qui exercent des métiers d’ingénieurs en bâtiment, ingénieur en travaux publics, qui sont des professeurs de droit, de construction… et qui enrichissent les cours de leurs propres expériences et partagent leurs compétences avec les élèves.
Formations encadrement de chantier : vers l’emploi et la réussite
Après un BTS Bâtiment ou un BTS Travaux Publics, vous pourrez devenir chef de chantier et grâce à l’expérience acquise dans votre métier vous aurez la possibilité d’évoluer vers des postes à responsabilité comme conducteur de travaux.
Le BTS Bâtiment a obtenu le meilleur taux de réussite en 2010 : 90 % alors vous aussi inscrivez-vous et débutez une carrière en encadrement de chantier !
Pourquoi suivre une formation encadrement de chantier ?
Les nombreux départs à la retraite ou la mobilité des salariés, laissent des places vacantes et ouvrent les portes vers de nombreux recrutements. Parmi les métiers du secteur certains recrutent plus particulièrement, l’encadrement de chantier en fait partie.
Dans les travaux publics, la profession a pour objectif de recruter plus de 150 000 personnes en cinq ans, de tous niveaux.
Formation encadrement de chantier : des compétences aux multiples facettes
La profession se spécialise et demande de plus en plus de compétences. Il ne suffit plus d’avoir des compétences techniques pour devenir chef de chantier ou conducteur de travaux…
Le secteur se professionnalise et recherche des salariés qualifiés dotés de compétences financières, juridiques, RH, ou encore des compétences « managériales ».
Dans l’encadrement de chantier, il faut avoir des connaissances techniques et technologiques, savoir gérer des budgets, avoir de bonnes connaissances en droit de la construction, pouvoir parler plusieurs langues pour des chantiers à l’international… en bref être polyvalent.
L’Ecole Chez Soi forme chaque année des collaborateurs de ces grands groupes tout autant que des salariés de plus petites structures qui représentent 90 % des entreprises de Travaux Publics. Elles réalisent avec moins de 50 salariés en moyenne 30 % du montant total des Travaux Publics.
Myriam KISS. Anild 03/2012 Source : http://www.ecolechezsoi.com/
Formation en bâtiment et formation en travaux publics (BTP)
Depuis 15 ans, le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics est un des secteurs les plus dynamiques en terme de création d’emplois. Il fait travailler plus de 1,5 million de personnes en France, et plusieurs dizaines de milliers de postes sont à pourvoir chaque année.
Les besoins en salariés qualifiés sont importants pour pallier les nombreux départs à la retraite. Cependant ce secteur peine à recruter.
Les jeunes boudent le secteur du BTP, pourtant celui-ci a beaucoup évolué : les salaires y sont supérieurs à la moyenne (32 % d’augmentation en 5 ans), les horaires sont fixes et il existe de réelles possibilités d’évolution.
La demande des entreprises porte principalement sur les chefs de chantier, les conducteurs de travaux… mais également les métiers du bureau d’études, de l’ingénierie.
529 000 emplois sont à pourvoir d’ici 2015, dont 134 000 dans le secteur du gros œuvre, 118 000 dans le secteur du second œuvre, 90 000 chez les cadres du BTP, 63 000 chez les techniciens du BTP, 48 000 dans les travaux publics…
Avec une formation bâtiment ou une formation travaux publics de l’Ecole Chez Soi vous assurez donc votre avenir en vous formant à un métier porteur avec de belles possibilités d’évolutions de carrières.
Avec une formation bâtiment, vous pouvez exercer le métier de métreur concepteur, de dessinateur en bâtiment, salariés qui réalisent le projet en dessin, croquis, esquisses pour pouvoir réaliser ensuite les travaux de construction.
Le bâtiment, c’est aussi prévoir le chantier, déterminer la bonne réalisation d’un ouvrage, concevoir le projet. Ce sont des salariés en encadrement de chantier qui vont prendre le relais et veiller à la bonne réalisation des travaux.
L’assistant d’ingénieur en bâtiment travaille à côté de l’ingénieur et le décharge, lors d’une étude ou d’une réalisation TCE, des lots non liés à la structure.
L'environnement de travail de l'Assistant d'ingénieur bâtiment
L’assistant d’ingénieur bâtiment seconde l’ingénieur dans l’élaboration technique d’un « projet » de bâtiment. Il détermine les procédés techniques, les méthodes d’organisation et le coût afin de réaliser une future opération de construction. Il intervient essentiellement pour effectuer l’étude d’exécution.
L'assistant d'ingénieur en bâtiment peut seconder également l’ingénieur d’étude qui a un rôle important dans la préparation des chantiers, dans lesquels il est également un précieux conseiller technique pour l’ingénieur de chantier.
Auprès de l’ingénieur de chantier, l’assistant d’ingénieur en bâtiment prend en charge l’ordonnancement des travaux (planification de l’intervention des différents corps d’état), le suivi de chantier, l’organisation et la coordination des équipes en fonction des plans d’exécution élaborés par les bureaux d’étude et de méthode (effectif et moyens techniques). Il collabore à la mise au point des plans d’exécution.
L’assistant d'ingénieur bâtiment peut travailler en bureaux d’étude ou de méthode ou sur le chantier.
L’assistant d’ingénieur en bâtiment peut évoluer vers d’autres fonctions ou dans d’autres domaines techniques. Il peut devenir responsable d’un service, directeur d'une entreprise dans le bâtiment...
A qui s’adresse la formation Assistant d’ingénieur bâtiment ? La formation Assistant d’ingénieur bâtiment s’adresse aux personnes en recherche de responsabilités dans divers domaines (chantier, études…), diplômées d’un bac scientifique ou technique ou justifiant d’une expérience professionnelle significative de 3 ans dans le domaine.
Pour accéder à cette formation, les qualités requises sont :
Avoir le sens de l’effort et savoir travailler dans l’effort si besoin ;
Détenir de fortes compétences techniques dans divers domaines ainsi que des connaissances administratives et financières ;
Démontrer de grandes qualités d’organisation et de rigueur ;
Posséder un bon esprit d’analyse ;
Etre innovant et réactif pour pouvoir trouver des solutions et en mesurer les impacts et les enjeux ;
Avoir des qualités relationnelles et aimer le travail d’équipe ;
Avoir le sens de la négociation.
Le métier de Collaborateur principal d’architecte
Le Collaborateur principal d’architecte est le bras droit de l’architecte.
Il l’accompagne et est capable de le remplacer dans toutes les phases de sa mission : évaluer la faisabilité de la construction selon tous les paramètres : concevoir les plans architecturaux, choisir les entreprises partenaires de la construction, suivre l’avancement des travaux en collaboration avec le maître d’ouvrage. Il joue un rôle de contrôle jusqu’à la livraison des travaux.
Avec l’architecte, il peut travailler sur des projets très variés : la conception de bâtisses, la transformation, l’agrandissement et la réhabilitation de bâtiments, la conservation et la restauration de monuments du patrimoine, l’aménagement d’espaces publics, l’étude des impacts de constructions, le conseil, l’urbanisme... les missions se suivent mais ne se ressemblent pas.
Véritable acolyte de l’architecte, il est de plus en plus responsable de la qualité de vie des habitants : il doit penser chaque étape du projet en minimisant son impact sur l’environnement dans le cadre d’une démarche HQE (Haute Qualité Environnementale). Il doit également concevoir des espaces fonctionnels, qui s’intègrent respectueusement dans le patrimoine d’une région, et doit désormais remplir un rôle social (mixité des générations, des catégories sociales...).
Les missions du Collaborateur principal d’architecte
Le Collaborateur principal d’architecte accompagne l’architecte en amont comme en aval du projet :
Il réalise l’étude d’avant-projet en tenant compte des exigences propres à l’environnement ;
Il compose l’équipe des entreprises partenaires afin d’optimiser les délais et les coûts (entreprises d’électricité, de maçonnerie, d’installations thermiques, de peinture, de béton...)
Il réalise des documents complets et soignés, qui permettent de traduire la conception de l’architecte (plans géométraux, esquisses, maquettes en trois dimensions, vidéos ou maquettes virtuelles...). Ceux-ci sont modifiés au rythme des retours du client, ce que le dessin assisté par ordinateur permet désormais de faire aisément ;
Il assure la conformité du projet avec les réglementations de la construction et anticipe les coûts pour transmettre les délais et budgets prévisionnels au client de manière réaliste ;
En tant que maître d’œuvre, il réalise des comptes-rendus pour le client au fur et à mesure de l’avancement du projet ;
En relation avec différents acteurs, il essaie de concilier leurs souhaits avec ses recommandations.
Les conditions de travail du Collaborateur principal d’architecte
Le Collaborateur principal d’architecte partage son quotidien entre le bureau et le terrain.
Il travaille en relation avec des professionnels qui entourent l’architecte et assurent certaines missions depuis des bureaux d’études : ingénieurs, métreurs, topographes, conducteurs de travaux.
Son rythme de travail dépend du commanditaire, ainsi que de ses missions. Le client peut être un particulier, une entreprise privée, une association, l’Etat, ou encore une collectivité territoriale...
Le collaborateur principal d’architecte travaille le plus souvent au sein de petites structures (15 500 agences d’architecture en France emploient respectivement 1 à 2 salariés par entreprise en moyenne) avec quelques gros cabinets. Il peut également exercer son métier au sein de bureaux d’études ou de sociétés de promotion immobilière.
Les débouchés du Collaborateur principal d’architecte
Après avoir fait ses preuves aux côtés de l’architecte, le Collaborateur principal d’architecte a la possibilité d’évoluer grâce à une formation complémentaire. Il pourra, à terme, devenir architecte chez un maître d'ouvrage (public ou privé), architecte associé au sein d'un cabinet d'architecture, architecte indépendant en créant sa propre agence, ou architecte indépendant exerçant en libéral.
La formation maître d’œuvre délégué, la spécialisation en paysage pour les architectes et maîtres d’œuvre ou la formation concepteur indépendant en architecture intérieure lui ouvriront les portes du paysage ou de l’architecture intérieure.
A qui s’adresse la formation Collaborateur principal d’architecte ?
La formation Collaborateur principal d’architecte s’adresse à toute personne de niveau Bac ou possédant d’une expérience professionnelle significative de 3 ans minimum dans le domaine.
Pour suivre la formation de Collaborateur principal d’architecte, il faut être créatif : le collaborateur principal d’architecte doit montrer de solides bases en dessin; être précis, rapide, rigoureux, passionné par la conception et avoir le sens artistique. Il faut aussi avoir le sens du travail en équipe.
Le métier de Chef de chantier bâtiment
Le Chef de chantier bâtiment, sous la responsabilité d’un Conducteur de travaux, prépare, organise et suit la réalisation de tout ou partie d’un chantier de construction de bâtiment.
Chargé de diriger les travaux, il supervise l’installation du chantier, la livraison et la réception des engins et des matériaux.
C’est également lui qui organise le travail des équipes de façon efficace, en respectant les consignes de sécurité, les délais et la qualité des travaux.
Les missions du Chef de chantier bâtiment
Les missions du Chef de chantier bâtiment sont très variées : chantier, administration et gestion et management. Au quotidien, il réalise différentes actions à trois moment clé du chantier :
Avant la construction :
Il regroupe les informations nécessaires à la bonne réalisation des travaux ;
Il assiste aux réunions préparatoires avec les conducteurs de travaux et les ingénieurs d’études ;
Il prend connaissance du dossier technique ;
Il lit les plans ;
Il organise le travail à partir des plans ;
Il définit les besoins en hommes, en matériels et en matériaux ;
Il définit les volumes d’heures de travail à allouer au chantier ;
Il planifie l’activité de son équipe et répartit leurs tâches.
Pendant la construction :
Il présente le chantier, son planning, son mode de construction et les consignes aux différents intervenants ;
Il contrôle l’approvisionnement des fournitures et matériels ;
Il détermine avec les chefs d’équipe la répartition des tâches entre les différents ouvriers qui s’activent sur le chantier ;
Il vérifie et contrôle les plannings ;
Il gère, coordonne et anime les équipes dont il a la responsabilité ainsi que les différents corps de métier présent sur le chantier ;
Il veille à l’hygiène et au respect des règles de sécurité du travail ;
Il suit et contrôle l’avancement et la conformité des travaux en fonction du plan d’exécution et des délais. En cas d’éventuels imprévus, il trouve rapidement des solutions techniques ou humaines.
Après la construction :
Il s’occupe principalement des tâches administratives ;
Il s’occupe de la gestion du personnel (horaires, primes…) ;
Il vérifie les bons de commandes et les factures ;
Il établit les éléments de facturation ;
Il actualise le carnet de bord du chantier ;
Il réalise des comptes-rendus ;
Il informe et communique sur les avancées et les difficultés d’un chantier ;
Pour terminer, il livre son chantier à son client.
Les conditions de travail du Chef de chantier bâtiment
Le Chef de chantier bâtiment travaille au quotidien sur le chantier, il doit donc être capable de travailler par tout les temps. Il doit savoir s’organiser et savoir faire face aux imprévus…
En général le chef de chantier se déplace souvent, en effet il peut superviser plusieurs chantiers. Etre chef de chantier, c’est avant tout être un meneur d’hommes et gérer la sécurité des ses hommes et s’assurer de la qualité du travail rendu.
Le Chef de chantier bâtiment exerce au sein d’entreprises de bâtiment, de génie civil…
Les débouchés du Chef de chantier Bâtiment
En général, avant d’occuper un poste de Chef de chantier, les jeunes diplômés occupent un premier poste de Chef d’équipe.
Après avoir fait ses preuves, l’évolution vers le poste de Chef de chantier bâtiment est rapide.
Avec de l’expérience, et des formations supplémentaires, il peut prétendre à des postes de Chef de chantier principal puis de Conducteur de travaux bâtiment.
En fin de carrière, il peut également occuper un poste de Directeur de travaux. Il peut aussi rejoindre le bureau des méthodes d’une grande entreprise ou accéder à un poste de Technico-commercial bâtiment. Avec une formation supplémentaire, il peut également prétendre à un poste d’Ingénieur en bâtiment .
A qui s’adresse la formation Chef de chantier Bâtiment ?
La formation Chef de chantier bâtiment s’adresse aux personnes qui sont intéressées par des fonctions d’encadrement sur un chantier, et qui aiment gérer un projet dans son intégralité et sur le terrain.
Pour intégrer la formation Chef de chantier bâtiment, les qualités requises sont :
Avoir des capacités à prendre des décisions efficaces pour mener à bien les travaux demandés ;
Etre organisé pour anticiper tous les imprévus du chantier : enchaînement des corps de métier, approvisionnement du chantier ;
Etre un meneur d’hommes ;
Etre endurant ;
Etre réactif et mobile car il est parfois nécessaire de se déplacer sur plusieurs chantiers ;
Savoir donner des directives de façon claire et précise.
Pour suivre la formation Chef de chantier bâtiment, il est recommandé d’avoir un niveau de classe de première ou une expérience significative de 3 ans sur les chantiers, au moins comme Chef d’équipe.
Le métier de Chef de Chantier - Voiries et Réseaux Divers
Le Chef de chantier VRD (Voiries et Réseaux Divers -VRD) travaille sous la responsabilité d’un Conducteur de travaux VRD. Il a en a charge une opération de construction de voirie et réseaux divers dans le respect des délais et des consignes de sécurité.
Il est donc responsable du bon déroulement du chantier et il s’assure du suivi des travaux.
Le sigle VRD englobe la voirie, les réseaux divers, l’aménagement des abords et des espaces verts. Les travaux d’encadrement de chantier en VRD concernent donc des ouvrages d’infrastructure. Les travaux en VRD permettent d’assurer la viabilité d’un terrain sur lequel doit être édifié des constructions mais également d’améliorer l’environnement.
Les missions du Chef de chantier Voiries et Réseaux Divers
Le Chef de chantier VRD prend en charge l’intégralité d’un chantier VRD, de la préparation à la levée des réserves :
Il organise le travail à partir des plans ;
Il est responsable des délais d’exécution ;
Il supervise l’installation du chantier ainsi que la livraison et la réception des matériaux ;
Il planifie les travaux ;
Il coordonne les approvisionnements et l’attribution du matériel ;
Il anime les équipes ;
Il peut intervenir sur des projets de pavage, enrobés, assainissement, réseau sec… ;
Il gère les aspects techniques et financiers du chantier ;
Il rend compte de son travail au Conducteur de travaux VRD.
L’environnement du Chef de chantier VRD
Le Chef de chantier VRD travaille sur des chantiers en extérieur. Il peut être amené à se déplacer sur plusieurs chantiers.
Il travaille en étroite collaboration avec le Conducteur de travaux VRD et son équipe. Il est également en relation avec le bureau d’études qui conçoit les plans.
Les débouchés du Chef de chantier Voiries et Réseaux Divers
Le Chef de chantier VRD peut évoluer vers un poste de Chef de chantier bâtiment ou Chef de chantier Travaux publics s’il souhaite élargir le cadre de ses missions. Il peut également évoluer, grâce à son expérience professionnelle et une formation vers un poste de Conducteur de travaux VRD et Paysage.
Avec une expérience de chantier, le chef de chantier VRD peut aussi suivre une formation dans le domaine commercial pour occuper un poste de Technico-commercial bâtiment.
On recherche en effet, dans le secteur de la construction et particulièrement au sein des entreprises spécialisées dans la VRD, des profils de cadres experts, sur les questions techniques, et suffisamment à l’aise pour assumer leurs responsabilités devant les équipes engagées.
Grâce à votre expérience vous pourrez postuler à des postes de conducteur de travaux VRD ou de directeur de travaux.
A qui s'adresse la formation Chef de chantier Voiries et Réseaux Divers ?
La formation Chef de chantier VRD s'adresse aux personnes intéressées pour travailler dans l’encadrement de chantier, et particulièrement dans la voirie et réseau divers.
Les qualités requises pour être Chef de chantier VRD sont :
Des capacités de management;
Des qualités de gestionnaire technique et administratif;
Une expertise en gestion des ressources humaines sur le chantier;
La réactivité et la mobilité car il est parfois nécessaire de se déplacer sur plusieurs chantiers;
Etre réactif face aux imprévus, quel que soit le corps de métier concerné.
Pour intégrer la formation Chef de chantier VRD, le niveau requis est soit une classe de terminale soit une expérience professionnelle significative de 3 ans sur les chantiers, au moins comme Chef d’équipe.
Le métier de chef de chantier second œuvre
En résumé, il a en charge la réalisation d’un chantier neuf ou de réhabilitation d’intérieur (cloisons, revêtement de sol, peinture, menuiserie, électricité, climatisation, isolement…).
Les missions du Chef de chantier second œuvre
Le Chef de chantier second œuvre s’occupe de la finition du chantier. Il apporte son goût et son sens artistique à la construction. Pour cela, il :
S’informe des aménagements intérieurs à réaliser grâce aux plans et autres descriptifs techniques ;
Il gère les approvisionnements de matériels et de personnels nécessaires à la bonne exécution des travaux ;
Il répartit les équipes en tenant compte des différents corps d’état : menuiserie, plafonds, revêtements, électricité… ;
Il contrôle l’avancement des travaux et de la conformité des réalisations en fonction des plans d’exécution ;
Il fait respecter les règles de sécurité sur le chantier ;
Il communique sur l’avancée des travaux ;
Il se réunit avec tous les chefs d’équipe (bâtiment, gros œuvre) qui ont participés aux travaux pour vérifier la bonne réception du chantier.
L'environnement de travail du Chef de chantier second œuvre
Le Chef de chantier second œuvre travaille généralement dans des entreprises de construction et de rénovation relevant du second œuvre du bâtiment : peinture, plâtrerie, vitrerie, revêtements sols et murs, aménagement intérieur.
Il travaille donc sur des chantiers de construction neuve ou de réhabilitation. Il est en relation constante avec différents intervenants : clients, fournisseurs, autres chefs de chantiers...
Les débouchés du Chef de chantier second œuvre
Le Chef de chantier second œuvre peut évoluer avec de l’expérience et une formation supplémentaire vers des postes de Responsable de chantiers second œuvre, Responsable de travaux second œuvre ou encore Conducteur de travaux second œuvre.
La formation Chef de chantier second œuvre s’adresse aux personnes qui souhaitent évoluer dans l’encadrement de chantier mais plus particulièrement intéressées par l’aménagement d’espaces intérieurs.
Les corps d’état du second œuvre sont : la métallerie, le bois, les matériaux composites, l’aménagement (cloisonnement, faux plafond, ventilation, électricité, la plomberie…), les finitions et embellissements (menuiserie, mobilier, plafonnage…) et les sols.
Pour intégrer la formation Chef de chantier second œuvre, vous :
Etes charismatique et pouvez gérer une équipe ;
Savez répondre aux imprévus de temps, de planning, de budget… ;
Vous faites preuve d’une certaine sensibilité pour l’aménagement d’espaces ;
Devez avoir des qualités de gestionnaire pour ne pas dépasser le budget alloué ;
Devez connaître les spécificités techniques de chaque corps d’état entrant en jeu dans la construction du second oeuvre de l’ouvrage.
Le niveau requis pour suivre la formation Chef de chantier second œuvre est soit un niveau de classe de première soit une expérience professionnelle significative dans le BTP.
Le métier Chef de chantier Travaux Publics
Le Chef de chantier Travaux Publics prépare, organise et suit un chantier de Travaux Publics sous la responsabilité d’un Conducteur de travaux - Travaux Publics.
Il a donc pour activité la gestion des équipes, la planification et le contrôle des travaux, l’organisation et le suivi du chantier de Travaux Publics.
Les missions du chef de chantier Travaux Publics
Le Chef de chantier Travaux Publics peut gérer un chantier dans son intégralité.
En début de chantier :
Il lit les plans du chantier de Travaux publics et s’assure que toutes les contraintes ont été prises en compte ;
Il choisit les méthodes d’exécution ;
Il prévoit et organise les approvisionnements en personnel, matériels et matériaux ;
Il détermine les plannings avec les conducteurs de travaux puis avec les chefs d’équipes ;
Il participe au chiffrage de l’opération ;
Il répartit le travail à faire ;
Il supervise l’installation du chantier.
A la fin du chantier :
Il assiste à la réception des travaux ;
Il établit les rapports de chantier ;
Il veille au repli des installations de chantier et à la remise en état des abords.
L'environnement de travail du Chef de chantier Travaux Publics
Le Chef de chantier Travaux Publics exerce son activité au sein d’entreprises générales de Travaux Publics, de terrassement, de routes et VRD…
Il est souvent amené à se déplacer sur les nombreux chantiers dont il peut avoir la responsabilité. Son activité s’exerce généralement à l’extérieur, le Chef de chantier Travaux Publics doit donc tenir compte des intempéries dans la réalisation des travaux.
Les débouchés du Chef de chantier Travaux Publics
Le Chef de chantier Travaux Publics occupe un poste ou la mobilité et l’évolution sont très courantes et la promotion interne très développée.
Grâce à une expérience du chantier et une formation supplémentaire il peut devenir Conducteur de travaux - Travaux Publics ou encore plus tard Ingénieur en Travaux Publics.
Par ailleurs, il peut également rejoindre le bureau des méthodes d’une grande entreprise ou occuper des fonctions de Technico-commercial bâtiment ou de Chargé d’affaires.
A qui s'adresse la formation Chef de chantier Travaux Publics ?
La formation Chef de chantier Travaux Publics s’adresse aux personnes qui veulent travailler dans l’encadrement de chantier et plus particulièrement sur des chantiers de travaux publics.
Pour suivre la formation Chef de chantier Travaux Publics, il faut de préférence :
Etre un meneur d’hommes, avoir une capacité à manager;
Avoir des qualités techniques et généralistes;
Etre réactif et mobile car il est parfois nécessaire de se déplacer sur plusieurs chantiers;
Savoir manager et donner des directives claires et précises;
Savoir répondre à tous les imprévus, quel que soit le corps de métier concerné.
Le niveau requis pour intégrer la formation Chef de chantier Travaux Publics est soit un niveau de classe de première soit une expérience significative de 3 ans sur les chantiers, au moins comme chef d’équipe.
Le métier de Métreur concepteur
Le métreur concepteur est à la fois un économiste de la construction et un conducteur de travaux, mais également un « concepteur de maisons individuelles », agenceur et conducteur de travaux. C'est un métier complet.
Quelles sont les missions du Métreur concepteur ?
Le métreur concepteur compose avec les volumes, les matériaux, les couleurs... tout en tenant compte des contraintes techniques. En chef de projet, le métreur concepteur élabore un projet sous forme d'esquisses, de plans, de descriptifs... Correspondant aux désirs du client, le métreur concepteur en calcule le coût et établit les devis. Le métreur concepteur assure la surveillance et le suivi des travaux.
Le métreur concepteur possède de bonnes connaissances en matériaux, en dessin, en arts appliqués et en informatique, et en technologie de la construction. Ses activités recouvrent l’aménagement d’appartements, de maisons individuelles, de locaux commerciaux ou d’accueil du public, de bureaux, de stands d’exposition...
En chef de projet soucieux du détail, le métreur concepteur élabore un projet sous forme d’esquisses, de plans, de descriptifs correspondant aux désirs du client. Il en calcule le coût et établit les devis.
Il soumet ce devis au client. S’il est accepté, il en établit la programmation, coordonne les interventions des différents corps de métiers (entreprises ou artisans). Il assure la surveillance et le suivi des travaux. Des compétences techniques étendues complètent son sens artistique et il doit aussi connaître la législation du bâtiment.
L'environnement de travail du Métreur concepteur
Le métreur concepteur intervient du relevé de mesure à la phase terminale des travaux. Il conçoit, réalise, coordonne les différents corps de métiers intervenant sur le chantier et gère l'ensemble du projet.
Homme de dialogue, le métreur concepteur est en relation avec les clients, les entreprises, les fournisseurs et fait la navette entre son bureau et les chantiers.
Les débouchés du Métreur concepteur
Après quelques années d’expériences, le métreur concepteur peut évoluer et se former au métier de métreur concepteur indépendant.
Vous pouvez exercer comme salarié d’un architecte, d’une agence, d’un cabinet d’architecture ou d’un bureau d’étude.
Appelé à un rôle d’encadrement, le métreur concepteur doit envisager la mobilité, les emplois les plus intéressants ou les plus nombreux pouvant exister ailleurs que dans sa région, ou même à l’étranger.
A qui s’adresse la formation Métreur concepteur ?
La formation Métreur concepteur s’adresse à toute personne de niveau Bac ou disposant d’une expérience professionnelle significative d’au moins 3 ans dans le domaine. Pour suivre la formation Métreur concepteur, il faut être imaginatif, avoir le goût de la conception, des qualités d’organisation, le goût du contact et les qualités nécessaires au travail en équipe et sur le terrain.
Le métier de Chef de chantier Routes
Le Chef de chantier Routes assure l’organisation générale d’un chantier routier ou d’une partie de celui-ci selon son importance.
Il est donc responsable de l’organisation et du suivi du chantier et travaille sous la direction d’un conducteur de travaux Routes. Son but est de livrer son chantier routier dans les temps en tenant compte des conditions de sécurité.
Les missions du Chef de chantier Routes
Le Chef de chantier Routes a pour missions :
Le Chef de chantier Routes travaille en extérieur et peut se déplacer d’un chantier à l’autre.
La formation Chef de chantier Routes s’adresse aux personnes qui souhaitent évoluer dans l’encadrement de chantier et plus particulièrement pour les travaux routiers.
Pour intégrer la formation Chef de chantier Routes, les qualités demandées sont :
Avoir des aptitudes au management ;
Posséder des qualités de gestionnaire technique et administratif ;
Etre réactif face aux aléas et être force de proposition ;
Etre réactif et mobile pour pouvoir se déplacer sur plusieurs chantiers si nécessaire.
Pour suivre une formation Chef de chantier Routes, le niveau requis est un niveau de classe de première ou une expérience professionnelle significative de 3 ans sur les chantiers, au moins comme chef d’équipe.
Le métier du Projeteur en bâtiment
Le projeteur en bâtiment réalise des dessins techniques (plans généraux et détails de construction) et effectue le métré des ouvrages à réaliser (quantitatif de matériaux et estimatif des coûts).
Quelles sont les missions du projeteur en bâtiment ?
Le projeteur en bâtiment a un rôle de médiateur sur le chantier. Il conçoit les plans utilisés à chaque étape d’un chantier et est responsable de leur mise à jour.
Le projeteur en bâtiment est responsable du regroupement de l’ensemble des dessins et de l’établissement des nomenclatures mais aussi de la diffusion et de la réception des documents.
Sous le contrôle de l'ingénieur, il assure de manière graphique la réalisation d'un projet imaginé et dessiné dans un atelier d'architecture.
A partir de plans d'architecte, de notes de calculs d'ingénieurs, des différentes réglementations techniques (DTU, normes,...) et des détails fournis par les différents corps d'états (sanitaire, plomberie, menuiseries, étanchéité, charpentes,...), le projeteur en bâtiment élabore les plans de coffrage et de ferraillage. Ces plans de structure seront suivis tout le long du chantier.
Les conditions d’exercice du projeteur en bâtiment
Le projeteur en bâtiment exerce en bureau d’étude, il a pour fonction de préparer des dessins permettant la réalisation d’ouvrages. Il exprime sa vision sur papier et en multimédia, il réalise des plans sur papier et informatique et est aussi amené à calculer des structures, sous le contrôle d’un ingénieur.
Projeteur en bâtiment : une carrière riche en perspectives
Un projeteur en bâtiment confirmé délègue une partie de son travail à des dessinateurs projeteur en bâtiment et contrôle ensuite leurs plans. Il est chargé d'interpréter les notes de calculs élaborés par l'ingénieur et de les transcrire sous forme de dessin.
Il réalise des calculs de résistance de matériaux simples. Il est responsable de son projet et peut participer aux réunions de chantiers.
A l’issue de plusieurs années d’expériences, le projeteur en bâtiment peut prétendre au poste d’ingénieur en bâtiment.
A qui s’adresse la formation Projeteur en bâtiment ?
Pour prétendre à la formation Projeteur en bâtiment, il faut posséder un Bac scientifique ou technique, ou avoir une expérience professionnelle significative de 3 ans minimum dans le domaine.
Les personnes ayant une bonne connaissance du dessin technique peuvent aussi suivre cette formation.
La formation Projeteur en bâtiment nécessite certains pré-requis tels que :
une bonne perception de l’espace ;
une bonne mémoire pour assimiler des données techniques importantes.
Pour pouvoir exercer le métier de Projeteur en bâtiment il est également important d’avoir un esprit d’équipe, d'être synthétique, d'être rigoureux et logique et d'être passionné par la conception.
Le métier de Dessinateur projeteur VRD et Génie Civil
Le dessinateur projeteur VRD et génie civil étudie et réalise les plans ou dessins de projets de construction, de réhabilitations, d'aménagements d'ouvrages intérieurs et/ou extérieurs selon les solutions techniques et architecturales retenues et la réglementation.
Les missions du dessinateur projeteur VRD et génie civil
Le dessinateur projeteur VRD et génie civil conçoit le projet.
Il établit le dossier complet d'avant projet, effectue le métré des ouvrages (quantitatif de matériaux, cout de la main d'œuvre et estimations). Il décrit les étapes et les détails techniques de l'exécution des travaux.
Le dessinateur projeteur VRD et génie civil participe à la maîtrise d'œuvre en vérifiant que le chantier se déroule conformément à ce qui a été défini en amont du projet.
Il conçoit ensuite les schémas détaillés et vérifie certains calculs. Enfin, il élabore les plans de détail. Il a une responsabilité d’ensemble sur les dessins (recollement, mises à jour, nomenclatures, diffusion, réception des documents…) ainsi que sur le projet et sa mise en œuvre :
Dessinateur projeteur VRD et génie civil
Le dessinateur projeteur VRD et génie civil dirige une équipe de dessinateurs pour la réalisation des plans, utilisés à chaque étape d’un chantier.
Il exerce au sein de bureaux d'études, de dessin, de cabinets d'architectes, ... en coordination avec les concepteurs de projets de construction (architectes, ingénieurs méthodes, maître d'ouvrage, ...).
Les débouchés du Dessinateur projeteur VRD et génie civil
Avec plusieurs années d’expérience, le dessinateur projeteur VRD et génie civil peut coordonner une équipe.
A qui s’adresse la formation Projeteur VRD et Génie Civil ?
La formation Dessinateur projeteur VRD et Génie Civil s’adresse aux personnes qui souhaitent concevoir des projets de construction en Voirie et Réseaux Divers et en Génie Civil.
Pour accéder à cette formation, vous devez avoir un niveau bac scientifique ou technique ou une expérience professionnelle significative de 3 ans minimum dans le domaine.
Les qualités souhaitées pour aborder cette formation sont :
Avoir une bonne représentation spatiale ;
Avoir une bonne mémoire pour retenir les données techniques importantes ;
Avoir l’esprit d’équipe ;
Avoir un esprit de synthèse ;
Etre rigoureux ;
Dossier réalisé par Myriam KISS. Anild 03/2012
Spécialisé dans les métiers du BTP, de la construction et de l’immobilier, le site batiactuemploi.com entend devenir la référence en matière de recrutement en 2012 dans ce secteur très dynamique.
Olivia Claudeville, directrice du site, nous détaille les projets et chantiers de l’année 2012.
Dans quel environnement évolue le site Batiactuemploi ?
Il fait partie du portail Batiactu, développé par le groupe Cap Info Pro. Depuis dix ans, les sites du groupe traitent des problématiques du secteur BTP-construction-immobilier et s’adressent aux professionnels.
En tant que site emploi de ce portail, notre force est de ne pas être un site de recrutement isolé. Nous captons l’attention de ceux qui ont un intérêt pour le secteur et qui visitent Batiactu.
Nous avons actuellement plus de 4500 offres d’emploi en ligne et recevons environ 250.000 visites par mois.
Quelle offre proposez-vous aux recruteurs ?
Ils peuvent poster une annonce en ligne pendant 90 jours pour 595 euros avec un accès à la CVthèque d’une semaine. Le délai de 90 jours s’explique par le fait qu’il s’agisse d’un secteur très concurrentiel, avec des profils spécialisés et des candidats généralement en poste, donc les recruteurs mettent souvent plus de temps à trouver la bonne personne que dans d’autres secteurs.
Quels sont vos axes de développement pour 2012 ?
Le gros chantier va être la refonte intégrale du site qui a besoin d’un petit coup de jeune. Nous espérons que la nouvelle version sera prête pour le mois d’avril 2012. Elle sera plus ergonomique et orientée vers les candidats en leur offrant plus d’outils dans leur recherche d’emploi.
Ensuite, nous voulons renforcer les partenariats avec les écoles, notamment pour attirer de jeunes ingénieurs et d’anciens élèves.
Enfin, nous souhaitons renforcer notre présence commerciale auprès des acteurs du secteur en leur proposant un service de qualité pour répondre au mieux à leurs attentes.
Comment se porte le secteur ?
Le BTP est un secteur énorme (environ 349.000 entreprises en France) qui recrute à tous les niveaux donc nous sommes positionnés sur tous les métiers et pour tous les publics.
Nous n’avons pas senti de gel des recrutements : nos clients continuent à mettre l’accent sur les annonces et sur le sourcing via la CVthèque. Nous sommes donc plutôt optimistes.
Source : exclusiverh.com - Fiona Collienne. 02/2012