Politique en France

Actualités

"Notre monde a tellement besoin d'espèrance"
Père Jacques HAMEL (1930- assassiné  par un terroriste islamiste,le 26 juillet 2016, dans l'église de St Etienne du Rouvray)


"La seule bataille perdue est celle qu'on abandonne."  Rigoberta Menchu

"J’entends, j'oublie. Je vois, je me souviens. Je fais, je comprends " Confucius



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"Les Français élisent des dirigeants pour qu'ils leur taisent ce qu'ils ont peur d'entendre ;

qu'ils en fassent le moins possible, tout en leur promettant l'audace et la réforme"
"Tout ce qu'on peut espèrer, c'est que ce blocage morbide finisse par provoquer
une prise de conscience collective".

Marcel Gauchet, auteur de " l'Avènement de la démocratie" (Gallimard)

 

"Les politiques qui ne comprennent pas que le moteur de la croissance c’est l’entrepreneur sont des incompétents irresponsables"  Joseph Schumpeter

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RAPPORT septembre 2016 :
"Refonder la sécurité nationale" par l'Institut Montaigne
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CICE : une dépense conséquente pour une efficacité incertaine

Un rapport sénatorial publié le 19 juillet  2016 pointe le coût et le manque d’efficacité du Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE).
Le CICE et les moyens mis en place pour son lancement en valent-ils la peine ?

La rapporteure spéciale de la mission “Remboursements et dégrèvements”, Marie-France Beaufils a présenté devant la commission des finances les conclusions de son rapport de contrôle budgétaire sur le profil des bénéficiaires du CICE. Les prévisions transmises estiment le coût budgétaire du CICE à près de vingt milliards d’euros à l’horizon 2020 soit près de 1 % du PIB de notre pays, fustige le rapport.
 
Un outil complexe

Tandis que le CICE est présenté comme un dispositif plus simple de par son taux unique, le rapport pointe une complexité réelle de sa mise en œuvre, particulièrement pour les TPE et PME…..
 Source du 20/06/2016.
Pour lire la suite et infographies : http://courriercadres.com/economie/politique-economique/cice-une-depense-consequente-pour-une-efficacite-incertaine-20072016?utm_source=welcome&utm_medium=newsletter&utm_campaign=010816
 

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Les contrats aidés, emplois "kleenex" de l'Education nationale?

Combler les besoins dans les écoles

Le contrat d'accompagnement vers l'emploi (dit aussi CUI-CAE) est le seul contrat aidé utilisé par l'Education nationale.
Au 2nd semestre 2016, 67 800 postes seront occupés dans les écoles sous cette forme. Destiné aux personnes au chômage ayant "des difficultés particulières d'accès à l'emploi", ce contrat aidé subventionné par l'Etat et prescrit par Pôle emploi, dure deux ans maximum, sauf pour les personnes handicapées ou âgées de plus de 50 ans, qui peuvent voir leur contrat prolongé. Ces contrats sont tous à temps partiel : 20 heures par semaine, payées au
Smic.  
 

Des situations précaires

"Les emplois aidés comblent des besoins énormes, alors que les moyens budgétaires manquent", analyse Matthieu Brabant, secrétaire national à la CGT Education. "Ces personnels remplissent des missions d'intérêt général, secondent sur des tâches administratives pléthoriques mais ne sont pas considérés à leur juste valeur", reconnaît Sébastien Sihr, ex-secrétaire général du Syndicat national unitaire des instituteurs professeurs des écoles (SNUipp).
 
LIRE AUSSI >> Deux ans après leur lancement, où en sont les emplois d'avenir? 

Ce sont des emplois "kleenex", juge un ancien directeur d'école, aujourd'hui à la retraite pour qui les personnels recrutés en contrat unique d'insertion cumulent les désavantages. D'après une étude de la Dares datant de 2014, les salariés recrutés en CAE dans les écoles "ont moins de chances d'être en emploi six mois après leur sortie de contrat" que les personnes [avec le même contrat] travaillant dans les collectivités ou les associations". Que faire, alors, à l'issue d'un CAE?
Je connais une auxiliaire de vie scolaire qui a été intégrée à la ville comme animatrice. Sinon, ces mères retournent dans leur foyer", estime Lilia Ben Hamouda, directrice d'une école maternelle à Stains (Seine-Saint-Denis) et déléguée du SNUipp.  

 

Manque de suivi et de formation

Outre un manque de débouchés, l'accompagnement pendant le contrat pose aussi problème. Dans un rapport rendu en avril 2014, l'inspection générale de l'Education nationale note "des tâches à très faible valeur ajoutée, très éloignées des ambitions de formation et d'insertion constitutives de ces contrats". "Les établissements, forts de l'expérience des dernières décennies, se sont habitués à l'idée de les voir disparaître et ils s'organisent de sorte que leur départ ne perturbe pas leur fonctionnement", notent les auteurs du rapport. 

Aurélie peut en témoigner. Recrutée comme aide administrative pendant deux ans, elle a surtout fait de l'assistance pédagogique. Son contrat ayant pris fin, la jeune femme s'interroge sur ses perspectives. "Cette expérience n'a rien à voir avec mon profil. Je n'ai pas touché une seule fois à un ordinateur. Comment convaincre un employeur de me recruter si je n'ai pas fait de frappe de courrier?", explique cette titulaire d'un bac professionnel "sciences et technologies tertiaires". 

 
L’effort de formation fait lui aussi débat. La loi prévoit, selon les postes, entre 80 et 120 heures comprenant une formation d' "adaptation à l'emploi" et "d'insertion professionnelle" pour rebondir une fois le contrat terminé. Mais elles sont jugées très insuffisantes par les intéressées. "La formation est théorique, elle ne répond pas à nos besoins. La première année, ils nous ont mis avec 50 personnes dans une pièce, avec des intervenants et des témoignages sur les troubles de l'attention. L'année suivante, ils m'ont proposé exactement la même formation. J'aurais préféré apprendre la langue des signes ou avoir de la pratique sur les logiciels pour aider les élèves sur ordinateur", témoigne Sylvie, auxiliaire de vie scolaire dans les Hautes-Alpes. "On m'a proposé une formation de 30 heures pour passer les concours administratifs, mais je n'ai pas donné suite. Le nombre d'heures est insuffisant, et je n'ai pas le temps de la suivre à cause de mes obligations familiales", regrette Farida*.  
 

32 000 postes bientôt créés

Le 19 mai 2016, François Hollande a annoncé la transformation de 56 000 contrats aidés en 32 000 nouveaux postes d'AESH (accompagnant d'élèves en situation de handicap) sur les cinq prochaines années. Ce contrat de droit public à temps complet dure six ans et comprend la possibilité d'être ensuite titularisé. Dans l'attente d'engagements budgétaires plus précis, la nouvelle redonne espoir à ceux qui souhaitent évoluer dans les établissements scolaires. 
Plus d'actualité sur : Le contrat aidé, un outil d'insertion professionnelle intéressant pour les entreprises  
 Source du 30/08/2016 : Catherine Abou El Khair, http://www.lexpress.fr/emploi/conseils-emploi/
 

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Selon un sondage Ifop pour Atlantico, parmi la myriade de candidats putatifs à l'élection présidentielle, seuls trois apparaissent aux yeux des Français comme capables de concilier la lutte contre le terrorisme et le respect de l'Etat de droit.
Publié le 9 Août 2016 - Mis à jour le 12 Août 2016
http://www.atlantico.fr/decryptage/sondage-exclusif-et-personnalite-percue-comme-plus-capable-assurer-equilibre-entre-lutte-contre-terrorisme-et-maintien-etat-2785089.html/page/0/1

"L'impôt sur les sociétés (IS) va être abaissé à 28% pour les PME"

Dans un entretien à L'Express, le premier ministre Manuel Walls confirme, le 23 août 2016, que l'impôt sur les sociétés des PME va être réduit. Une partie de leurs bénéfices seront taxés à 28% seulement au lieu de 33,3%.

L'information circulait déjà officieusement depuis quelques semaines. Elle est confirmée. Le Premier ministre Manuel Valls a annoncé dans un entretien à L'Express que l'impôt sur les sociétés serait en partie abaissé à 28% pour les petites et moyennes entreprises (PME) dans le cadre du projet de budget pour 2017.
 

LIRE L'INTERVIEW COMPLETE >> Manuel Valls: la gauche doit se réconcilier avec les Français 

 
"Pour les PME, il y aura une baisse à 28% de l'impôt sur les sociétés, sur une partie de leur bénéfice", a déclaré le chef du gouvernement.  
"Une salutaire prise de conscience" a aussitôt réagi la CGPME dans un communiqué. Cette baisse devrait être globalement bien accueillie par les entrepreneurs, mais avec des bémols tout de même. 

Dans un entretien aux Echos, le président de la CGPME, François Asselin, avait réclamé ce week-end un abaissement de l'IS "aux alentours de 25%" pour les PME. "Cela permettrait sur la durée, d'ici trois à cinq ans, de permettre aux PME et TPE françaises de retrouver des forces en capitaux propres et donc une capacité d'innovation et d'investissement", avait-il argumenté. Il estimait cependant qu'une baisse de l'IS à 28% irait "dans le bon sens", tout en notant qu'elle "s'appliquera aux bilans clôturés en 2017" et que "la baisse concrète n'interviendra donc qu'en 2018". 

François Asselin n'obtiendra visiblement pas gain de cause sur une partie de ses requête. Son organisation milite pour que le taux d'impôt sur les sociétés appliqué aux résultats remontés en capitaux propres, c'est-à-dire la part des bénéfices non distribuée aux actionnaires, soit encore plus bas "aux alentours de 12,5%".
Une mesure de nature à booster les capitaux propres des entreprises et, donc, leurs capacités d'innovation et d'investissement. 

Nouvelle hausse du CICE

Manuel Valls confirme par ailleurs dans son entretien de nouveaux allègements de charges pour les entreprises dans le cadre de la dernière tranche du Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE). 

Le taux du CICE sera porté de 6 à 7% pour les salaires versés à compter du 1er janvier 2017, soit un montant de 3 milliards. Le secteur non lucratif - qui n'est pas destinataire du CICE - bénéficiera, quant à lui, d'une mesure spécifique. La prolongation jusqu'à la fin de 2017 du dispositif d'incitation à l'investissement industriel représentera 800 millions. 
 

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Pourquoi la France a raté le coche de la croissance
 
Malgré les périls ambiants, les tensions géopolitiques, le terrorisme, l’économie mondiale poursuit sa route au milieu des obstacles avec une croissance toujours menacée mais qui a tout de même le mérite d’exister, grâce à des locomotives comme les Etats-Unis ou l’Allemagne. 

Un rôle que ne joue malheureusement pas la France…..

Source du 12/08/2016 pour lire la suite

-Le gouvernement recase des syndicalistes de FO et de la CGT - http://www.mediapart.fr/journal/france/180416/le-gouvernement-recase-des-syndicalistes-de-fo-et-de-la-cgt?utm_source=global&utm_medium=social&utm_campaign=SharingApp&xtor=CS3-5
 
-La justice «se clochardise»,  selon son ministre - http://www.mediapart.fr/journal/france/190416/la-justice-se-clochardise-selon-son-ministre?utm_source=global&utm_medium=social&utm_campaign=SharingApp&xtor=CS3-5
               

Le coiffeur de François Hollande nous coûte un million d’euros !

Presque 10 000 euros mensuels (bruts) pour un merlan, c’est ébouriffant !
En coût total, cela fait plutôt 15 000€ et près de 200 000€ annuels, 1 million € sur un quinquennat !
Soyons juste : la tâche est difficile, le casque de scooter hérisse le poil et la teinture part vite sous les intempéries.

 

COIFFEUR Hollande 06-2016


Anciens présidents : le plus coûteux est… Giscard !

ANCIENS PRESIDENTS couts 2015

Le député atypique de l'Aisne René Dosière a dressé le « podium » du coût des trois anciens présidents de la République, Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

La palme revient à Giscard, qui n'est plus président depuis 34 ans, avec 2,5 millions d'euros de coût annuel !  Source : blog de René Dosière


Valéry Giscard d’Estaing n’est plus président de la République depuis 1981.

Et pourtant, il continue de coûter 2,5 millions d’euros par an aux contribuables, soit nettement plus que ses successeurs encore en vie, Jacques Chirac (1,5 millions d’euros) et Nicolas Sarkozy (2,2 millions d’euros), pourtant partis de l’Élysée bien plus récemment (respectivement 2007 et 2012).

Cet entretien des anciens chefs de l’État par les contribuables est dû à une lettre de Laurent Fabius lorsqu’il était Premier ministre, en 1985.

Le chef du gouvernement avait alors écrit au prédécesseur de François Mitterrand à l’Élysée pour lui détailler les conditions de cet entretien, dont vous pouvez retrouver un résumé dans un article paru dans le numéro 1 (octobre-novembre 2013) des "Enquêtes du Contribuable" :

Un appartement de fonction, meublé et équipé, avec deux personnels de service, deux policiers assurant la protection rapprochée, une sécurité particulière pour le domicile privé, une voiture de fonction à titre permanent avec deux chauffeurs, sept collaborateurs permanents pour le secrétariat (un chef de cabinet, deux assistants, un fonctionnaire des archives nationales, trois secrétaires-dactylos).

Les dépenses de personnel sont supportées par les ministères d’où sont issus ces collaborateurs (choisis librement par l’ancien Président).

Aujourd’hui encore, 14 personnes travaillent à temps plein au service de Giscard :

Giscard emploie pas moins de 14 collaborateurs (chauffeur, cuistots, agents de sécurité, secrétaires) ! Dont deux marins. Le tout sous la direction informelle de l’ancien préfet Olivier Revol.

Le ministre de la Défense voulait lui soustraire (au moins) un marin. Mais l’Ex a opposé une farouche résistance, allant jusqu’à se plaindre aux services du Premier ministre.

Et les émissaires de François Hollande ont piteusement battu en retraite !

Source : http://www.observatoiredesgaspillages.com/2015
Pour en savoir plus : http://www.observatoiredesgaspillages.com/category/gaspillage-argent-public/
http://www.observatoiredesgaspillages.com/category/a-la-une/
http://www.observatoiredesgaspillages.com/subventions-par-zones-geographiques/

 
                                                                        

Devenez incollable sur les finances publiques françaises

http://www.institutmontaigne.org/fr/publications/

 


 
 
 
 
  































































































































































































































































































































































































































































































 
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