Actualités "EMPLOI"

“Le jour où notre pays aura un actif national d’un  million d’entreprises de plus qu’aujourd’hui,
une partie de la question lancinante du chômage,
et particulièrement de celui des jeunes, aura trouvé des solutions durables.”

  Panneau EMPLOI FORMATION CHOMAGE

Les nouveaux sites de asso-emploi.org :

Pole-emploi.fr :

Les sites des régions fusionnent

De 22 à 13 régions métropolitaines

Du changement sur pole-emploi.fr

Les sites pole-emploi.fr régionaux passent de 22 à 13 en France Métropolitaine pour être en adéquation avec la réforme territoriale.

Toutes les régions sont nommées temporairement jusqu'en octobre 2016 (à l'exception de Normandie et de Centre Val-de-Loire).

Découvrez votre nouvelle région

     Anciennes régions

     Nouvelles régions

     Alsace      Alsace Champagne-Ardenne Lorraine
     Aquitaine      Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
     Auvergne      Auvergne-Rhône-Alpes
     Basse-Normandie      Normandie
     Bourgogne      Bourgogne-Franche-Comté
     Centre      Centre-Val de Loire
     Champagne-Ardenne      Alsace-Champagne-Ardenne Lorraine
     Franche Comté      Bourgogne-Franche-Comté
     Haute-Normandie      Normandie
     Languedoc-Roussillon      Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées
     Limousin      Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
     Lorraine      Alsace Champagne-Ardenne Lorraine
     Nord-Pas-de-Calais      Nord-Pas-de-Calais-Picardie
     Midi-Pyrénées      Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées
     Picardie      Nord-Pas-de-Calais Picardie
     Poitou-Charentes      Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
     Rhône-Alpes     Auvergne-Rhône-Alpes
     Val-De-Loire      Centre-Val de Loire

Myriam KISS Anild - 06/2016. Source Pole Emploi

************
 

Résultats de ManpowerGroup
pour le deuxième trimestre et le premier semestre 2015

ManpowerGroup (NYSE : MAN) annonce aujourd’hui que son résultat net par action diluée au titre du trimestre clos le 30 juin 2015 s’établit à 1,33 dollar contre 1,35 dollar pour le deuxième trimestre 2014.

Le résultat net au deuxième trimestre  2015 s’élève à 105,7 millions USD contre 109,8 millions USD pour la même période de l’exercice précédent.

Le chiffre d’affaires du deuxième trimestre ressort à 4,9 milliards USD, en baisse de 9 % par rapport au deuxième trimestre 2014.

 
Selon Jonas Prising, Président-Directeur général de ManpowerGroup :
 
" Nous sommes très satisfaits de la robustesse de nos résultats au second trimestre, qui viennent couronner un bon premier semestre 2015".
 
L’amélioration des marchés de l’emploi se poursuit dans le monde entier, quoiqu’à un rythme moins soutenu et inégal dans certains pays. La croissance enregistrée plutôt solide dans un certain nombre de régions, voire très solide en Italie, au Mexique, en Espagne et au Royaume-Uni, est encourageante pour notre équipe.

Grâce à nos marques et solutions réputées, nous sommes bien placés pour tirer également profit d’opportunités de croissance rentable au second semestre de cette année.

Nous prévoyons pour le troisième trimestre 2015 un résultat par action diluée compris entre 1,50 USD et 1,58 USD, compte tenu d’un effet de change défavorable de 24 cents ».
Par L'Atelier de l'emploi, le 21 juillet 2015, dans la catégorie : Actualités du groupe
A lire aussi : http://www.manpowergroup.fr/guide-marque-employeur-construire-salaire/
À lire aussi Marque employeur : pourquoi faut-il faire confiance aux employés pour parler de leur entreprise ?
A l’instar de leurs homologues américains, les candidats français accordent également une place prépondérante aux réseaux sociaux. Ils y cherchent principalement des mises en contact et des témoignages de salariés actuels de l’entreprise. « Dans un second temps, la réputation va se faire par réseau », rebondit Emmanuel de Catheu.

*****************
En 2015,
les difficultés de recrutements demeurent malgré la crise

EN DATA. Les projets de recrutements continuent d’augmenter cette année, selon l’enquête annuelle Besoins en Main-d‘Oeuvre (BMO) 2015 de Pôle Emploi. Mais des difficultés de recrutement persistent.

+ 1,2%. Selon l’enquête de référence sur les attentes et les difficultés rencontrées par les employeurs en matière de recrutement pour l’année à venir, créations de postes et remplacements confondus, plus d'un établissement sur cinq envisage de recruter en 2015 (20,7% contre 19,5% l’année précédente).

Un chiffre qui confirme donc une tendance à la hausse des projets de recrutements.

Les métiers qui arrivent largement en tête des projets de recrutements sont :
-les services aux particuliers (41% des projets),
devant
-les services aux entreprises (23%),
- le commerce (12%),
- l'agriculture (11%),
- l'industrie (8%)
- et la construction (4%). 

 

Les métiers les plus recherchés par les recruteurs sont...

Au niveau des recrutements en eux-même, les prévisions d'embauches exprimées par les employeurs progressent également de 2,3% en 2015, soit 38 700 projets d'embauches supplémentaires par rapport à 2014.

Les métiers qui recrutent le plus, hors travail saisonnier, sont  :
- les agents d'entretien de locaux (57 000 recrutements prévus),
- les aides à domicile (39 800) ,
- les aides de cuisines et employés polyvalents de la restauration (39 500)
-ainsi que les aides soignants (31 600)
sans oublier, bien sûr,
- les ingénieurs, cadres d'études
- et chef de projets informatiques
(25 487).

 

Les difficultés de recrutements demeurent

En 2015, 32,4% des employeurs prévoient des difficultés de recrutement, une "évolution en baisse constante depuis 2012", souligne Pôle Emploi, puisque l'on est passé de 45% en 2005 à 42,5% en 2012.

Paradoxe du marché de l'emploi français, entre les 3,571 600 millions de demandeurs d'emploi à fin août 2015 en métropole (un peu plus de 3,835 millions en incluant l'Outre-mer)... et les milliers d'offres non pourvues.

Du côté des métiers les plus touchés, une grande diversité est à signaler,
- allant des régleurs (79% de recrutements difficiles)
- aux médecins (69%)
en passant par
- les ingénieurs et cadres d'administration
- et de la maintenance en informatique
(70%).


*************************

Autre métier fortement marqué par des difficultés de recrutement, celui de couvreur. 

Ce qui n'est pas étonnant, selon Raynal Davoust, couvreur zingueur dans les Yvelines, interrogé par Le Parisien : "Il faut être costaud, ne pas avoir le vertige, supporter la pluie et le froid. Couvreur, c'est dur, il faut que ce soit une vocation. Mais au final, le salaire est intéressant, entre 1 500 euros dans des coins isolés et 3 500 euros près de Paris".

  • Malgré cela, sur les 3 000 offres d'emploi de couvreur zingueur disponibles dans toute la France, 71 % sont jugées difficiles à pourvoir par les employeurs.

Quelles disparités régionales ?

Le BMO propose aussi des données sur les disparités régionales, et permet de constater, cette année encore, des nuances criantes entre des régions en quête de main-d’œuvre (Sud-Est, Ile-de-France...) et des régions où l'offre est faible (Pyrénées, Indre,Corrèze, Deux-Sèvres).

France en 2015  Enquête BMO - Pôle emploi Copyright 2015©

Par L'Atelier de l'Emploi, le 17 avril 2015  - Source : http://www.manpowergroup.fr/france-emploi-2015-filiere-secteur/

 
EUROPE etoiles
Les causes de la montée du chômage
selon les employeurs européens
Focus  Le taux de chômage dépasse les 10 % en Union européenne et atteint même les 22,5 % pour les moins de 25 ans. Pour les patrons européens, l’explication vient avant tout du manque d’investissement en formation des entreprises…

Le chômage s’est envolé en Europe. Il dépasse aujourd’hui les 10 % de la population active et les 22,5 % auprès des moins de 25 ans. Normal, diront certains. C’est la crise.

Il apparaît peu probable en effet que les deux crises successives de 2008 et 2011 aient aidé à la bonne marche du marché de l’
emploi en Europe. La crise financière a eu un impact sur les crédits et la crise économique a affecté les échanges. Mais est-ce les seuls facteurs ?


La Fédération des Employeurs Européens, lors d’un sommet le 26 avril 2012 à Bruxelles, s’est interrogée sur les racines profondes du mal. Pour elle, le marché du travail en Europe ne fonctionne pas correctement.
 
Pour confirmer ses dires, elle s’appuie sur une étude du cabinet Accenture, réalisée auprès de 500 décideurs à la tête d’entreprise, soulignant les lacunes en matière de formation.

Car la formation est la clé du succès. Plus les actifs sont diplômés, moins ils connaissent le chômage. Dans l’Union européenne, seulement 44,6 % des jeunes ayant le brevet ont un job contre 81,8 % des diplômés du supérieur.
 Faibles investissement dans la formation
Les sondés ont conscience de l’importance de la formation. 72 % des 500 patrons interrogés estiment que les entreprises, les décideurs politiques et les organisations de la société civile doivent revoir à la hausse leurs investissements dans ce domaine. C’est le meilleur moyen pour faire face à la pénurie de talents. 43 % des sondés reconnaissent en effet affronter cet obstacle.

Pourtant, l’étude révèle que, au cours de ces 12 derniers mois, 86 % des employeurs européens ont réduit ou gelé leurs dépenses dans la formation et le développement des compétences.

Et seulement 18 % des entreprises envisagent, au cours des 12 prochains mois, d’accroître leurs dépenses en matière de compétences et de formation.

« Nous sommes face à un double paradoxe : les entreprises européennes taillent dans leurs investissements en matière de développement des compétences alors même qu’elles devraient y consacrer davantage de budget ».

Et la pénurie de talents se fait toujours sentir malgré l’existence d’un très vaste vivier inexploité en Europe et dans le reste du monde, souligne Fernand Dimidschstein, responsable de l’activité conseil en
management d’Accenture France Benelux.
Conscients qu’ils devraient plutôt investir de façon contracyclique dans le capital humain européen, les employeurs ont du mal à trouver des solutions. Un meilleur fonctionnement du marché des compétences en Europe ouvrirait la voie à l’apparition de nouvelles entreprises, à la croissance économique et à la création d’emplois. »
Des talents mal exploités
Autre hérésie : les employeurs n’exploitent pas les compétences disponibles des 23 millions d’Européens sans emploi.
 
Ils traitent de la même manière les seniors, les jeunes et les autres et « ne parviennent donc pas à identifier et cibler la diversité des profils », pointe l’étude. 67 % des sondés estiment même que les compétences des seniors sont sous-évaluées par les employeurs.

Enfin, dernier couac : la mobilité et les opportunités au sein du marché européen. « Le marché unique est peut-être un succès pour les produits mais il a échoué pour les talents », déclare la Fédération des entreprises belges.

 En 2010, seulement 2,8 % de la population européenne en âge de travailler vit dans un autre Etat membre.

 
Côté entreprises, 47 % des sondés reconnaissent faire appel largement aux compétences disponibles dans leur propre pays. Mais seulement 28 % se tournent vers des compétences issues d’un autre pays européen.
 
Accenture conclut qu’en l’état actuel et partant sur une perspective de croissance économique de 0,5 % par an en Europe, prévision par ailleurs plutôt optimiste, la Commission européenne tablant sur une croissance nulle pour 2012, il faudra attendre 2019 pour que les niveaux d’emplois renouent avec ceux de 2008, avant la crise.    Lucile Chevalier  11/05/2012, L’Usine Nouvelle et www.emploi-pro.fr

CONFÉDÉRATION GÉNÉRALE DES SCOP
37, rue Jean Leclaire 75017 Paris
Tél : 01 44 85 47 00 / Fax : 01 44 85 47 10
E mail : les-scop@scop.coop - http://www.les-scop.coop

LES CHIFFRES-CLES
 
Un développement constant
À fin 2010, on comptait 1 959 sociétés coopératives et participatives adhérant à la Confédération des Scop réunissant 39 107 salariés hors filiales non coopératives et plus de 50 000 en comptant ces filiales.
A fin 2009, le nombre de Scop était de 1 893 et les salariés de 39 893.

 
Après quinze ans de croissance régulière, les Scop progressent encore de + 3,5 %.
 
 
Des entreprises pérennes 
Taux de survie après 3 ans en Scop : 74 % (moyenne France: 66 % - source Insee)
Une dynamique de création
En termes de création, 208 Scop nouvelles sont nées en 2010, contre 166 en 2009, quelle que soit l’origine de création (ex-nihilo, réanimations et reprises d’entreprises en difficulté, transmission d’entreprises saines et transformation). Le nombre d’emplois correspondants dépasse les 1.100, à un niveau identique à celui de 2009.

Dans la durée, la tendance est nettement à la hausse puisque sur le cumul des cinq dernières années 2006 à 2010, 974 Scop et 6 365 nouveaux emplois ont été créés toutes origines confondues, contre seulement 685 Scop et 5 188 emplois lors des années 2001/2005.

 
Les principaux critères économiques :
une meilleure solidité financière 
Les Scop, comme toutes les entreprises, ont été affectées par la crise. 
Les excédents nets de gestion (bénéfices des Scop) ont baissé de 12 %.
Pour autant, le niveau de 115 millions d’€ reste pour autant au dessus des résultats nets enregistrés jusqu’en 2005, qui avait vu un record à 113 millions d’€.

Enfin, les Scop ont continué de consolider leurs fonds propres, qui passent de 1,15 à 1,19 milliard d’€, soit une progression de 3,5 % en un an. 
Répartition des Scop et salariés par taille d'entreprise
La taille moyenne de 20 salariés par Scop cache une forte disparité des situations.
Comme pour les autres PME, les plus petites sont les plus nombreuses (plus de 1 170 Scop font moins de 10 salariés), mais ces Scop rassemblent moins de 12 % des effectifs salariés des Scop.

A contrario, moins de 9 % des Scop sont des entreprises de 50 salariés et plus et rassemblent plus de 55% des emplois Scop.

Les entreprises de 10 à 50 salariés représentent quant à elles un tiers du total des Scop, tant en nombre d’entreprises qu’en emplois.

Dans la durée, la part des Scop de 10 à 50 salariés tend à diminuer, avec des emplois relativement plus nombreux dans les Scop les plus petites (moins de 10 salariés) et les plus grandes (plus de 50 salariés).
Répartition des Scop et salariés par métier
Les Scop sont surtout présentes dans les services (1.135 Scop, 18 137 emplois).

Mais le secteur du BTP garde toujours une place prépondérante (427 Scop, 11 256 emplois), de même que l’industrie (360 entreprises, 9 135 emplois). 

Comparé à la moyenne française, les Scop sont très nettement sur représentées dans la construction (28,8 % des emplois contre 6,8 % en moyenne française), dans l’industrie (23,4 % des emplois contre 14,9 % en moyenne française).

A l’inverse, elles restent moins présentes dans le secteur tertiaire (46,4 % des emplois Scop contre 74,2 % de l’emploi salarié en France) et nettement moins présentes dans les autres secteurs (1,5 % en Scop vs 4,1 % sur la France), tels que l’agriculture, mais aussi l'immobilier, la finance.
Répartition du résultat dans les Scop
En 2010, comme chaque année, les Scop ont privilégié leurs fonds propres en affectant 39 % de leurs résultats aux réserves impartageable.

Les salariés de Scop tous métiers et toutes tailles confondus se sont ainsi vus rétrocéder 40 % des excédents nets de gestion (ENG) sous forme de participation, et 10 % sous forme d’intéressement, soit la moitié des résultats ristournés aux salariés sous forme de « part travail ».
Enfin, 11 % des ENG ont été consacrés au versement des dividendes.
Myriam KISS. Anild 05/2012  - Source : www.les-scop.coop
 
Prospective :
783.000 emplois créés en France d’ici à 2016

 
Difficile à croire, quand le chômage ne cesse d’augmenter : certains secteurs devraient rester dynamiques et porteurs d’emplois dans les années à venir.

C’est ce qu’il ressort des deux études (1) du CAS (Centre d’analyse stratégique) parues en janvier 2012. Des perspectives qui donnent des raisons d’espérer.
 
Le CAS, en analysant les tendances, part sur un constat plutôt rassurant sur l’emploi, sans doute difficile à entendre aujourd’hui, mais pourtant bien réel  « La dernière crise que nous avons vécue en 2008 avait une ampleur comparable à la situation économique de l’avant-guerre », estime ainsi Cécile Jolly, coauteur des deux études du CAS.

On estime qu’on ne peut pas tomber plus bas, même avec cette nouvelle crise actuelle. Or, nous avons constaté un comportement de l’emploi global étonnant, avec des secteurs quasi imperméables, d’autres qui ont souffert, mais qui ont rebondi vite et fort… l’économie française a des ressorts internes solides.”

Les principaux secteurs en hausse
 
Les métiers de service. Parmi les secteurs qui ont plus que résisté à la crise, les services devraient continuer à se développer. Dans tous les cas de figure, la mutation est déjà bien engagée : ce secteur va continuer de créer des emplois, qu’il s’agisse des services personnels et “d’utilité collective” – dont le besoin devrait s’accentuer notamment avec le vieillissement de la population – ou les services aux entreprises.

Entre 2011 et 2016, les services ope?rationnels aux entreprises (intérim majoritairement) devraient créer 236.000 postes, les services à la personne 171.000.

Construction et activités immobilières. Bâtiments neufs, rénovation… la demande continue de progresser, “aidée” par l’évolution de la population (croissance de la démographie, augmentation des couples séparés) et par les nouvelles exigences environnementales… 117.000 emplois supplémentaires sont prévus dans ce domaine d’ici à 2016.

 
L’hôtellerie-restauration. C’est l’hôtellerie qui tire essentiellement le secteur vers le haut, avec une concentration autour des grandes chaînes hôtelières : de 2011 à 2016, 56.000 emplois devraient être créés en tout dans le secteur.

Secteurs technologiques. La recherche et le développement, le conseil, l’assistance informatique et le développement des réseaux sont des domaines porteurs en France, avec une prévision de croissance de 176.000 postes d’ici à 2016 et de 330.000 à 410.000 d’ici à 2030.

 Industrie : un paysage contrasté
 
Globalement, le secteur industriel va continuer à perdre des emplois ( 123.000 hors intérim d’ici à 2016). Particulièrement le textile, les équipements du foyer, la production de combustibles… perdraient encore 45.000 postes, idem pour domaine des équipements mécaniques, fortement soumis à la concurrence, qui perdraient 37.000 emplois.

Cependant, certains secteurs tirent leur épingle du jeu : la pharmacie-cosmétique générerait 4.000 emplois de 2010 à 2016, tandis que l’aéronautique et la construction navale et ferroviaire gagneraient ensemble 3.000 nouveaux postes.

 
De 1,6 à 2,2 millions d’emploi créés :
les trois scénarios à l’horizon 2030

 
Trois scénarios pour le futur : c’est l’exercice de prospective auquel s’est livré le CAS, qui permet d’identifier les tendances de l’emploi de demain.

Scénario positif. La France s’oriente vers un nouveau modèle de croissance. 2,2 millions d’emplois sont créés en vingt ans et le chômage régresse à 6,3 % en 2030.

Scénario “contraint”. Le contexte reste incertain et la croissance molle. 1,7 million d’emplois sont créés, le taux de chômage passe à 7,8 % en 2030.

Scénario de crise. Les contraintes financières s’accroissent pour les entreprises, l’État et les ménages, le commerce mondial ralentit… 1,6 million d’emplois sont créés, et le taux de chômage reste élevé à 8,2 % en 2030.
Myriam KISS    ANILD 02/2012  
 

Actualités PRESSE "SPECIAL EMPLOI "
Document à consulter en cliquant dans le lien :
anild.wifeo.com/documents/Actu-Presse-Emploi---Avril-2011.doc

Consulter le Protocole d'Accord entre l'UNEDIC et  le PRISME
(anciennement dénommé le SETT) :
anild.wifeo.com/documents/Protocole-Accord-SETT-UNEDIC.v-97.doc
 ..
 
PRISME  anciennement SETT (Syndicat des Entreprises de Travail Temporaire) www.prisme.eu  
Toutes les informations utiles sur le travail temporaire et le statut d’intérimaire.

F.A.S.T.T. (Fonds  d’Action Sociale pour le Travail Temporaire)   www.fastt.org
Association Loi 1901 à but non lucratif financée par les entreprises de travail temporaire,  propose  aux salariés intérimaires  une gamme de services et de prestations pour faciliter l’accès au logement, au crédit et à l’emploi, et plus largement pour  améliorer leur vie quotidienne.
F.A.F.T.T.  (Fonds Aide à la Formation du Travail Temporaire)    www.faftt.org
C'est une organisation qui collecte les fonds de formation des entreprises de travail temporaire et   accompagne les intérimaires dans la construction de leur parcours de professionnalisation. 

MUTUELLE INTERPROFESSIONNELLE . Service FASTT-MUT (S.M.I.) www.mutuelle-smi.com

HANDIPOLE  www.handipole.org  ite d’information sur les dispositions emploi, formation, insertion et handicap.
 Handipôle  propose des ressources et documents utiles pour les personnes handicapées, aux entreprises et professionnels

UNION des GROUPEMENTS d'EMPLOYEURS de FRANCE - UGEF  www.ugef.fr
La méthode : recruter des salariés et les mettre à disposition des entreprises adhérentes.

FEDERATION NATIONALE des TRAVAUX PUBLICS    www.fntp.fr

Toutes les offres d'emploi du BTP Inscrivez-vous & Postulez en ligne           emploi-btp.lemoniteur.fr

CADRE EMPLOI  www.cadreemmploi.fr/Travail  Plus de 1 500 offres en ligne par jour. 

PARIS INSERTION PAR L'ECONOMIQUE  www.paris-insertion.org/537-Insertionparleconomique

TRAVAIL EMPLOI SANTE www.travail-emploi-sante.gouv.fr

FRANCE 5 EMPLOI  www.emploi.france5.fr/emploi/trouver-emploi/recrutement

GUIDE DE LA CREATION D'ENTREPRISE, les étapes clé     http://www.guidedelacreationdentreprise.com/
 
 
EMPLOI DES SENIORS  www.emploidesseniors.gouv.fr
 
Depuis janvier 2010, TOUTES LES ENTREPRISES (OU GROUPES D’ENTREPRISES), employant 50 salariés au moins, doivent avoir conclu un accord ou établi un plan d’action sur l’emploi des salariés âgés.
DANS LE CAS CONTRAIRE, ces entreprises seront soumises à une pénalité financière équivalente à 1 % de leur masse salariale.

  Bilan et Analyse de Personnalité, de Compétences  www.MaRéussite.com
                  
   Pour aller plus loin, quelques pistes  consulter des annonces  www.seniorjob.fr
   Un portail dédié à l’univers professionnel des plus de 50 ans  www.rhseniors.com
 
   Le forum Emploi Senior  www.forumemploiseniors.fr

 

 

 
 
 
 
 



Créer un site
Créer un site