Même avec plus de 8 millions de chômeurs réellement,
certains employeurs ont toutes les peines du monde à dénicher de nouvelles recrues.
TPE, PME, start-up, associations :
Google soutient les réussites françaises.
moteurdereussites.withgoogle.com
Le groupe LVMH a inauguré le 6/02/2015 une nouvelle usine "Guerlain" de produits de soins et de maquillage, d'une surface de 21.000m2 à Chartres (Eure). Ce site emploie 350 salariés et sa capacité de production sera doublée.
Myriam KISS. Anild 02/2015
En 15 ans d'existence, jamais le groupe nucléaire n'a connu une situation aussi dégradée. Ses dirigeants ne s'en cachent plus, il y a péril en la demeure Areva.
Philippe Varin et Philippe Knoche, respectivement président du conseil d'administration et directeur général du groupe nucléaire, ont commencé à rendre publique des informations financières avant la publication des résultats pour 2014, prévue le 4 mars 2015...
Le groupe élabore un plan de compétitivité. Il envisage des réductions d'effectifs et un partenariat avec le groupe EDF.
L'aggiornamento d'Areva sera aussi social. Dernier signe de l'urgence d'une telle transformation : l'arrivée le 1er mars 2015 d'un nouveau directeur des Ressources humaines, François Nogué (ex Directeur général délégué aux RH de la SNCF depuis 2006) qui sera aussi membre du Comité exécutif d'Areva. François Nogué est par ailleurs Président du Conseil d'administration de Pôle Emploi depuis 2012.
Effectif d'Areva : 45.000 salariés dont les deux tiers en France. La nouvelle direction a déjà engagé des discussions avec les organisations syndicales. Des signes de tensions sociales apparaissent comme le prouve la manifestation à l'usine de la Hague fin janvier 2015....
Source pour lire la suite : Le Monde du 7/02/2015. n° 21791 (pages Eco & Entreprise)
Myriam KISS. Anild 02/2015
En conseil de métropole le 27/01/2015, les élus ont voté le montant de leurs indemnités.
Des émoluments à la hausse par rapport à ceux du Grand Lyon.
Alors que la droite a contesté cette hausse, Thérèse Rabatel, du groupe Métropole Gauche Solidaire a tenté de la justifier, expliquant que « si on n’indemnise pas correctement les élus, on provoque le cumul des mandats », dans des propos cités par Le Progrès.
Source : Lyon Capitale
Pour en savoir plus : http://www.observatoiredesgaspillages.com/2015/metropole-de-lyon-les-indemnites-des-elus-en-hausse/
Toute l'équipe d'Atlantic 2.0 a le plaisir de vous inviter le jeudi 5 février 2015 à La Cantine de NANTES à partir de 18h30 !
L'occasion de célébrer la nouvelle année, l'anniversaire de la Cantine, la labellisation French Tech et de passer un bon moment entre membres et amis de l'association. Nous vous attendons nombreux !
La Cantine - 11 impasse Juton, 44000 Nantes
(Tramway lignes 2/3 - Arrêt Hôtel Dieu)
L'évènement est accessible sur inscription.
https://guestlistapp.com/events/306237
Une participation de 15 euros est demandée aux participants.
Business : Vol stationnaire, système ultrason, trajectoires directes ; Hardis vient de déposer un brevet pour inventorier les stocks de dépôts avec un drone aux airs de chauve-souris. Son activité nocturne va révolutionner le métier, assure l’éditeur français.
Des RSE qui patinent, des projets de virtualisation qui prennent l’eau, des données qui fuitent ; et si la vrai transformation numérique des entreprises passait en fait par les drones ?
Le grenoblois Hardis Group, SSII et éditeur de logiciel de gestion de la logistique se lance dans l’aventure des drones inventoristes. Il vient de déposer un brevet qui protège un système embarqué qui automatise la réalisation des inventaires et des opérations de contrôle de stocks dans les entrepôts.
L’objectif : donner aux clients la possibilité d’effectuer un inventaire permanent des stocks présents dans ses entrepôts. Les bénéfices : moins de ressources nécessaires pour réaliser l’inventaire annuel, mais aussi la possibilité de repérer et de corriger les erreurs de stockage tout au long de l’année.
« L’idée vient de moi, je suis l’inventeur du brevet déposé » explique Stéphane Cadenet, directeur de projet. En septembre 2014, une équipe de trois personnes est formée pour développer dans le plus grand secret ce dispositif.
Caméra, code barre et ultra son
On y trouve d’une part une caméra qui lit un tag ou un code barre. Ensuite, un second système d’acquisition repère la position de l’élément dans l’entrepôt. « On identifie la position locative par la position relative de l’engin volant » explique Stéphane Cadenet. « Le positionnement du point de référence se calcule à l’aide de lasers ou d’un système avec effet Doppler (ndlr. ultra son, comme les chauves souris) ».
Un système original, car le GPS en espace confiné, ça ne marche pas. « En indoor, les armatures métalliques des entrepôts empêchent la réception du signal » détaille le directeur de projet.
Enfin, un système de traitement de l’information, embarqué ou non, complète le dispositif.
Vers le pilotage automatique
« On s’appuie sur un drone du marché pour les phases de validation. Mais je suis a l’écoute de toutes les propositions, le système est conçu pour s’adapter à n’importe quel châssis » relève Stéphane Cadenet, qui précise que « la charge utile embarquée est de moins d’un kilo et demi ».
Pour lire la suite de l’article : http://www.zdnet.fr/actualites/logistique-les-bat-drones-vont-se-nicher-dans-les-entrepots-39813768.htm Source : Guillaume Serries | 28 Janvier 2015.
Neuf métropoles viennent de recevoir le label "French Tech", pour encourager la croissance de leurs start-up. Que faut-il en attendre concrètement ? L'exemple de Nantes.
Fleur Pellerin, l'ex-ministre à l'Economie numérique, l'avait promis en janvier: un label "French Tech" récompenserait bientôt les métropoles françaises les plus prometteuses en matière d'entrepreneuriat et de digital.
Onze mois plus tard, la liste des premiers médaillés vient de paraître : Aix-Marseille, Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier, Rennes, Toulouse et Nantes figurent au tableau d'honneur.
Pour convaincre, le chef-lieu de Loire-Atlantique s'est targué d'héberger 1420 entreprises du numérique, soit 19 200 emplois. "L'appel à projet nous a permis de faire un travail d'introspection, explique Franky Trichet, l'adjoint au maire chargé de l'innovation et du numérique, qui a participé à la constitution du dossier.
Nous ne savions pas toujours jusque-là où nous en étions exactement. Cette fois, on a mis tous les acteurs autour de la table."
La course au label Nantes Tech a permis de rapprocher des grands groupes - Accenture, Airbus, Orange... -, des réseaux d'entrepreneurs, des investisseurs, des institutions et des établissements du supérieur. Depuis, "un comité de pilotage est porté par la métropole, Bpifrance et la CCI.
La Cantine de Nantes est à la tête d'un comité exécutif composé d'entrepreneurs", détaille Franky Trichet.
Ces différents protagonistes devront tirer profit des 200 millions d'euros débloqués pour les "Métropoles French Tech". Nantes veut surtout mettre le numérique au service de trois projets: son CHU, qui hébergera sous peu un incubateur de start-up dans les biotechs, "l'usine du futur" et la création culturelle.
Les fonds permettront d'abord de financer des accélérateurs ou des incubateurs privés. "Nous n'en avons pas encore vraiment, indique Franky Trichet.
Ce "self incubateur", où de jeunes entreprises mettent en commun leurs moyens, aspire à s'adosser à un fonds d'investissement.
Nantes rêve aussi de faire connaître ses start-up à l'international et mise sur les nouveaux budgets pour l'y aider. Comment? En finançant par exemple leur présence aux raouts de la high-tech mondiale, comme le CES Las Vegas, ou encore des "learning expeditions inversées", qui verront venir à Nantes des chefs d'entreprise américains ou canadiens.
Les retombées seront enfin indirectes. "Le label French Tech, c'est un peu comme une plage Pavillon bleu: il permet d'identifier les métropoles dont la dynamique numérique a reçu une reconnaissance nationale", pointe Franky Trichet.
Un atout pour convaincre les grandes entreprises et les investisseurs à la recherche de start-up innovantes.
"Les business angels ne sont pas forcément présents dans les grandes métropoles et ils n'ont pas le temps de faire leur propre tour de France, conclut Franky Trichet. La labellisation leur amène sur un plateau des start-up déjà sourcées."
Pour visualiser la carte des métropoles « French Tech »
En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/creation-entreprise/etapes-creation/devenir-une-ville-french-tech-ca-change-quoi_1617504.html?xtor=EPR-5029-[20141112185017_46_nl_lentreprise_zapping_9179_000U3A]-20141113-[Lire_l_article_complet_002IRFJ]-[RB2D106H0014NWT7]-20141113053400#6ijVHGEiQjs5t7od.99
Source : Alexia Eychenne - le
La grande soirée de restitution du Carrefour des Possibles 2014, processus de mise en valeur de porteurs de projet a eu lieu le 13 novembre 2014 à 18h à AUDENCIA.
Coup de coeur du jury :
- SensorWake : Guillaume Rolland, un nantais de 18 ans qui a remporté de nombreux prix (médaille d’or au Concours Lépine National, Prix Euro district Strasbourg Ortenau au concours Lépine Européen…) et qui a récemment fait partie des 15 finalistes du Google Science Fair avec son réveil olfactif, nous présentera son parcours de jeune entrepreneur qui aboutit aujourd’hui à la commercialisation de son invention.
Les 8 projets lauréats :
- Allo Mitch : Site de prise de rendez-vous pour les professionnels
- Baludik : Application smartphone pour la valorisation des patrimoines
- Busybee.io : Plateforme de financement participatif pour les inventeurs
- CATED : Application de gestion du temps pour enfant autiste
- INHEA : Projet innovant d'analyse d'indicateurs RH et de contributions directes de collaborateurs
- Ornikar : Auto-école en ligne
- Oyatis : Logiciel de pilotage et reporting de la performance énergétique et environnementale
- RedStep : Application dédiée au don du sang
La fusion des deux entreprises donnera naissance à un géant de l'aérostructure. Pas d'inquiétude pour les salariés. Questions à Cédric Gautier, président d'Aérolia.
Après avoir informé les syndicats du projet de fusion, comment s'est déroulé le Comité central d'entreprise ?
Depuis l'annonce du 8 octobre 2014, tout le monde a eu le temps de prendre connaissance des documents sur la fusion. Il s'agissait, en sorte, du premier comité dans lequel il y avait un débat de fond sur ce sujet. L'avis préliminaire des syndicats est positif. Ce projet a du sens et devrait rendre l'entreprise robuste et pérenne.
Qu'en est-il des inquiétudes formulées par certains syndicats sur le risque de sortir du giron d'Airbus ?
Les raisons de ce rapprochement sont étrangères à toute volonté de sortir du giron du groupe. C'est même hors sujet. Cette fusion ne changera rien, que chaque salarié soit rassuré.
Quel sera le nom de ce futur équipementier géant ?
Nous allons faire appel à la créativité de l'ensemble des salariés de Sogerma et d'Aérolia. Nous devons être en mesure de proposer quelque chose en espérant faire l'unanimité courant décembre.
Comment se fera cette fusion ?
En deux temps. Tout d'abord, nous allons regrouper les deux entreprises en une même entité juridique au 1er janvier 2015. Opération sans aucun impact pour les salariés. Ensuite, à partir de janvier, nous allons lancer un processus sur la création de la nouvelle entreprise et les incidences. Il n'y aura aucune absorption d'une entreprise vers l'autre. On conserve les éléments forts des deux entités avec un nouveau nom commun et une seule direction.
Quelle incidence sur le site de Saint-Nazaire et ses 840 salariés ?
Sogerma et d'Aérolia partagent culture d'entreprise, croissance et synergie. Donc pas d'inquiétude pour l'emploi. Nous chercherons à renforcer chacun des sites sur son domaine de compétence. La fabrication de pièces élémentaires complexes, l'un des points forts du site Nazairien, sera confortée. Source du 24/10/2014 – Michel Godin : http://www.entreprises.ouest-france.fr
L'entreprise angevine investit dans une 3ème cuisine, près de Rennes. Pour 5 millions d'euros et 70 emplois à la clé.
Le chantier devrait démarrer en février 2015, pour une livraison en novembre. Les premiers repas devraient sortir de la nouvelle cuisine en début d'année prochaine, à Saint-Jacques-de-la-Lande, près de Rennes. Avec un investissement de cinq millions d'euros et la création de soixante-dix emplois.
Croissance de 15 % par an
« Aujourd'hui, les prestations de Restoria correspondent à la demande. Nos deux cuisines sont proches de la saturation, d'où ce projet en Bretagne », précise Emmanuel Saulou, codirigeant avec Philippe Comte.
Restoria avait déjà deux pieds dans la région, après avoir racheté récemment Le Gaulois traiteur, à Guingamp, et Rest-Armor, à Vannes. Sans compter, voici deux ans, la société Rest-Ouest, à Nantes.
L'entreprise angevine, créée dans les années 1970 par deux artisans charcutiers, pères des codirigeants actuels, connaît une croissance de l'ordre de 15 % par an. La cuisine de la Romanerie, à Saint-Barthélemy-d'Anjou, fabrique 25 000 repas par jour.
De nouvelles recettes prévues
Celle de la Godinière, à Bournezeau, à 30 km de la Roche-sur-Yon (Vendée), fournit 15 000 repas par jour. La troisième et nouvelle cuisine devrait tourner, à terme, à 15 000 aussi. Restoria franchirait ainsi largement la barre des 50 000 repas par jour !
« Nous allons poursuivre notre développement grâce à Fabrice Rolland, qui a 20 ans d'expérience dans la restauration collective. Il connaît très bien le tissu local de la Bretagne. »
Restoria emploie désormais 630 salariés, pour un chiffre d'affaires de 38 millions d'euros cette année.
L'entreprise ne compte pas à rester là. D'autres petits plats se préparent !
Source du 2/10/2014 : Jean-Michel HANSEN www.entreprises.ouest-france.f
Pas inventives les sociétés françaises ? Ama, implantée à Rennes, prouve le contraire.
Elle a été choisie par le géant du Net pour développer ses fameuses Google glass, surtout à des fins médicales. « Évidemment que nous sommes très fiers », explique Christian Guillemot, le PDG d'Ama.
Cette société rennaise spécialisée dans les jeux vidéo se tourne, maintenant, vers le monde médical en développant d'étonnantes applications à partir des fameuses Google glass. Ces lunettes intelligentes qui permettent d'afficher ou d'envoyer des informations, des vidéos, des documents...
« Nous faisons partie des dix entreprises dans le monde qui viennent d'être certifiées par Google », poursuit le PDG.
Une certification que le géant californien a distribuée au compte-gouttes.
Des centaines d'entreprises rêvaient d'en bénéficier. « Ça veut dire que Google estime que nous sommes capables d'apporter des solutions techniques et logicielles aux entreprises qui cherchent à appliquer les Google glass à leur métier, notamment dans le milieu médical. »
Télémédecine puissance 10
La recommandation vaut son pesant d'or. « Si, par exemple, un hôpital américain ou japonais veut développer des applications via ces lunettes, Google les orientera vers nous. » Un marché à dimension mondiale s'ouvre pour Ama.
« Une firme allemande nous a contactés, poursuit Christian Guillemot. Ses techniciens installent des éoliennes en mer du Nord. La société envisage de les équiper de Google Glass pour qu'en cas d'accident, un médecin puisse, depuis l'Allemagne, voir précisément l'état du patient et donner ses instructions. »
De la télémédecine puissance dix. « On abolit les distances, affirme le PDG. Et pas besoin de caméras, d'ordinateurs... Simplement une paire de lunettes qui pèse quelques dizaines de grammes. » Des contacts ont été pris avec d'autres CHU à travers le monde.
Pour Ama, c'est le fruit de 18 mois de travail. En février 2014, grâce à des Google glass équipées d'un logiciel développé par Ama, un chirurgien de la clinique Saint-Grégoire, près de Rennes, avait pu opérer devant une dizaine de chirurgiens japonais distants de... 10 000 km.
« Ils voyaient vraiment ce que le chirurgien voyait lui-même. Comme s'ils étaient dans le bloc », assure Christian Guillemot. Toujours avec un logiciel Ama, un spécialiste des plaies chroniques a pu intervenir à distance sur une patiente bretonne. Avec succès.
Neuroradiologue interventionnel au CHU de Rennes et spécialiste des AVC, le professeur Jean-Yves Gauvrit voit dans ces lunettes un outil très intéressant pour traiter les accidents vasculaires cérébraux. Ou permettre à un spécialiste des greffes de voir à distance le greffon avant qu'il soit prélevé.
Du travail en perspective pour Ama, 45 salariés, qui recrute « un nouvel ingénieur par semaine et c'est loin d'être fini ». Source du 27/10/2014 : Samuel NOHRA –
une initiative pour aider les créatrices d’entreprises en région Paca
La Cité des Métiers de Marseille et de Provence-Alpes-Côte-d’Azur lance avec ses partenaires un programme destiné à encourager et accompagner la création d’entreprise par les femmes de la région.
CoWork’Elles, c’est son nom, va se dérouler pendant toute l’année 2014 à travers des événements organisés à la Cité des métiers et ses antennes régionales. Mais CoWork’Elles, c’est aussi un lieu de coworking pour que les femmes porteuses de projet puissent échanger avec d’autres entrepreneuses.
Cette dimension coworking se prolonge aussi à travers une série d’événements organisés partout dans la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur sur les autres implantations de la Cité des Métiers de Marseille. « Ces mini forums auront pour thème la création d’entreprise au féminin avec des témoignages de créatrices et la présence de l’ensemble des partenaires et structures accompagnant les créateurs d’entreprises du territoire où se déroule le rendez-vous » détaille Jocelyn Meire.
Les participantes pourront alors se renseigner sur les financements et les aides pour créer leur entreprise. Et surtout s’y retrouver un peu mieux dans les nombreuses structures qui existent déjà pour aider à la création d’entreprise. « L’idée c’est vraiment d’être pratico-pratique et de répondre aux questions des femmes qui souhaitent se lancer sur chaque territoire ».
« Plus une entreprise est accompagnée, plus elle a de chances de se développer sur le long terme »
Dans le cadre de ce programme l’accent est mis plus particulièrement sur la franchise. « La franchise est un mode de création d’activité intéressant qui permet d’être accompagné. L’autre avantage c’est qu’à travers la franchise on peut se lancer dans des secteurs très variés qui ont fait leurs preuves » précise le directeur de la Cité des métiers. « Mais il existe d’autre manières de travailler en indépendant notamment avec le portage salarial qui lui aussi est adapté à tous types de métiers ou secteurs. C’est aussi souvent un premier pas vers la création d’entreprise pour roder son produit, tester sa capacité à trouver des clients, etc... »
La mortalité de l’entreprise est en effet bien moindre lorsque la créatrice a été accompagnée dans le temps y compris après le lancement de l’activité. « Plus une entreprise est accompagnée plus elle a de chances de se développer sur le long terme » affirme Jocelyn Meire. « Le coworking est lui aussi une forme d’accompagnement, en se confrontant avec d’autres porteuses de projets on peut éviter certaines erreurs et se sentir plus en confiance ».
Fédérer les créatrices d’entreprises
L’objectif de ce programme est donc de fédérer les femmes créatrices d’entreprise, de leur permettre de se rencontrer et de faire le point régulièrement sur leur projet à l’échelle d’une région qui s’engage en faveur de la mixité professionnelle.
L’inauguration de l’espace de coworking de la cité des métiers marseillaise aura lieu ce mardi 22 avril, un atelier est aussi prévu le 6 juin 2014 sur le thème « Je suis une femme et j’aimerais créer ».
D’autres événements et conférences sont prévus dans les prochaines semaines, rendez-vous sur le site osezlemix pour consulter la liste.
Liens utiles
·Ministère des droits des femmes femmes.gouv.fr
·Délégation Régionale aux Droits des Femmes et à l'Egalité paca.pref.gouv.fr/drdfe
·Egalité Professionnelle entre les femmes et les hommes ega-pro.fr
.1, 2, 3... Parité ! 1-2-3-parite.fr
Sources : http://www.citedesmetiers.fr/
http://www.blog-emploi.com/infographie-levolution-du-coworking-en-20-ans/ http://www.osezlemix.fr/
FmR -22 avril 2014 http://www.blog-emploi.com
Les résultats du Palmarès Employeurs 2013 de RegionsJob ont été dévoilés. Ce classement mesure chaque année l’attractivité des entreprises en régions et récompense aussi les meilleurs PME. Pour cette quatrième édition, près de 9000 personnes ont voté pour élire les meilleurs employeurs de leur région.
Au total, près de 1000 entreprises ont été évaluées sur 27 critères de leur politique de gestion des ressources humaines comme l’ouverture aux jeunes, la qualité managériale, la diversité, les possibilités de formation, les évolutions de carrières ou encore le respect de l’environnement.
Pour la troisième année consécutive c’est Airbus qui s’impose comme l’employeur emblématique au niveau national, voici le détail des résultats, région par région.
Résultats nationaux
1er : Airbus, le constructeur aéronautique survole le classement national encore une fois.
2ème : Atos fait une belle entrée sur le podium national, l’entreprise dirigée par Thierry Breton a été particulièrement bien notée pour son ouverture aux jeunes talents.
3ème : Leroy Merlin, nouvel entrant sur le podium également. Toujours bien classée, l’enseigne de bricolage confirme son statut d’entreprise où il fait bon travailler.
Région Ile-de-France
1er : Dassault, le groupe capitalise sur son image innovante et les possibilités de carrières qu’il propose.
2ème : Décathlon, toujours bien placée dans de nombreuses régions, l’enseigne de sport est perçue comme très ouverte aux jeunes.
3ème : Alcatel-Lucent. Malgré un contexte difficile, l’équipementier télécoms bénéficie toujours d’une bonne image dans son secteur, en particulier pour les possibilités de mobilité internationale offertes à ses collaborateurs.
Région Est
1er : Outils Wolf, le fabricant d’équipements pour le jardin est un employeur emblématique du Bas-Rhin depuis 55 ans. Déjà présent sur le podium l’an dernier il s’impose dans la région grâce à sa bonne image et aux bonnes notes reçues pour les conditions de travail.
2ème : Décathlon obtient une note proche du 1er. Considérée comme une entreprise d’avenir, ouverte aux jeunes elle confirme son attractivité.
3ème : Michelin. On associe souvent le fabricant de pneumatiques à la région Auvergne, mais dans l’est le groupe a également une usine située à Epinal.
Top PME : Mathis SA, spécialisée dans les constructions en bois et charpentes en bois lamellé collé s’est distinguée par ses notes sur les valeurs sociétales (égalité hommes/femmes, ouverture aux personnes handicapées et respect de l’environnement).
Région Nord
1er : Leroy Merlin s’impose logiquement dans le Nord. Le spécialiste du jardinage, de la construction et du bricolage, dont le siège social se situe à Lezennes, s’impose grâce à sa réputation d’acteur économique incontournable.
2ème : Bombardier, en s’emparant de la deuxième place vient rappeler que la région Nord est aussi dynamique sur le secteur aéronautique.
3ème : Auchan, autre enseigne emblématique de la région et du secteur de la distribution en général, est considérée comme un bon tremplin pour une carrière professionnelle.
Top PME : Nestaq, spécialiste des solutions de sécurité informatique et réseaux est la PME la mieux notée dans le Nord.
Région Ouest
1er : Airbus survole les classements et fait coup double, 1er au niveau national et premier dans l’ouest, comme l’an dernier.
2ème : Yves Rocher confirme aussi sa position d’employeur emblématique de la région ouest. Le groupe de produits cosmétiques naturels est particulièrement bien perçu pour son action dans la protection de l’environnement.
3ème : DCNS. Pas de changement non plus à la 3ème place avec le constructeur naval et spécialiste de l’énergie toujours considéré comme une entreprise d’avenir.
Top PME : Digitaleo, éditeur de solutions dans le cloud basé près de Rennes a reçu les meilleures notes dans l’ouest.
Région Paca
1er : Eurocopter, le premier employeur en termes d’effectif est aussi le mieux noté de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur. Le constructeur d’hélicoptères fait partie du groupe aéronautique EADS et emploie plusieurs milliers de personnes sur son site de Marignane.
2ème : Alstom, suit de près Eurocopter et a été bien notée pour les avantages sociaux et les possibilités de carrière.
3ème : Air France-KLM. Malgré des turbulences, Air France continue d’être attractif à Marseille où se trouve une de ses grandes agences régionales.
Top PME : C’est Diffazur, le fabricant de piscine qui a reçu les meilleurs notes dans la catégorie petites et moyennes entreprises.
Région Rhône-Alpes
1er : bioMérieux, après une 3ème place l’an dernier et la deuxième en 2011, le groupe spécialisé dans le diagnostic in vitro s’impose dans la région.
2ème : Boiron, le laboratoire lyonnais spécialisé dans l’homéopathie fait une belle entrée dans le palmarès 2013.
3ème : Sanofi complète le podium rhône-alpin, trusté par les laboratoires pharmaceutiques et les acteurs majeurs du marché de la santé.
Top PME : Flexitech l’emporte une nouvelle fois dans la catégorie PME. Par sa présence, le fabricant de flexibles de freins pour les constructeurs automobiles, confirme la bonne image du secteur industriel en Rhône-Alpes.
Région Sud-Ouest
1er : Airbus s’empare de la 1ère place (détenue par EADS l’an dernier). L’aéronautique, symbole de la région Sud-Ouest est décidément le secteur le plus attractif.
2ème : Turbomeca. Le fabricant de turbines basé dans les Pyrénées-Atlantiques était déjà à la deuxième place en 2012. Il est lui aussi considéré comme un employeur d’avenir dans la région.
3ème : EADS échange de place avec Airbus. Mais comme il s’agit du même groupe, ça ne devrait pas susciter trop de jalousie sur ce podium 100% aéronautique !
Top PME : Cis Valley, SSII bordelaise est la meilleure PME de la région selon les votants du palmarès.
Région Centre-Auvergne
1er : Adecco, le groupe de travail temporaire et de recrutement était déjà 3ème l’an dernier. Il s’impose cette année en ayant reçu de très bonnes notes sur la plupart des critères RH.
2ème : Parfums Christian Dior fait une belle entrée directement à la deuxième place dans une région où le groupe LVMH a implanté son centre de R&D au coeur de la Cosmetic Valley.
3ème : John Deere. Spécialiste mondial du matériel agricole, la marque vient compléter ce podium varié, à l’image de la région et des activités économiques.
Voir tous les résultats, les analyses sur le site du Palmarès. http://www.palmaresemployeurs.com/
http://www.blog-emploi.com/les-meilleurs-employeurs-2013-region-par-region/
Les recrutements sont ouverts dans des domaines professionnels très variés relatifs à l'exercice de la recherche et à l'appui à la recherche, du CAP à Bac +8.
Les profils d'emploi sont répartis dans toutes les régions de France, y compris l’Outre-mer.
> Domaines professionnels liés à l’exercice de la recherche : biologie, production et expérimentation végétales et animales, milieux naturels et ruraux, sciences chimiques et sciences des matériaux, biomolécules, sciences de l’ingénieur et instrumentation scientifique, sciences humaines et sociales.
> Domaines professionnels liés à l’appui à la recherche : gestion administrative, direction et pilotage, coopération internationale, gestion financière et comptable, maintenance, patrimoine immobilier, contrôle de gestion, technologie de la formation, électricité, logistique, documentation, médiation scientifique, informatique, statistiques et calculs scientifiques, hygiène et sécurité, ressources humaines et affaires juridiques. Pour en savoir plus : http://jobs.inra.fr/
Myriam KISS. Anild 02/2014
La start-up toulousaine s'allie à Worldsensing qui développe l'application.
Sigfox, la start-up toulousaine dirigée par Ludovic Le Moan, poursuit une belle progression à l’international, et vient de remporter un joli contrat nommé Fastprk.
Grâce à l’opérateur réseau Micronet, et en collaboration avec la société espagnole Worldsensing, Sigfox a assuré la connectivité de plus 11 000 capteurs dans la ville pour permettre de donner, via une application mobile, un maximum d’informations sur l’état du stationnement en temps réel dans la capitale moscovite…
DR
Pour Jaap Groot, Vice-président des ventes internationales Sigfox, « le choix de notre réseau pour mettre en oeuvre ce projet de grande envergure confirme notre approche « ville-intelligente (…) Nous sommes convaincus que Micronet déploiera beaucoup d’autres projets dans l’Internet des Objets ou le Machine to Machine en Russie, via notre réseau ».
Sigfox poursuit sa route et se positionne en spécialiste des « smart cities », ces villes qui se dotent de dispositifs innovants pour apporter du service aux habitants, et économiser sur les postes de coûts.
La startup basée à Labège, près de Toulouse, travaille en ce moment sur un projet en Grande-Bretagne… En France, Clear Channel a équipé son parc de plusieurs milliers de mobiliers déroulants avec le réseau bas débit Sigfox. Source : Marion Moreau - 23/01/2014 http://frenchweb.fr
Le Technocampus composites de l'IRT Jules-Verne a un petit frère en gestation : le Technocampus Océan. En 2015, il devrait être un centre de référence en France et un moteur pour l'industrie liée à la mer.
L'IRT, c'est quoi ?
Il y a huit Instituts de recherche technologique (IRT) en France, validés et subventionnés par l'État dans le cadre du programme des Investissements d'avenir.
Celui de Nantes, impulsé par la Région et installé à Bouguenais, a été monté en partenariat avec le pôle de compétitivité EMC2, une association d'entreprises et de chercheurs.
Il constitue un « écosystème » des technologies de pointe dans le domaine des matériaux composites pour l'aéronautique, l'automobile, les énergies renouvelables et le nautisme.
Cette plateforme régionale d'innovation travaille en particulier sur l'élaboration de nouveaux matériaux et prend désormais le nom de « Technocampus composites.
Un centre industriel de réalité virtuelle est créé sur le même modèle à Saint-Nazaire. Une troisième plateforme, destinée à agréger les entreprises autour d'un pôle collaboratif de recherche et de Pourquoi un Technocampus Océan ?
Bien avant que l'IRT Jules-Verne ne voie le jour, la DCNS et son directeur, Patrick Boissier, avaient déjà le projet de regrouper sur un seul site nantais l'ensemble de la recherche et développement de l'entreprise, sous le nom de DCNS Research. L'opportunité était trop belle.
DCNS va ainsi déménager une partie de l'actuel Centre d'étude des structures et matériaux navals à Indret (Cesman). Un noyau fort de 60 à 80 ingénieurs, qui constitue la masse critique autour de laquelle vont se regrouper des partenaires comme... l'IRT Jules-Verne lui-même, mais aussi Dassault Systèmes, Alstom et STX, ainsi que l'université de Nantes, l'Icam et l'École centrale.
Concrètement ce Technocampus va plancher sur des nouveaux alliages métalliques plus légers, plus performants, mais aussi sur de nouveaux procédés de pliage, d'assemblage ou de soudage, voire des méthodes de conception plus économiques, grâce à la simulation numérique.
Il regroupera environ 350 chercheurs et techniciens qui prendront possession des lieux dès l'ouverture, avec leurs machines. Ce potentiel permettra aux entreprises locales d'accéder à des moyens techniques exceptionnels et normalement hors de leur portée.
Combien cela coûte ?
Le bâtiment est gigantesque, presque aussi grand que le Technocampus composites. 17 000 m2 de plancher, 140 mètres de long pour 80 de large. L'architecture utilise le métal et le bois avec en façade une immense photo d'océan signée de Philippe Plisson.
Le Technocampus devrait ouvrir au printemps 2015 et aura coûté 40 millions d'euros. Il abritera des espaces de bureaux, des laboratoires et des ateliers...
Pour en savoir plus, source 01/2014 : Camille Guillemois http://www.entreprises.ouest-france.fr
Des start-up bas-normandes se sont rendues mi-janvier 2014 à Las Vegas, au "Consumer electronic show" salon mondial dédié au high-tech grand public.
Parmi celles-ci, Eff'innov a présenté sa prise électrique intelligente. La PME faisait partie d'une délégation d'une quinzaine de start-up de la région.
Un déplacement à l'initiative du pôle de compétitivité bas-normand Transactions électroniques sécurisées. « C'est le salon annuel où tous les grands acteurs sont présents. Une opportunité unique de les rencontrer, de se faire connaître. »
Surtout, « on a un retour sur le produit et des cas d'usage auxquels on n'aurait pas pensé. » Un exemple : la prise d'Eff'innov « intéresse beaucoup » le secteur des caravanes et camping-cars.
L'histoire
Son innovation ? « Une prise intelligente, qui permet de gérer et optimiser la consommation énergétique d'une maison ou d'une pièce. »
Société créée en 2009 par deux anciens salariés de NXP, Eff'innov emploie 24 personnes à Colombelles (Calvados).
Elles travaillent autour de la thématique « du bâtiment intelligent », résume Frédéric Briand, directeur général de l'entreprise.
Au-delà de cette nouveauté présentée aux États-Unis, Eff'innov (1,5 million d'euros de chiffre d'affaires) déploie une activité de service de recherche et développement. « On accompagne des clients pour des produits clés en main. On développe des briques technologiques, à usage propre ou pour nos clients. »
Parmi ses autres innovations, une box domotique et un lecteur de badge NFC (sans contact) « qui consomme très peu », pour l'autopartage.
Source : Virginie Jamin 26/01/2014 http://www.entreprises.ouest-france.fr/
Avec l'allongement de la durée de vie, de plus en plus de personnes âgées sont à la recherche d'aides à domicile. Epargné par la crise, ce métier est appelé à fortement se développer, notamment dans la région Rhône-Alpes, où plus de 5400 intentions d’embauche sont annoncés d'ici la fin de l'année 2013.
Quelles seront vos missions ?
Vous rendre au domicile d'une personne âgée pour l'aider à effectuer les tâches de la vie courante. La journée démarre le plus souvent par des questions sur son état de santé et ses attentes.
Et suivant les réponses, il faudra ensuite préparer le repas, effectuer un peu de nettoyage ou des petites réparations (changer une ampoule...), sans oublier le petit coup de main nécessaire aux démarches administratives (factures, courriers…)
Attention, les missions de l'aide à domicile ne se limitent pas à une aide matérielle.
Il (ou elle) doit aussi entretenir la conversation, jouer aux cartes, faire une promenade... Tout dépend des besoins et du degré d'autonomie de la personne. . C'est un métier utile, car sans les aides à domicile, des milliers de personnes âgées seraient obligées d'aller prématurément dans une institution.
Quelles sont les qualités requises ?
Il est indispensable d'avoir une grande qualité d'écoute pour comprendre les besoins de la personne âgée et l'aider de la façon la mieux adaptée. Patience et douceur sont aussi de mise avec ce public, car ce sont souvent des personnes qui agissent lentement.
Il faut aussi être chaleureux, pour instaurer un climat de confiance. En résumé, l'aide à domicile doit avec tact, apporter un soutien pratique et moral.
Qui sera votre patron ?
Trois cas de figure : l'aide à domicile peut être employée par des associations ou des sociétés de service d'aide à domicile, des collectivités territoriales ou bien directement par des particuliers.
Quelle qualification ?
S'il est possible d'exercer sans formation particulière, le métier d'aide à domicile tend de plus en plus à se professionnaliser pour acquérir notamment des notions fondamentales en matière d’hygiène. C'est pourquoi beaucoup de structures proposent à leurs salariés, une formation en amont.
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi dans la région Rhône-Alpes, sur le métier : www.pole-emploi.fr
Premier niveau de la filière paramédicale, le métier d'aide soignant est très porteur en région Rhône-Alpes.
Quelles seront vos missions ?
Sous le contrôle du personnel médical, vous participerez dans la mesure de vos compétences, aux soins infirmiers préventifs, curatifs ou palliatifs (pansements, distribution de médicaments, température, tension, etc..).
L’aide soignant accompagne le patient dans les activités de sa vie quotidienne en assurant sa toilette, changeant les draps, distribuant les repas, etc. Son objectif : contribuer au bien-être de ses patients.
Quelles sont les qualités requises ?
Ce travail demande de réelles qualités humaines et relationnelles. Il faut être rassurant et réconfortant afin d'instaurer un climat de confiance avec les patients. Sans oublier un bon mental, car vous devrez faire face quotidiennement à la souffrance des autres.
Il faut être flexible : les horaires sont souvent variables et l'on peut vous demander de travailler de jour comme de nuit. L'esprit d'équipe est indispensable.
Qui sera votre patron ?
Vous travaillerez sous l'autorité de médecins et d'infirmiers, le plus souvent en hôpital ou en clinique. Les aides-soignants sont également embauchés dans les maisons de retraite et les maternités.
Quelle qualification ?
Le CAFAS (Certificat d'Aptitude aux Fonctions d'Aide-Soignant) ou le D.P.A.S (Diplôme Professionnel d'Aide Soignant) peuvent être obtenus à l'issue d'une formation ou d'une validation des acquis de l'expérience (VAE).
En savoir plus : www.aide-soignant.com
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi dans la région Rhône-Alpes, sur le métier : www.pole-emploi.fr
Selon l'enquête sur les Besoins en Main-d'Œuvre en Rhône-Alpes, les entrepreneurs de la région auraient besoin de 10 000 agents d'entretien en 2013.
Quelles seront vos missions ?
Vous serez chargé(e) du nettoyage et de l'entretien de différents locaux professionnels (bâtiments administratifs, commerces, grandes surfaces, entreprises, espaces publics...). Seul(e) ou en équipe, vous travaillerez souvent quand les locaux n'accueillent plus personne, à savoir tôt le matin ou tard le soir.
Dans certains cas, votre employeur peut vous demander d'assurer l'entretien courant du matériel utilisé pour le nettoyage. Suivant votre expérience, vous pouvez être amené(e) à encadrer une équipe.
Quelles sont les qualités requises ?
C'est un métier qui demande une bonne condition physique car il faut marcher dans des locaux souvent vastes, en poussant des engins lourds (autolaveuse, monobrosse...).
Ce métier exige un respect rigoureux des règles d'hygiène et de sécurité, car vous serez amené(e) à utiliser des produits pouvant être dangereux (détergents, etc...).
Vous devrez également porter des vêtements professionnels appropriés.
Quelle qualification ?
Le métier d'agent d'entretien est accessible sans formation particulière, mais une expérience professionnelle reste un atout évident pour l'employeur. Un CAP (option maintenance, entretien et hygiène des locaux) est parfois demandé pour les emplois plus spécialisés. C'est aussi un tremplin pour accéder au poste de chef d'équipe.
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi dans la région Rhône Alpes, sur le métier : www.pole-emploi.fr
Si vous avez une âme de baroudeur, ce choix professionnel est un bon passeport, car le savoir-faire des boulangers français est recherché dans le monde entier. Beaucoup de postes sont également à pourvoir en Rhône-Alpes.
Quelles seront vos missions ?
Vous devrez préparer la pâte à pain et à viennoiserie, avant d'en assurer la cuisson.
Ce travail est en moyenne réalisé 3 fois par jour, afin que les produits proposés soient disponibles en quantité suffisante à toute heure de la journée. Vous êtes également chargé de la décoration des viennoiseries (nappages, pépites de chocolats...).
Planifier la production et la gestion des stocks peut également faire partie de votre mission.
Quelles sont les qualités requises ?
Le travail de boulanger exige d'être méticuleux et attentif. C'est valable pour le dosage des farines, le temps de cuisson, la présentation, le nettoyage (plans de travail, outils...). Le respect de l'hygiène alimentaire est primordial. Grâce à de nouveaux outils, le travail de boulanger est moins dur qu'autrefois.
Toutefois, ce métier exige de l'endurance, car il faut rester longtemps debout, travailler de nuit et supporter la chaleur. Etre boulanger, c'est aussi accepter de travailler les week-ends et les jours fériés.
Qui sera votre patron ?
Le responsable d'une boulangerie artisanale ou industrielle. Vous pouvez également être embauché par un grande surface alimentaire ou une pâtisserie.
Quelle qualification ?
Les diplômes les plus recherchés sont le CAP de boulanger accessible en 2 ans après la 3e en CFA ou en lycée professionnel.
Sans oublier la MC boulangerie (un an après le CAP) pour se spécialiser dans les différentes sortes de pains et de viennoiseries.
Ou s’informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi dans la région Rhône-Alpes, sur le métier : www.pole-emploi.fr
Avec près de 3000 intentions d'embauche, les entreprises rhônalpines sont à la recherche de commerciaux dans des secteurs d'activité très variés. Si vous avez de l'ambition et le sens de l'autonomie, c'est l'occasion de tenter votre chance.
Quelles seront vos missions ?
Que vous soyez attaché commercial, représentant ou technico-commercial, vous devrez prospecter afin de vous constituer un portefeuille de clients, conseiller votre clientèle et la fidéliser. Un travail réalisé en partie par téléphone et internet, mais également sur le terrain.
Après la signature d'un contrat, votre mission est loin d'être terminée, puisque vous serez chargé du suivi de la commande et resterez l'interlocuteur privilégié du client, pour les éventuels services concernant l'après-vente.
Quelles sont les qualités requises ?
Pour exercer ce métier, il est indispensable d'être réactif, de faire preuve d'initiative, d'avoir une grande aisance verbale et d'aimer les contacts. On attend de vous un sens aigu de la négociation, ce qui suppose d'être à la fois autonome et responsable.
Ce métier peut également être source de stress, car il repose sur la compétition et les résultats. Le montant du salaire en dépend très souvent.
Autre point très important : les entreprises ne se contentent plus de vendeurs, mais de professionnels ayant une réelle expertise pour déterminer avec exactitude les besoins du client et d'expliquer la valeur ajoutée d'un produit ou d'un service. D'où l'appellation de technico-commercial.
Qui sera votre patron ?
Des TPE aux grands groupes en passant par les PME-PMI, la quasi totalité des entreprises sont dotées d'une équipe de commerciaux.
Quelle qualification ?
Du bac professionnel au Bac+5, il existe toute une palette de formations initiales (www.onisep.fr).
Des organismes tels que l'Afpa proposent également des formations qualifiantes dans ce secteur d'activité (www.afpa.fr).
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier : www.pole-emploi.fr
Les entreprises de la région Rhône Alpes envisagent d'embaucher cette année, près de 2 200 conducteurs livreurs sur de courtes distances. Si vous avez en poche un permis B et de l'énergie, vous pouvez postuler.
Quelles seront vos missions ?
En voiture, en camionnette, à scooter ou à moto, vous êtes chargé de l'acheminement de colis ou de marchandises. A vous de sélectionner l'itinéraire le mieux adapté pour livrer le client dans les meilleurs délais. Sur place, vous lui ferez signer un bordereau de livraison, puis vous continuerez votre tournée en fonction des priorités définies par votre responsable.
Quelles sont les qualités requises ?
Si vous avez un sablier à la place d'une montre, mieux vaut choisir une autre piste, car ce travail exige de la ponctualité. Pas de place non plus pour les casse-cou.
En résumé, il faut être à la fois rapide et prudent. On vous demandera aussi d'être débrouillard, en sachant par exemple changer une roue sur votre véhicule. C'est un métier qui demande une certaine endurance au stress, avec des délais à respecter, des embouteillages à supporter et des clients parfois mécontents.
Qui sera votre patron ?
Des sociétés de coursiers, des entreprises industrielles ou commerciales. De plus en plus de chauffeurs livreurs travaillent aujourd'hui pour des restaurateurs ou des commerces d'alimentation (livraison de pizzas ou de courses...)
Quelle qualification ?
Le CAP Conducteur livreur de marchandises est un atout. Dans tous les cas, le permis B (véhicules légers) est exigé.
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier sur www.pole-emploi.fr
Première destination touristique au monde, la France a malgré la crise un secteur hôtelier qui se porte bien, notamment quand il s'agit d'établissements ouverts à l'international.
En Rhône-Alpes, près de 5 000 projets de recrutements d'employés d'hôtellerie sont prévus en 2013 (les 2/3 en contrat saisonnier). Focus sur le métier de réceptionniste.
Quelles seront vos missions ?
Elles dépendent bien évidemment de la taille et du style de l'établissement. Mais de façon générale, le réceptionniste assure l'accueil des clients, leur présente les prestations de l'hôtel et les informe si besoin, sur les attractions touristiques à proximité.
Tout au long du séjour, il se tient à la disposition de la clientèle. Sa tâche quotidienne est aussi d'assurer la gestion du planning de réservations (par téléphone ou internet) et l'encaissement des règlements.
Quelles sont les qualités requises ?
Plus encore que dans d'autres secteurs, dans l'hôtellerie le client est roi. D'ailleurs si vous l'oubliez, il sera le premier à vous le rappeler. Cela ne signifie pas pour autant qu'il faille tout accepter. En résumé, il faut être serviable, aimable tout en restant ferme sur les règles élémentaires de politesse. Avec de la motivation, de la compréhension et le sourire, le réceptionniste s'en tire souvent très bien.
A savoir
Dans les établissements ouverts à la clientèle internationale, il est indispensable de maîtriser au minimum une ou deux langues étrangères. Le port de vêtements aux couleurs de l'établissement est parfois exigé.
N'oubliez pas que votre rythme de travail est à contre-courant. En d'autres termes, pendant que les clients se reposent, s'amusent ou se restaurent, vous travaillez. Vous aurez vos jours de congés en semaine ou en dehors des vacances scolaires.
Qui sera votre patron ?
Le responsable de l'un de ces différents types d'hôtellerie : l'hôtel familial, l'hôtel de luxe, la chaîne volontaire, la chaîne franchisée, l'hôtellerie économique, la résidence hôtelière ou l'hôtellerie de plein air
Quelle qualification ?
Les BTS Hôtellerie-Restauration avec anglais courant sont particulièrement recherchés.
Où s’informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier sur www.pole-emploi.fr
Pour en savoir davantage sur vos droits en tant que travailleur saisonnier (hébergement, transport, contrat de travail...), un site est vivement conseillé : www.questionsaison.fr
D'autre part, le site de l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie en Rhône Alpes répertorie les formations par département : www.umih-rhone-alpes.fr
Dans l'hôtellerie-restauration, les offres d'emploi restent constantes avec de fortes particularités suivant les profils et des demandes importantes en saison d’été comme d’hiver. Détails avec Laurence Vuiton, responsable d’équipe Hôtellerie Restauration au Pôle emploi de Chambéry.
Pouvez-vous faire un rapide état des lieux du secteur de l'hôtellerie-Restauration ?
C'est un secteur très vaste qu'il convient de distinguer en trois familles : la restauration traditionnelle, l'hôtellerie de chaînes et l'hôtellerie de séjour.
Globalement, les employeurs sont à la recherche de personnes qualifiées et expérimentées, qu'il s'agisse de cuisiniers, de seconds en cuisine ou de chefs de salle. En Savoie, la demande est constante avec un pic important en station, pendant la saison d'hiver.
Quel est le salaire moyen d'un cuisinier ?
Dans la restauration traditionnelle, un cuisinier diplômé (CAP ou BEP) avec de l'expérience, peut gagner entre 2000 et 2500 nets par mois.
Particulièrement recherchés par les employeurs, ils sont rarement sans emploi. Il y a toutefois un turn over important. A cet égard, je souligne que la fidélisation à un poste est un atout pour les candidats.
Y a t-il des opportunités d'emploi dans la restauration de chaîne ?
Oui, notamment en Rhône-Alpes avec le déploiement de grosses enseignes telles que Poivre Rouge ou la Pataterie. Il s'agit d'une cuisine d'assemblage n'exigeant pas des compétences aussi pointues que la cuisine traditionnelle.
Comment être informé des offres d'emploi ?
Il suffit de consulter les offres d’emploi sur le site www.pole-emploi.fr.
Une astuce : abonnez-vous aux offres d’emploi, pour les recevoir quotidiennement par mail. 70% des offres d’emploi sont des postes à durée déterminée (CDD ou emploi saisonniers).
Mais les débutants auront aussi leur chance de trouver des offres pour des postes en CDI.
Un conseil pour tous ceux qui souhaitent travailler dans le secteur HCRB : rester en éveil sur l'ouverture de nouvelles enseignes ou structures. Pour certains postes, notamment dans la restauration de chaîne, les recruteurs font appel à Pôle emploi pour la mise en place de MRS (méthode de recrutement par simulation) permettant d'évaluer les candidats sur leurs habiletés, en faisant abstraction de leur diplôme et de leur expérience. Les personnes intéressées peuvent s'informer auprès de leur conseiller Pôle emploi.
D'autre part, le site de l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie en Rhône Alpes répertorie les formations par département : www.umih-rhone-alpes.fr
C'est un métier passionnant ouvert sur tous les secteurs d'activité et qui jouit d'une excellente image.
Malgré tout, la France manque d'ingénieurs notamment en Rhône-Alpes, région pourtant plébiscitée dans tous les sondages par les jeunes cadres.
Un peu plus de 2000 intentions d'embauche sont prévues en 2013, notamment dans les secteurs de l'informatique et de la R&D.
Ce que l'employeur attend de vous ?
Savoir analyser un problème complexe, concevoir des solutions et les mettre en œuvre.
Des compétences utiles dans les services, la finance, l'industrie, les nano technologie, l'agro-alimentaire, l'environnement...
L'ingénieur doit avoir une vision globale de l'entreprise, de la conception à la réalisation ; le tout avec des compétences en management.
Les secteurs qui recrutent
Avec le développement des solutions cloud et des applications mobiles, l'informatique arrive en tête des intentions d'embauche en Rhône-Alpes.
L’industrie, le BTP, l’agriculture ou encore le transport sont d’autres secteurs porteurs.
Les deux agglomérations qui recrutent le plus sont Lyon et Grenoble.
Beaucoup d'ingénieurs sont recrutés par des SSII (Société de Services en Ingénierie Informatique). Cette solution a l'avantage d'apporter au client de la flexibilité dans l'allocation de ressources. Pour l'ingénieur, c'est aussi l'occasion d'élargir son savoir faire au sein de plusieurs entreprises.
Quelle qualification ?
En France, près de 200 écoles sont habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur. Pour y accéder (le plus souvent sur concours), il n'est pas forcément obligatoire d'avoir suivi une classe préparatoire. Le cursus classique est souvent de cinq ans.
A savoir : 180 diplômes d’ingénieur sont aujourd'hui accessibles en apprentissage, une option particulièrement appréciée des recruteurs.
En savoir plus : www.letudiant.fr (onglets « guide des métiers » et « guide des études »)
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier sur www.pole-emploi.fr
Ce métier qui nécessite beaucoup d'agilité, offre de belles perspectives professionnelles. Après quelques années d'expérience, beaucoup de peintres en bâtiment deviennent chefs d'équipe ou entrepreneur. Un beau tremplin !
Quelles seront vos missions ?
Sur des chantiers, vous êtes chargé(e) de peindre (murs, plafonds et façades) et d'assurer certains travaux de finition, tels que la pose de revêtements de sol. En amont, vous devez bien évidemment préparer le chantier : arracher les anciens papiers peints, poncer, décaper les peintures, boucher les trous...
Loin d'être un simple exécutant, vous avez un rôle de conseil auprès des clients pour les orienter dans le choix des matériaux en les informant sur les dernières tendances. Si vous avez un esprit créatif, c'est un formidable atout.
Quelles sont les qualités requises ?
Ce travail nécessite une bonne condition physique et de l'agilité, car vous serez souvent obligé(e) de travailler en hauteur sur des échafaudages. Il est indispensable d'être soigneux en installant des protections, car la propreté est essentielle. Si vous avez des difficultés respiratoires ou des allergies, ce métier n'est pas conseillé.
Qui sera votre patron ?
Vous serez selon les cas, salarié d'une entreprise de BTP ou d'une entreprise artisanale. Vous pouvez également travailler au sein des services techniques d'une collectivité (mairies...). Des entreprises de décoration peuvent également faire appel à vos compétences.
Quelles qualifications ?
Trois diplômes sont particulièrement recherchés : le CAP de peintre applicateur de revêtement, le bac professionnel « aménagement et finition du bâtiment » et le MC (Mention Complémentaire) peinture décoration. Pour en savoir davantage, un site : www.capeb.fr
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier sur www.pole-emploi.fr.
Avec l'essor du e commerce et du "Drive" au sein de la grande distribution, les préparateurs de commande sont de plus en plus recherchés en 2013.
La région Rhône-Alpes n'échappe pas la règle, c'est donc l'occasion de tenter votre chance dans un secteur qui recrute et propose de belles perspectives d'évolution.
Quelles seront vos missions ?
Tout dépend de la nature et du volume à expédier. Dans la majorité des cas, la journée démarre par la réception des bons de commande. Charge à vous ensuite d'assurer la mise en carton des commandes, d'effectuer la pesée, l'étiquetage et le contrôle des derniers détails avant l'acheminement par camion.
L'employeur peut également vous demander de conduire un chariot élévateur afin d'assurer le transport des marchandises jusqu'au quai de livraison.
Quelles sont les qualités requises ?
Ce métier exige de la rigueur, de l'organisation, mais également de la mémoire, car il faut savoir où sont entreposés les différents produits et gérer les stocks en temps réel.
C'est un travail d'équipe, mais où chacun doit faire preuve d'autonomie.
Le préparateur de commande doit également être en bonne forme physique, car il travaille aussi bien dans la chaleur que dans le froid, parfois même dans la poussière et le bruit.
Qui sera votre patron ?
Des responsables d'entreprises industrielles, commerciales ou de plateformes logistiques.
Quelle qualification ?
Un CAP agent d'entreposage et de messagerie est un atout évident. Avec un bac pro logistique, c'est encore mieux pour évoluer plus vite au sein de l'entreprise.
Le certificat d'aptitude à la conduite des engins de sécurité (CACES) est obligatoire pour utiliser un
chariot élévateur.
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier sur www.pole-emploi.fr
Un peu plus de 9 000 projets de recrutement de serveurs sont prévus en Rhône-Alpes en 2013.
Les 2/3 de ces emplois sont des contrats saisonniers à pourvoir essentiellement dans les zones touristiques, à savoir les Alpes et l'Ardèche. Prêts à tenter votre chance ?
Quelles seront vos missions ?
Dans un restaurant, après avoir présenté le menu aux clients, vous devrez prendre les commandes et les transmettre en cuisine. Charge à vous ensuite de servir les plats et les boissons et de présenter l'addition à l'issue du repas.
L'employeur peut également vous demander d'assurer l'encaissement ou de dresser une nouvelle table pour de futurs clients.
Dans un bar, vous travaillerez suivant les cas au comptoir, en salle ou en terrasse. Vous serez chargé de prendre les commandes, de les servir et d'assurer l'encaissement des consommations.
Quelles sont les qualités requises ?
Si vous êtes du genre « Gaston Lagaffe », mieux vaut vous abstenir car dans la restauration, les maladroits ne font pas long feu. Les employeurs recherchent des personnes agréables, agiles et vives, avec si possible une bonne mémoire, histoire de ne pas mélanger les commandes.
C'est un métier qui demande une bonne résistance physique, car le rythme peut être extrêmement soutenu. La présentation doit également être soignée. Et n'oubliez pas que le sourire reste le meilleur des passeports pour espérer un « pourboire ».
Quelle qualification ?
Le CAP service en brasserie-café est un atout évident. Mais ce qui compte le plus aux yeux d'un employeur, c'est la motivation et l'expérience.
Où s’'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier sur www.pole-emploi.fr.
Pour en savoir davantage sur vos droits en tant que travailleur saisonnier (hébergement, transport, contrat de travail...), un site est vivement conseillé : www.questionsaison.fr
D'autre part, le site de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie en Rhône Alpes répertorie les formations par département : www.umih-rhone-alpes.fr
Pourquoi s'orienter vers la vente ? Deux bonnes raisons : les opportunités de recrutement sont nombreuses et c'est l'un des rares secteurs où il est possible de démarrer sans diplôme, avec de rapides perspectives d'évolution.
Près de 4 000 intentions d’embauche dans le métier de vendeurs sont annoncées dans la région Rhône Alpes pour 2013, dont la moitié en contrat saisonnier.
Quelles seront vos missions ?
Dans une boutique, un magasin ou une grande surface, le vendeur oriente et conseille les clients sur les produits adaptés à leurs attentes. Son rôle est aussi de veiller à l'approvisionnement et au rangement des rayons, ainsi qu'à l'étiquetage des produits. Il réceptionne les commandes et gère les stocks.
Dans les petits commerces, il peut également assurer les fonctions de caissier et participer à la décoration des vitrines.
Quelles sont les qualités requises ?
Sur le plan vestimentaire, la présentation est importante. Il est indispensable d'être soigné, poli, aimable et convaincant. Dans les zones touristiques, notamment en station, la maîtrise d'une langue étrangère est un avantage certain.
A savoir : c'est un métier où il faut rester longtemps debout, faire de nombreux aller-retour entre les rayons et la réserve. Mieux vaut donc être en bonne condition physique pour l'exercer.
Quelle qualification ?
Les employeurs recherchent avant tout des personnes motivées et fiables. Il est possible de postuler sans diplôme, notamment dans les grandes enseignes où des formations sont assurées en interne.
Côté formation, il existe un CAP de vente pouvant évolué vers un bac professionnel commerce. Sinon, pour les personnes sans diplôme mais avec une expérience dans la vente, il est toujours possible de faire valider ses acquis de l'expérience (VAE).
Où s'informer ?
En priorité, consultez les offres d’emploi sur le métier sur sur www.pole-emploi.fr
Pour en savoir davantage sur vos droits en tant que travailleur saisonnier, y compris dans la vente, (hébergement, transport, contrat de travail...), un site est vivement conseillé : www.questionsaison.fr
Avec 8500 entreprises et 240 000 salariés en Rhône-Alpes, la métallurgie est la principale branche industrielle de la région.
Détails sur les opportunités d'emploi avec Bruno Richard, adjoint de direction au Pôle Expertise Métiers-Formations à l’Union de l’Industrie et des Métiers de la Métallurgie (UIMM)
Quels sont les secteurs qui recrutent ?
Citons entre autres la mécanique, la maintenance (usinage), la chaudronnerie et la tuyauterie.
D'énormes besoins existent également dans l'électronique avec de nombreux postes d'ingénieurs à pourvoir.
A cet égard, je précise que le taux d'insertion à l'emploi des élèves ingénieurs en alternance dans ce secteur, s'élève à 92%.
Combien de postes à pourvoir en Rhône-Alpes ?
Environ 10 000 emplois chaque année, notamment en raison des départs à la retraite.
De nombreuses offres d’emploi en Alternance sont proposées, notamment dans la métallurgie.
Les profils les plus recherchés ?
Les entreprises recherchent des profils de plus en plus qualifiés. Au minimum bac pro ou BTS.
Pour les personnes n'ayant pas le niveau, nous proposons un SAS pré-qualifiant avec 400h de formation permettant d'accéder à des contrats en alternance.
Nous travaillons en lien étroit avec Pôle emploi et les missions locales sur cette thématique.
Avec prés de 4700 intentions d’embauche des entreprises pour l’année 2012 (source Enquête BMO 2012), la chaudronnerie est un secteur en pleine expansion, avec de nombreux débouchés.
François RIEFFEL, Directeur des entreprises de chaudronnerie ACM et ACR, président de la Fédération des Industries Mécaniques Rhône-Alpes et Vice président du Syndicat national de la chaudronnerie nous ouvre les portes de son entreprise situé à proximité de Lyon.
Il nous explique ce qu’est la chaudronnerie, les opportunités d’emploi dans le métier et les évolutions professionnelles.
La chaudronnerie est une branche industrielle qui couvre un ensemble d’activités destinés aux secteurs des industries de l'alimentaire, de la chimie, de l'énergie (pétrole, gaz, nucléaire), de l'aéronautique et de l'espace, de la charpente (bâtiments, ouvrages d'art, ponts, structures métalliques terrestres et marines), de la manutention des gaz et des liquides (canalisations terrestres et marines) et de leurs stockages (cuves et réservoirs de stockages aériens, semi enterrés ou enterrés), de la navale, de l'automobile, de la menuiserie et du mobilier métalliques.
Elle regroupe de nombreux autres métiers plus spécialisés comme, par exemple, les métiers de tuyauteur, soudeur… Consultez la fiche métier.
Les fiches métiers : Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois (ROME)
En France, 40 000 personnes travaillent dans le nucléaire. Entre 2014 et 2022, 10 000 postes seront créés dans ce secteur, notamment parce que les effectifs des prestataires vont doubler avec le déploiement de grandes opérations de maintenance.
Avec plusieurs grandes centrales, Rhône-Alpes n'échappe pas à la tendance. Pour les personnes souhaitant s'engager dans cette voie, quelques repères.
Quels types de postes sont à pouvoir ?
La palette est extrêmement large. On distingue toutefois deux grandes familles : Les métiers d'EDF (chimistes, ingénieurs environnement, technicien de manutention combustible...) et les métiers des prestataires (mécaniciens robinetiers, techniciens en radio protection, chaudronniers tuyauteurs...)
Les points forts du secteur
Les perspectives d'évolution professionnelles sont réelles. Exemple : un mécanicien robinetier peut devenir chef d'équipe en un an. Autres atouts : les contrats sont rarement de courte durée et les salaires nettement supérieurs à d'autres secteurs d'activité.
Les contraintes
Accepter d'être mobile, de travailler en 2×8 voire 3×8. Les salariés travaillent souvent 3 mois dans une région et 3 mois dans une autre. En revanche, ils ont l'assurance d'un emploi. Important : quel que soit le poste, travailler dans le nucléaire exige une très grande rigueur.
Bernard Gaud, Président de l'ARIA (Association Régionale des Industries Alimentaires de Rhône-Alpes),
nous présente les opportunités d'emploi dans le secteur agroalimentaire
Le secteur de l’agroalimentaire génère de nombreux emplois en Rhône-Alpes, sur des métiers liés aussi bien à la production et l’organisation, qu’à l’hygiène et la qualité, mais aussi dans la recherche et le développement.
Les conseils de Monsieur Bernard Gaud :
Quels sont les filières de l’industrie alimentaire qui recrutent le plus en Rhône-Alpes ?
L’ensemble des filières de l’industrie alimentaire en Rhône Alpes se situe en phase de recrutement. La salaison, la fromagerie, mais aussi les industries de transformation des céréales sans oublier ce que l’on appelle « les métiers de bouche ».
Quels conseils donneriez-vous à un candidat pour postuler auprès des entreprises ?
Au-delà des moyens classiques parmi lesquels Pôle emploi a une place éminente, je dirais « soyez gonflés, présentez-vous très tôt, vers 7 heures du matin avec une candidature spontanée ».
En effet les patrons de PME alimentaires commencent très tôt et sont sensibles au fait que quelqu’un se présente à cette heure « indue » dans les fonctions administratives.
Quelles sont les connaissances à avoir pour travailler dans le secteur de l’agroalimentaire ?
Au-delà des connaissances générales de base (savoir lire, écrire et compter), il faut surtout avoir envie de travailler des produits. En dehors de certains postes très techniques, ce qui compte d’abord c’est la personnalité des candidats et leur volonté de travailler et de progresser dans l’échelle sociale.
Le secteur en quelques chiffres
Actualité
Huit sociétés ont accepté de remettre en cause leurs habitudes de pensée.
En novembre 2013, elles auront vingt-quatre heures pour accoucher d'un projet avec le Réseau entreprendre.
Les participants au « Booster camp » ont été sélectionnés par le Réseau entreprendre Pays de la Loire pour la pertinence de leur projet à développer.
Penser autrement pour innover
Toujours le nez dans le guidon ? Ou toujours l'habitude d'aborder les dossiers sous le même angle ?
Pour sortir de cette routine, le Réseau entreprendre a imaginé un marathon innovant de vingt-quatre heures. L'objectif est d'apporter une solution concrète et si possible en rupture avec les repères classiques.
« Pendant vingt-quatre heures non-stop, huit patrons plancheront sur huit projets à dynamiser, issus d'une sélection régionale », explique Jean-Lou Racine, dirigeant de l'agence web le Phare et président du Réseau entreprendre en Pays de la Loire.
Ce Booster camp se tiendra lors du salon des Entrepreneurs des 19 et 20 novembre 2013, à Nantes.
Présentation des quatre candidats de Loire-Atlantique. D'autres participants viendront de Vendée et du Maine-et-Loire (1).
Tackwin cherche le modèle de demain
Najette Fellache a créé Fyz services et sa plateforme sur Internet, Tackwin, en 2013 à Nantes. Issus de société de services dans la haute technologie, Najette et Kamel Fellache développent une plateforme web participative pour des formations professionnelles.
Avant de lancer leur plan marketing, ils veulent imaginer des formats de formation différents.
L'accès aujourd'hui facilité à de nombreux contenus en ligne et gratuit oblige à innover. Ce sera l'enjeu de leur réflexion.
STIA veut se diversifier dans la chaudronnerie
William Wafo et François Griveau, depuis Sainte-Luce-sur-Loire, usinent en chaudronnerie-tuyauterie pour la sous-traitance industrielle avec des clients comme Air Liquide ou Fleury Michon.
Créée récemment, leur société STIA, avec une quinzaine de personnes, a réalisé 900 000 € de chiffre d'affaires. Au Booster camp, l'entreprise veut trouver des pistes d'innovation et de nouveaux marchés.
Chauss' mini maxi veut innover commercialement
Repris en 2011 par Hélène Dubernet, ce réseau de trois magasins (Nantes, Lille et Tours) et d'un site Internet vend des chaussures dans les tailles extrêmes.
L'enseigne Chauss' mini maxi cherche de nouveaux concepts de distribution et de relations clients.
Uman IT doit lancer un nouveau service
La société nantaise d'informatique Uman IT emploie treize personnes et affiche 800 000 € de chiffre d'affaires. Son dirigeant, Laurent Chevreuil, développe des solutions web notamment dans le domaine de la banque. Il souhaite commercialiser un nouveau produit lié à l'épargne salariale.
(1) Air nutrition à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Concrete by LCDA à Montreuil-Juigné, Difagri à Montaigu et Anjou maquette prototype à Mozé-sur-Louet.
Source 7/08/2013 : Elisabeth BUREAU -entreprises.ouest-france.fr/
Au Business Club de France, nous aimons mettre en valeur les initiatives originales, dynamiques, qui font bouger les choses en France. Beez & Co en est une.
Beez & Co est un think tank fondé à Lille en 2011 par 3 femmes entrepreneures, afin d’apporter un nouveau regard sur le business, de mettre en valeur des initiatives entrepreneuriales "out of the box", qui se différencient des façons de faire traditionnelles.
L’objectif est aussi d’accompagner le changement des entreprises, car au-delà de la crise, selon Beez & Co, nous vivons aujourd’hui une rupture.
Chaque année, Beez & Co organise une journée de réflexion sur un thème de développement.
La journée aura lieu le mardi 2 juillet, à EURATECHNOLOGIES, LILLE.
Le thème de cette journée : "Organisation en E-CO-SYSTEME, création de valeurs pour tous ?"
La conférence s’adresse aux décideurs convaincus qu’il faut s’inspirer d’autres angles de réflexion, fonctionner différemment, faire évoluer les organisations, et cherchent comment faire pour accélérer ce changement.
Beez & Co a été fondé par Caroline Valent, avec 3 autres femmes chef d’entreprise :
- Aurélie Duquennoy : avec Caroline Valent, elles ont fondé By Beez, Cabinet de conseil en stratégies de développement des entreprises, accompagne chefs d’entreprises et dirigeants dans la conception et modélisation de nouveaux business et leur structuration en plan opérationnel.
- Karine Lafontaine : Bonheur & Business est une agence de communication Nouvelle Génération. «Créatifs, inattendus, stratégiques… nous sommes éclectiques et nous imaginons des solutions panachées et inventives.»
- Anne-Lucie Domange-Viscardi, Opening Out est un cabinet de conseil en Communication Interne et Externe des entreprises par la Créativité, qui accompagne les structures dans l’objectif de valoriser leurs activités, renforcer la cohésion au sein des équipes, révéler la créativité des individus qui les composent et valoriser leurs talents.
06/2013 - Source : Le blog N°1 des entrepreneurs qui font bouger la France". Par Michel PICOT http://businessclubdefrance.com
L'INSEE publie pour la première fois un bilan annuel des 22 régions métropolitaines de France et passe au crible leur situation économique. Un examen qui n'a rien de rassurant.
Les Régions de France qui souffrent de la crise et celles qui résistent
Pour la France, 2012 aura été une année nulle en croissance (0%) et de tension sur le marché du travail, puisque le taux de chômage a augmenté de 0,8 point sur l’année pour atteindre 10,6% à fin décembre 2012 et "les pertes d'emplois marchands ont été importantes en 2012 (-99.000 sur l'année), en particulier au second semestre", selon l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques).
Le pouvoir d’achat des ménages s’est également fortement replié, "les exportation de biens et services ont marqué le pas (+2,4% après + 5,4 % en 2011)", souligne l’INSEE sans compter que "la demande intérieure a reculé en France en 2012 (-0,9%)."
Ces difficultés se ressentent bien évidemment sur tout le territoire français avec de fortes disparités selon les régions. Pour la première fois, l’INSEE publie un bilan économique annuel des 22 régions métropolitaines.
Une revue de détail qui permet d’appréhender et de recenser les forces et faiblesses de ces régions de l’Hexagone. Un marché du travail en souffrance du Languedoc-Roussillon au Nord-Pas-de-Calais
"Près de 20% de la population du pays se trouve aujourd'hui dans des zones d'emploi très vulnérables, qui ont franchi un seuil, difficilement réversible, de déclin productif", écrit le sociologue Laurent Davezies dans son livre "La crise qui vient. La nouvelle fracture territoriale". Cela se ressent dans les données publiées par l’INSEE.
Mais c’est dans le Languedoc-Roussillon que le taux chômage est le plus important avec 14,3% (+1,2 point par rapport à 2011). Le taux de chômage dans la région a "connu au 4e trimestre 2012, sa dixième hausse trimestrielle consécutive (…)
Le département des Pyrénées-Orientales est le département métropolitain présentant le plus fort taux de chômage français, 15,3% " précise l’INSEE. Fin 2012, ils étaient plus de 250.000 actifs à chercher un emploi dans la région.
Dans le Nord-Pas-de-Calais, 360.000 personnes sont inscrites à Pôle Emploi, ce qui égale le niveau record de 1997. Le taux de chômage y atteint 14%. Une perte nette de 13.700 emplois est également à constater.
"Le département du Pas-de-Calais est particulièrement touché avec une diminution deux fois plus importante que celle du département du Nord", complète l'INSEE.
En Corse, l’emploi progresse mais…
En PACA, la région résiste grâce au tourisme. Le nombre de nuitée a connu une progression de 2,2% dans les hôtels, (soit 470.000 nuitées supplémentaires). Selon l’INSEE, "Pour la première fois depuis 2008, le nombre de nuitées étrangères a repassé la barre des 8 millions et représente désormais 38,5% de l'ensemble des nuitées de la région".
Mais dès lors que les touristes s’en vont, les difficultés reviennent : le chômage progresse ainsi de 0,6 point et se monte à 11,7%.
"La région reste ainsi au 4e rang des régions métropolitaines les plus touchée", note l'INSEE qui précise que "403.600 demandeurs d'emploi immédiatement disponibles pour travailler (catégories A, B, C) sont inscrits à Pôle emploi en Provence-Alpes-Côte d'Azur."
Les régions les plus épargnés par le chômage reste dans l’ordre, l’île de France (8,8%, ce qui représente en volume plus de 800.00 demandeurs d’emplois), la Bretagne (9%) et les pays de la Loire (9%).
Par ailleurs, l’emploi est stable en Aquitaine et en PACA, progresse même en Ile-de-France (+0,2% et dans le Midi-Pyrénées (+0,2%) et surtout en Corse (+1,2%).
Ce qui n’empêche pas le chômage de progresser également dans ces régions, notamment sur l'Ile de beauté où il atteint la barre des 10%.
La Corse n’est ainsi pas épargnée par les difficultés puis que les défaillances des entreprises connaissent une forte augmentation (+10%).
Sur le plan touristique, la fréquentation globale est en baisse pour la seconde année d'affilée, mais se monte tout de même à 6,3 millions de nuitées. "La fréquentation des hôtels diminue (-2% sur un an), et celle des campings progresse faiblement (+ 0,3%)", souligne l'INSEE.
"La Franche-Comté, région de tradition industrielle, est particulièrement touchée par la crise. L'emploi régional recule, surtout dans l'intérim lié à l'industrie.
Dans le même temps, le chômage progresse", constate l’INSEE. L’emploi s’est ainsi contracté de 2,5%, soit une destruction nette de 6.400 emplois.
"Les postes d'intérimaires représentent près de la moitié des 6.400 postes perdus en 2012".
Au niveau départemental, le Territoire de Belfort est le plus touché par ces baisses d'effectifs
(- 43,2 %)", précise l’INSEE.
"Quatrième région industrielle française en proportion de salariés travaillant dans l'industrie, la Champagne-Ardenne est particulièrement pénalisée par la perte de 3,3% de ses effectifs industriel", constate l'INSEE qui remarque une perte nette de 7.300 emplois (-2,5%), tandis que le taux de chômage atteint 11% (+1 point).
Conséquence : la région a subi une perte nette de 11.000 emplois (-2,3%) et son taux de chômage se monte à 10,7% (+0,9 point).
Pour en savoir plus 06/2013 : http://www.insee.fr/fr/publics/default.asp?page=collectivites/etudes-analyses-aes.htm
http://www.challenges.fr/economie/20130619.CHA1071/les-regions-de-france-qui-souffrent-de-la-crise-et-celles-qui-resistent.html#xtor=EPR-7-[Quot18h]-20130619
http://www.challenges.fr
Le Directeur général de la Confédération du Commerce Interentreprise (CGI), Hugues Pouzin, estime à 120.000 recrutements, dont 95% en CDI, le besoin dans le secteur du B to B.
Ces alliances tacites vont faciliter votre travail et accroître votre efficacité.
Mais sachez bien que ces liens se tissent jour après jour et ne fonctionnent que si l'on est prêt à donner avant de recevoir.
Source : http://espacedirigeants.blog.capital.fr/
Myriam KISS. Anild 10/2012 -Source : L'Entreprise avec AFP Pour en savoir plus : http://www.actility.com/
http://www.europarl.fr/view/fr/Newsletter.html#inscription_newsletter
Loin des pétrodollars qataris qui inondent la capitale de ses liquidités, des investisseurs saoudiens viennent de débarquer dans l'Aube. A Saint-André-les-Vergers plus précisément, juste à côté de Troyes.
Des investisseurs ? On devrait plutôt parler d'industriels, car le groupe Al-Babtain, spécialiste de la fabrication de poteaux, vient de s'offrir en février dernier, à la barre du tribunal de commerce, l'entreprise familiale Petitjean.
Créé en 2011, le baromètre Prisme Emploi a été conçu pour répondre aux besoins en données réactives des observateurs du marché et, surtout, des agences de l'emploi. Il permet de décrypter par anticipation un marché du travail en général qui pourrait connaître une dégradation sensible en 2012.
Source : http://www.ouestfrance-emploi.com 04/05/2012
Actualité emploi : Avril 2012
En Rhône-Alpes, le salaire mensuel net moyen est de : 1 983 euros (en 2009).
En Alsace, le salaire mensuel net moyen est de : 1 920 euros (en 2009).
En Haute-Normandie, le salaire mensuel net moyen est de : 1 904 euros (en 2009).
En Midi-Pyrénées, le salaire mensuel net moyen est de : 1 897 euros (en 2009).
En Nord-Pas-de-Calais, le salaire mensuel net moyen est de : 1 851 euros (en 2009).
Dans le Centre, le salaire mensuel net moyen est de : 1 835 euros (en 2009).
En Lorraine, le salaire mensuel net moyen est de : 1 828 euros (en 2009).
En Franche-Comté, le salaire mensuel net moyen est de : 1 819 euros (en 2009).
En Aquitaine, le salaire mensuel net moyen est de : 1 817 euros (en 2009).
En Picardie, le salaire mensuel net moyen est de : 1 807 euros (en 2009).
En Pays-de-la-Loire, le salaire mensuel net moyen est de : 1 800 euros (en 2009).
En Champagne-Ardenne, le salaire mensuel net moyen est de : 1 799 euros (en 2009).
En Bourgogne, le salaire mensuel net moyen est de : 1 794 euros (en 2009).
En Bretagne, le salaire mensuel net moyen est de : 1 780 euros (en 2009).
En Auvergne, le salaire mensuel net moyen est de : 1 773 euros (en 2009).
En Languedoc-Roussillon, le salaire mensuel net moyen est de : 1 761 euros (en 2009).
En Corse, le salaire mensuel net moyen est de : 1 750 euros (en 2009).
Moyenne nationale (pour information) : 2 044 euros.
En Corse, le taux de chômage est compris entre 9 et 10% (au 4e trimestre 2011).
Moyenne nationale (pour information) : 9,4%.
En Limousin, le salaire mensuel net moyen est de : 1 748 euros (en 2009).
En Poitou-Charentes, le salaire mensuel net moyen est de : 1 735 euros (en 2009).
- Robots de services autonomes (entretien des cultures, déserbages répétitifs autonomes, récolte...)
Myriam KISS. Anild 24/03/2012 - Credits photos : DR. Source : Lentreprise.com
L'an passé, les 698 nouveaux investisseurs qui se sont installés dans l'Hexagone ont créé 27 958 emplois.
Rennes lance sa Novosphère
De la visibilité, et un soutien dans leur démarche d'innovation, c'est ce que promet Rennes aux porteurs de projets qui intègreront son nouveau réseau social, Rennes la Novosphère. http://www.rennes-novosphere.com