Pour en savoir davantage sur vos droits en tant que travailleur saisonnier, y compris dans la vente, (hébergement, transport, contrat de travail...), un site est vivement conseillé : www.questionsaison.fr
Pour les étudiants, les petits boulots d’été et d'hiver sont l’occasion de gagner de l’argent et de muscler leur CV. Voici des pistes adaptées aux compétences de chacun.
http://www.pole-emploi-evenements.fr/index.php?/Evenements/9189-action-vendanges.html
Les conditions de vie
PAS D’OFFRES AVEC LOGEMENT SUR LES BASSINS DE REIMS, CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (VERTUS) ET VITRY-LE-FRANCOIS. Très peu de possibilités à Sézanne.
Pour Reims et Chalôns, il n’existe pas de camping et il y a peu de disponibilités en chambres d’hôtes.
Candidatures locales avec moyen de locomotion pour Reims, co-voiturage possible pour Châlons, pas de transport en commun à Sézanne .
Environ un quart des postes sur le bassin d’Epernay permet de se loger, mais il n’y a pas de possibilité d’aide au transport pour les non logés.
L’hébergement, ainsi que le transport, sont envisageables pour tous les autres bassins d’emploi de la Champagne-Ardenne.
Le contrat et la rémunération
C’est un travail saisonnier avec un contrat d’une durée d’une semaine à 15 jours (entre 3 et 7 jours à Vitry-le-François), en temps plein, en septembre.
La rémunération peut être à tâche (rémunération au kilo de raisin cueilli).
Vous devrez vous munir de votre pièce d’identité en cours de validité.
Pour postuler
Vous pouvez directement consulter les offres en ligne (sélectionner "aide viticole" ou "vendangeur / vendangeuse" dans la liste) sur le site national pole-emploi.fr.
Lorsque vous avez noté la référence de l’offre qui vous intéresse, remplissez la fiche de candidature et adressez la à l’agence Pôle emploi qui gère l’offre avec une copie de votre carte d’identité en cours de validité ou titre de séjour (recto/verso) et copie de votre carte d’assuré social.
ou
Vous vous rendez directement à l’agence Pôle emploi la plus proche, vous consultez les offres sur le site national pole-emploi.fr (sélectionner "aide viticole" ou "vendangeur / vendangeuse" dans la liste).
Lorsque vous avez noté la référence de l’offre qui vous intéresse, remplissez la fiche de candidature et adressez-la à l’agence Pôle emploi qui gère l’offre avec une copie de la carte d’identité en cours de validité ou titre de séjour (recto/verso) et copie de la carte d’assuré social.
Les adresses des agences de Champagne-Ardenne
Par téléphone : un numéro unique, le 39 49*
(taper *et le n° du département dans lequel vous voulez faire les vendanges)
(*0,11€ par appel depuis une ligne fixe ou d'une box. Coût d'une communication normale depuis un mobile. Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 12h00 et de 13h00 à 16h00)
Bar-sur-Aube : ape.10231@pole-emploi.fr Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
55, rue du Général de Gaulle - CS 50063 - 10202 Bar-sur-Aube Cedex
Châlons-en-Champagne : ape.51452@pole-emploi.fr Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
Avenue de la 2ème Division Blindée - 51022 Châlons-en-Champagne Cedex (derrière le parking de Match)
Permanence vendanges à partir du 4 août, tous les matins de 8h30 à 12h00.
Epernay : vitibatett.51421@pole-emploi.fr Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
à partir du 17 août - Point Vendanges : Cour de la Gare - 51200 Epernay
Avant les vendanges : Du lundi au vendredi : 8h30 - 12h15 et de13h00 à 16h30
Pendant les vendanges : Du lundi au dimanche : 7h30 - 12h30 et de 13h30 à 18h00
Reims : vendanges.51012@pole-emploi.fr Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
Reims Bezannes - 51, rue Louis Néel - CS 90042 - 51726 Reims Cedex
Reims Jeanne d'Arc - 1, rue des Thiolettes - CS 90019 - 51722 Reims Cedex
Reims La Neuvillette - 9, rue Charles Guggiari - CS 70005 - 51725 Reims Cedex
Reims Mont d'Arène - 67, rue du Mont d'Arène - CS 20022 - 51721 Reims Cedex
Romilly-sur-Seine : ape.10215@pole-emploi.fr Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
32 rue Milford Haven - CS00001 - 10105 Romilly sur Seine
Sézanne : ape.51475@pole-emploi.fr Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
51 Rue Aristide Briand - CS 50095 - 51120 Sézanne
Troyes : entreprises.10262@pole-emploi.fr Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
Troyes Copainville - 3, allée Yves de Copainville - CS 10640 - 10089 Troyes cedex
Troyes Langevin - 1, place du professeur Langevin - CS 80620 - 10089 Troyes cedex
Troyes Romain Rolland - 107, avenue Edouard Herriot - CS 90630 - 10089 Troyes cedex
Vitry-le-François : ape.51444@pole-emploi.fr
18, rue Marabais - 51308 Vitry-le-François
Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 8h30 - 16h15 - le jeudi : 8h30 - 12h30
(*0,11€ par appel depuis une ligne fixe ou d'une box. Coût d'une communication normale depuis un mobile. Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 12h00 et de 13h00 à 16h00)
La gratification minimale pour les stages passera alors à 523,26 euros mensuels (contre 436,05 euros aujourd’hui) pour un stage d’au moins deux mois consécutifs. Car en dessous de cette durée l’indemnisation est facultative.
Mais dans les faits il arrive que les stagiaires touchent plus que le minimum légal. AJ stage, sites spécialisé dans le recrutement de stagiaires, interroge régulièrement les étudiants pour mesurer précisément les indemnités pratiquées en France. Voici les derniers chiffres sur les gratifications des stagiaires.
Une indemnisation moyenne de 668 euros mensuels
D’après AJ stage, les indemnités versées aux stagiaires en France sont supérieures au minimum prévu par la loi. Avec 668 euros mensuels en moyenne, les stagiaires qui ont participé à l’enquête ne sont pas tous logés à la même enseigne.
Les indemnités varient ainsi selon les types de structures et d’organisations allant parfois du simple au double. Ainsi dans les grands groupes, les stagiaires touchent en moyenne 826 euros par mois (sans compter les avantages en nature accordés à 60% des stagiaires) alors que certaines associations ou même des administrations accordent aux stagiaires des indemnités inférieures au plancher légal : les administrations sont les moins généreuses avec des gratifications moyennes de 332 euros, mais les associations sont aussi avares envers leurs stagiaires avec une moyenne 363 euros par mois.
Selon AJStage, les TPE sont juste au-dessus du minimum légal avec 493 euros en moyenne.
Certaines entreprises sont plus généreuses que d’autres
On est bien loin des niveaux d’indemnisation des stagiaires aux Etats-Unis, chez des géants du web comme Google ou Facebook, chez qui les stagiaires sont payés parfois plus de 4000 euros par mois.
Même en France certains grands groupes sont très généreux avec leurs stagiaires.
C’est le cas de Mazars avec 1750 euros mensuels, chez Hilti c’est 1445 euros, Danone et l’Oréal versent 1400 euros mensuels, Orange et Carrefour 1200 euros selon le classement Happy trainees.
En France, certains secteurs se démarquent nettement en termes d’indemnisation : il s’agit de la banque assurance et plus généralement des stages sur les fonctions finance où les rémunérations des stagiaires sont proches de la barre des 1000 euros.
A noter enfin que la formation ou l’école dans laquelle vous faites vos études a un impact sur le niveau de l’indemnité de stage.
Avec 748 euros mensuels en moyenne, les étudiants d’écoles de commerce sont mieux traités que la moyenne, alors que ceux qui sont en écoles de communication obtiennent quelques euros de plus que l’indemnité légale avec 470 euros en moyenne.
Source pour lire la suite : http://www.blog-emploi.com
Myriam KISS. Anild 2016
Qu'est-ce qu'un chantier de jeunes bénévoles ?
Alternative aux vacances traditionnelles, cette formule permet de faire des rencontres et de participer de manière bénévole à un projet collectif.
Initialement, « chantier de travail volontaire », les chantiers de jeunes bénévoles ont été institués en Europe, au lendemain de la Guerre 1914-1918 conjointement par le Service Civil International et plusieurs associations de chantiers. Ils avaient pour objectif d’œuvrer à la construction de la paix et au rapprochement des peuples.
Aujourd’hui, les chantiers de jeunes bénévoles se sont ouverts à d’autres projets tels que la sauvegarde de l’environnement, la restauration du patrimoine, l’aide à la population, etc...
Un lieu de rencontre
Un chantier implique des jeunes issus de nations et de milieux culturels divers. Les groupes comportent en général 10 à 20 participants. Ce nombre restreint permet aux bénévoles de se connaître plus facilement et de travailler ensemble.
Outre la diversité socioculturelle, la plupart des chantiers qui se déroulent en France, accueillent des bénévoles de pays étrangers. Les différences culturelles sont une source d’enrichissement personnel et un facteur de rapprochement des peuples et des cultures.
Pour en savoir plus : http://www.crij-haute-normandie.org/-Les-chantiers-de-jeunes-benevoles.html
Myriam KISS. Anild 07/2015
Les activités de cueillette, de récolte se déroulent principalement d’avril à octobre avec un pic d’activité en été. Elle requiert des besoins très importants en main d’œuvre.
Environ 800 000 contrats sont signés chaque année.
En quoi consiste le travail saisonnier ?
• Entre la taille, le traitement, la récolte, les vendanges et le conditionnement, les activités saisonnières sont nombreuses et variées. Elles présentent de multiples attraits : un travail en plein air et la possibilité de diversifier son métier en passant d’une exploitation à une autre au fil de la saison.
A la clé, une réelle expérience professionnelle qui peut se révéler très utile dans la recherche d’un emploi permanent.
• L'emploi s'exerce le plus souvent en équipe. Dans certains cas (vendanges, cueillette de fruits...), ce sont plusieurs dizaines de saisonniers qui peuvent travailler en même temps sur la même exploitation.
Mais il arrive également de confier des tâches réalisées en solitaire comme par exemple la taille des vignes.
• Les opérations à réaliser sont le plus souvent manuelles. Elles sont étroitement liées à certains cycles saisonniers et limitées dans le temps (de l'ordre de quelques semaines).
Quelles sont les lieux de travail ?
En fonction du type d’activité, le travail pourra s’exercer :
en chai pour la vinification ;
en plein champs pour les récoltes, le traitement, la castration du maïs ;
sous serre pour les semis ou la récolte,
en entrepôts pour le conditionnement et l’emballage ;
dans une station fruitière pour la cueillette ;
dans une exploitation agricole ;
dans une pépinière arboricole ou viticole.
Où peut-on exercer une activité saisonnière ? Quels sont les travaux saisonniers du moment ?
http://anefa.org/system/files/calendrier-activites-saisonnieres.pdf
6 rue de La Rochefoucauld • 75009 PARIS Tél. : 01 46 07 58 22 • Fax : 01 46 07 55 50 infos@anefa.org
ASSOCIATION NATIONALE EMPLOI FORMATION EN AGRICULTURE
Les travaux agricoles sont très variés et offrent des possibilités de job tout au long de l'année.
A chaque saison son activité : ramassage de légumes, cueillette de fruits, vendanges, conditionnement, etc. Ces travaux exigent une bonne forme physique et l'hébergement est rarement proposé.
Privilégiez les contacts locaux : rencontrez les producteurs sur les marchés ou lors des journées portes ouvertes. Où trouver des offres ? www.anefa.emploi.org
Le site de référence pour les travaux agricoles :
offres d'emploi, carte des régions, calendrier des travaux agricoles, contacts utiles.
www.pole-emploi.fr Indiquez : « aide agricole». En Haute-Normandie Service de Remplacement 76
Tél. 02 35 59 62 62
www.servicederemplacement-76.fr Envoyer CV et LM avec disponibilités. Service de Remplacement 27
Tél. 02 32 28 67 56
www.servicederemplacement-27.fr Cercle d’Echanges de l’Eure Tél. 02 32 35 77 75
www.ce27.fr Postes d'agent de remplacement, traite des vaches, conduite de tracteur, moissons et ramassage de cailloux l'été, arrachage de betteraves et pommes de terre en septembre/octobre ...
Priorité aux jeunes issus du milieu agricole ou en formation.
Emploi saisonnier en Rhone-Alpes
Quels sont les postes à pourvoir ?
Côté arboriculture, les postes proposés sont principalement des postes de cueilleurs, qui consistent en la récolte des fruits (abricots, pêches, poires, pommes…) directement sur les exploitations.
D’autres postes complémentaires peuvent être proposés : tractoristes, manutentionnaire, emballage, conditionnement, rempotage...
Côté viticulture, deux principaux postes :
Coupeur : il coupe les grappes de raisin avec une serpette ou un sécateur. Il est affecté à un rang de vignes et doit avancer à vitesse égale aux autres coupeurs. Travail répétitif en position courbée.
Porteur : il porte les hottes de raisins (30 à 40 Kg) et les verse dans une remorque du tracteur. C’est un travail très physique, nécessitant d’être robuste.
Des postes de conducteur de tracteur et de cuisinier (ou aide cuisinier) sont également proposés.
Quelles sont les conditions de travail ?
Contrats de travail
Les employés signent des contrats de travail saisonniers.
Pour l’arboriculture, les contrats s’étendent sur 1 à 3 semaines en moyenne.
Pour les vendanges, il s’agit d’un contrat d’une dizaine de jours en continu. Selon les exploitations, deux types de contrats proposés :
les postes « nourris logés » : le viticulteur vient chercher les vendangeurs en début de saison et les ramène à la fin de la récolte.
les contrats dits « à la grande journée », qui excluent ces avantages en nature : les vendangeurs doivent se rendre sur les exploitations par leurs propres moyens.
Cette année, du fait des conditions climatiques, les vendanges ne démarreront pas avant courant septembre.
Horaires
L'activité peut s'exercer en horaires décalés, les fins de semaine, jours fériés et est soumise à des variations saisonnières. Le dimanche est travaillé.
Rémunération
Pour l’arboriculture comme pour les vendanges, la rémunération correspond généralement au SMIC (9,54€ / heure au 1er janvier 2014). Les heures supplémentaires sont payées.
Quels profils intéressent les exploitants ?
Pour la récolte de fruits comme pour les vendanges, les postes sont accessibles à tous : demandeurs d’emploi, étudiants, retraités, bénéficiaires du RSA ...
Comment se rendre sur les exploitations ?
La Région Rhône-Alpes a mis en place la carte « Illico solidaire », carte gratuite et nominative pour les demandeurs d’emploi, les bénéficiaires du RSA, les titulaires d’un contrat aidé et les jeunes en insertion suivis par les missions locales, qui permet d’obtenir une réduction de 75% sur les voyages en TER en Rhône-Alpes.
Les formulaires de demandes de cartes sont disponibles dans les agences Pôle emploi, en gare SNCF, téléchargeables également soit sur le site de la SNCF www.ter-sncf.com, soit sur le site de la région Rhône-Alpes www.rhonealpes.fr.
Où trouver son emploi en Rhône-Alpes ?
Retrouvez toutes les offres à pourvoir sur le moteur de recherche d’offres sur www.pole-emploi.fr.
En Rhône-Alpes, plusieurs secteurs géographiques proposent des opportunités :
Annecy (arboriculture)
Beaujolais (viticulture)
Diois (viticulture)
Nyonsais / Baronnies (viticulture et arboriculture)
Saint Joseph (viticulture)
Savoie (viticulture et arboriculture)
Sud Drôme-Ardèche (viticulture)
Pour en savoir davantage sur vos droits en tant que travailleur saisonnier (hébergement, transport, contrat de travail...), un site est vivement conseillé : www.questionsaison.fr
D'autre part, le site de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie en Rhône Alpes répertorie les formations par département : www.umih-rhone-alpes.fr
Dossier réalisé par Myriam KISS. Anild -réactualisation 2015
Une saison, un emploi ! Tous les ans de septembre à octobre : les producteurs de fruits du Limousin vous proposent des emplois pour la cueillette des pommes.
Déposez vos candidatures en juillet : Point Pommes Haute-Vienne (87)
La saison du blanc démarre bientôt. Avant de se lancer tout schuss dans les recherches, la prudence est conseillée. Sachez d'abord que vous allez travailler dans un lieu unique, puisque les Alpes françaises rassemblent les plus grands domaines skiables du monde.
Dix conseils pratiques pour être à la hauteur.
1. Où trouver les offres d'emplois saisonnier ? Sur le site www.pole-emploi.fr
2. Comment faire une bonne sélection ?
C'est la première marche. Alors autant ne pas la rater. Cibler uniquement les offres qui correspondent à votre profil en lisant très attentivement les exigences des employeurs. Attention, ne jamais mentir, les employeurs ont du flair.
3. Dans quels secteurs les offres sont-elles les plus nombreuses ?
Dans les trois départements alpins, les trois quarts des offres concernent les secteurs de l'hôtellerie restauration (toutes qualifications, de barman à chef de cuisine). Arrivent ensuite les postes de vendeur en magasin de sport
4. Comment mon CV peut-il retenir l'attention ?
Indiquer en ouverture votre fonction. Ensuite vos compétences et enfin votre expérience. Le CV ne doit pas dépasser une page.
5. Vous n'avez pas d'expérience en station ?
Tout n'est pas perdu. Vous avez été moniteur de colo, ou bien vous êtes impliqué dans une association ? Indiquez le sur votre CV. Pour l'employeur, c'est un indicateur de motivation.
6. Connaissez vous la phrase qui tue ?
Surtout ne jamais commencer votre lettre de motivation par «J'adore le ski ». Pour l'employeur cela signifie que vous postulez pour vous adonner à votre sport favori.
Or, en station, il y a de grandes chances que les pistes soient fermées quand vous aurez terminé votre journée. N'oubliez pas que vous postulez pour travailler.
7. Comment se loger ?
Les employeurs du secteur de l'hôtellerie-restauration proposent très souvent une solution d'hébergement mais attention, cette dernière est souvent collective. Si vous êtes un loup solitaire, mieux vaut le savoir : vous risquez de partager votre logement avec d'autres saisonniers n'ayant pas forcément vos horaires. Pour les autres postes (vendeur d'articles de sport, chauffeur...) il est rare qu'une formule d'hébergement soit proposée. C'est la raison pour laquelle ces postes sont le plus souvent occupés par des travailleurs locaux.
8. La face cachée du blanc, kézako ?
Travailler l'hiver en station, c'est se couper pendant quatre mois de son milieu et de ses proches. Pas facile. C'est aussi vivre continuellement avec une température inférieure à zéro dans un paysage toujours blanc. Cette perte de repères est parfois déstabilisatrice. Ça vous fait rire ? Méfiez vous, le mal des montagnes, parfois ça vous gagne.
9. Quelles sont les principales stations en Rhône-Alpes ?
Difficile de toute les énumérer, car il y en a une centaine. C'est en Savoie qu'elles sont les plus nombreuses : une dizaine en Tarentaise (Tignes, Val d'Isère, Courchevel...), sans oublier la Maurienne (Modane, St Jean de Maurienne) le Beaufortin (les Saisies, Areches...) et le Val d'Arly, soit au total plus de 30 000 offres chaque hiver.
En Haute Savoie, citons Chamonix, Megève, Chatel, Morzine et dans l'Isère, les 2 Alpes et l'Alpe d'Huez
10. Où s'informer ?
Sur la toile : le site http://www.questionsaison.fr, réalisé par Région Rhône-Alpes, en collaboration avec de nombreux partenaires dont Pôle Emploi, fourmille d'informations pratiques. Possibilité de télécharger gratuitement les guides pratiques des différentes vallées.
Sur place : Dans les principales stations alpines, il existe des espaces d'accueil saisonnier. Sur place, des professionnels sont là pour vous informer sur les offres à pourvoir, les contrats de travail, les possibilités d'hébergement, la santé, les transports, les formations...
Myriam KISS. Anild 10/2013
Rappel : Au moment de la saison d’été ou celle d'hiver (mais démarchez bien avant), pensez à des postes liés à l’accueil, à l’animation et à l’encadrement proposés par les centres de loisirs, les parcs d’attractions, les clubs de vacances, les hôtels-clubs ou encore les tours opérateurs.
http://letourdumondeen80posts.blogspot.fr/2011/01/job-dete-emploi-saisonnier-londres.html
http://www.cci.fr/web/portail-acfci/accueil;jsessionid=A786A56846920707B249383FF8E9FE7B.node2
http://www.pole-emploi.fr/actualites/les-jobs-d-ete-@/suarticle.jspz?id=46966
http://www.cidj.com/le-cidj/edition/les-guides-information-jeunesse
http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/fiches-pratiques,91/contrats,109/le-travail-saisonnier,986.html
*http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000020777223&dateTexte=&categorieLien=id
** http://www.saisonnalite.org/annuaire-des-structures/listing-des-structures-allege
http://www.teli.asso.fr/connaitrenatureusa.php
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1174829-ax-les-thermes-480-cv-de-saisonniers-deposes.html
http://lastation-tourcoing.fr/je-me-debrouille/emploi-je-me-debrouille-2/un-job-pour-lete/
http://www.toutmontpellier.fr/plus-de-2-500-offres-d-emploi-a-saisir-a-agde---21457.html
http://www.nicematin.com/article/etudiants/job-saisonnier-un-vrai-travail-pour-les-etudiants.171065.html
http://www.crij-haute-normandie.org/-Trouver-un-job-dete-a-letranger.html
http://www.cotecaen.fr/15134/journee-jobs-dete-ce-mardi-a-caen-nos-conseils/
http://www.recrut.com/article/Top_depart_dans_la_recherche_d_un_emploi_saisonnier_1291
DR
En pleine expansion, le marché de la restauration rapide génère de nombreuses créations d’emploi. Et les enseignes facilitent la promotion interne.
Diminution du temps moyen consacré au déjeuner (une heure trente-huit en 1975, trente et une minutes aujourd’hui), apparition du repas nomade, conjoncture économique favorable au «manger pas cher», horaires des repas de moins en moins délimités… Les modes de consommation alimentaire des Français évoluent.
Logiquement, l’offre s’est adaptée, au point que le marché de la restauration rapide croît de manière exponentielle. Aujourd’hui, plus d’un établissement de restauration sur six est un fast-food.
Restauration rapide : un secteur en pleine ébullition
Et plus de deux milliards de sandwichs ont été consommés par les Français en 2011. Si bien que la vente au comptoir (rayons snacking de la grande distribution, boulangeries proposant des sandwichs, cafétérias, self-services…), forte de ses 32 milliards d’euros d’activité en 2011, pèse désormais 40% du chiffre d’affaires global de la consommation alimentaire hors domicile.
"Le développement de ce marché, dont l’activité reste propre au déjeuner, est en partie dû à la crise économique. Le fast-food jouit toujours de son image bon marché, ce qui est pourtant de moins en moins vrai.
Ensuite, le client n’est pas prisonnier de l’espace et peut librement surfer sur son ordinateur portable. C’est beaucoup plus dur à imaginer dans un resto routier»", explique Jean-Pierre Corbeau, sociologue de l’alimentation.
Face à la demande, les grosses chaînes du secteur continuent à étendre leur réseau de manière spectaculaire : Subway prévoit de porter son nombre de restaurants de 320 à 470 en 2012, pendant que Quick a annoncé dix ouvertures en propre avant la fin de l’année 2012.
L'enseigne anglo-saxonne Prêt à Manger débarque même en France avec l'ouverture de 2 restaurants à Paris.
Conséquence, le nombre actuel de 100 000 salariés dans la restauration rapide devrait grimper rapidement.
Ainsi, McDonald’s, qui recrute déjà chaque année 40000 personnes au titre du renouvellement de ses équipes, va créer 9000 postes d’ici trois ans, alors que Quick entend engager 4000 équipiers, une centaine de manageurs et une dizaine de directeurs au cours des douze prochains mois.
Environ 1200 embauches sont planifiées chez Subway, dont beaucoup de postes d’encadrement.
Restauration rapide : des promotions internes facilitées
"L’avantage, c’est qu’il n’y a pas besoin d’un diplôme hôtelier pour accéder à l’emploi, qui plus est dans un secteur qui facilite la promotion interne. Les opportunités d’évolution sont nombreuses", précise Bertrand Milinaire, organisateur du salon LHR emploi destiné aux professionnels de l’hôtellerie restauration.
Pascale Vincent, responsable recrutement du groupe Quick, confirme : «Chaque année, entre 50 et 70 personnes évoluent en interne vers des postes à responsabilité. 63% des manageurs sont d’anciens équipiers, et 73% de nos directeurs de restaurant ont été manageurs auparavant.»
A partir de bac + 2, la possibilité de faire carrière dans la restauration rapide est donc bien réelle, d’autant que les postulants ne se bousculent pas au portillon.
«Si nous enregistrons beaucoup de candidats à la franchise, nous avons en effet du mal à trouver du personnel qualifié. Dans l’esprit des gens, fast-food rime encore avec boulot de saisonnier ou d’étudiant. On nous réclame même des CDD», regrette Hakim Benotmane, fondateur et gérant de la chaîne Nabab Kebab (une cinquantaine de points de vente en France, une vingtaine en cours d’ouverture), qui ambitionne la création d’une cinquantaine d’emplois. Avis aux amateurs !
Les nouvelles enseignes veulent séduire les jeunes
Ce sont les nouvelles stars de la restauration rapide. Bars à pâtes, à sushis, à salades et sandwicheries bio fleurissent un peu partout dans l’Hexagone. Ils constituent un bon compromis entre la diminution du temps de déjeuner et la qualité gustative à petit prix auprès des personnels de bureaux, des jeunes et des chalands.
«La restauration rapide haut de gamme est une frange qui se développe depuis moins de dix ans, et qui est donc difficile à quantifier par rapport à l’ensemble du secteur. Cela dit, le marché est en train de mûrir, on voit de plus en plus de nouvelles enseignes très urbaines s’ouvrir », assure Paul Fedèle, rédacteur en chef du magazine professionnel « Snacking France».
Sandwicherie haut de gamme et pâtes fraîches
Et qui dit ouverture dit recrutement. C’est le cas de la chaîne de sandwicherie-pâtisserie Lina’s qui emploie déjà 120 salariés, hors franchisés, et inaugurera dix nouveaux établissements en 2012 dans des grandes villes comme Paris, Lyon, Marseille ou Bordeaux. "Nous recruterons une soixantaine de personnes cette année.
Chez nous, 95% des employés sont en CDI, dont 74% à temps complet. On commence au smic avec de réelles perspectives d’évolution. La première augmentation salariale, de vendeur à chef d’équipe, est de 15%", assure Olivier Hays, son directeur général. Ainsi, une majorité du personnel d’encadrement est issu de la promotion interne. «L’actuelle responsable des opérations du groupe a débuté comme responsable de site», illustre Olivier Hays.
Même son de cloche chez Mezzo Di Pasta, leader français des pâtes fraîches, qui compte 22 succursales en France et prévoit entre 50 et 100 nouvelles embauches pour satisfaire une vingtaine d’ouvertures sur le territoire.
«Nous sommes une enseigne dynamique, dans une phase de développement assez forte. Nous recherchons principalement des jeunes, des étudiants, en contrat à temps partiel avec possibilité d’aménager les horaires, pour des postes d’équipiers ou de responsables d’ouverture et fermeture», détaille Stéphanie Léger, responsable des ressources humaines chez Mezzo Di Pasta.
Des emplois qui, à défaut d’être mirobolants, peuvent servir de carte d’entrée dans la restauration.
TEMOIGNAGE
Cannelle POIVRE, 22 ans, assistante manageur au Planet Sushi de Puteaux (Hauts de Seine)
Il est un peu plus de 10 heures quand Cannelle Poivre ouvre le restaurant Planet Sushi situé à Puteaux (Hauts-de-Seine) et minuit quand elle rentre chez elle, avec une pause entre 15 et 18 heures.
A 22 ans, elle travaille à temps plein depuis deux ans pour la célèbre enseigne de cuisine japonaise. «J’avais déjà eu une première expérience chez Planet Sushi, à l’âge de 16 ans, pour un job d’été afin de gagner un peu d’argent», précise-telle.
A la recherche d’un emploi à la sortie de son BTS management des unités commerciales, elle décroche d’abord un contrat en alternance et signe, six mois plus tard, un CDI de quarante heures par semaine, six jours sur sept, en tant qu’assistante manageur, pour un salaire d’environ 1 280 € net par mois, hors primes et heures supplémentaires une trentaine par mois en moyenne.
Energique, accueillante et relativement à l’aise avec la clientèle, Cannelle évolue au sein d’une équipe d’une quinzaine de personnes et remplit des missions variées : ouverture du restaurant, mise en place de la salle, nettoyage, vérification des produits, contrôle des réfrigérateurs, contrôle propreté, accueil clients, prises de commandes.
«J’ai plus appris sur le tas que pendant mes études, que ce soit pour la mise en place du restaurant, la gestion des produits ou la communication avec les fournisseurs. Ça m’apporte de la maturité, le sens du travail et l’esprit d’équipe.»
A l’avenir, elle aimerait conjuguer son travail avec la reprise de ses études, en école de commerce probablement. En attendant, dans le cadre de l’ouverture d’un Planet Sushi à Cannes (Alpes Maritimes), Cannelle pourrait bénéficier, fin mai 2012, d’une mutation ponctuelle de deux à trois mois pour apporter son expérience aux équipes sur place.
À CONSULTER
- Syndicat national de l’alimentation et de la restauration rapide : www.snarr.fr
- Observatoire des métiers de la restauration rapide : www.metiers-restaurationrapide.fr/
- Site du salon "Sandwich et Snack Show" (prochaine édition les 20 et 21 mars 2013, porte de Versailles) www.sandwichshows.com/
À LIRE
«S’installer dans la restauration rapide», de Guillaume Duprez, Editions du Puits Fleuri, 2009, 315 pages, 22,50 €.
«France Snacking», bimestriel consacré aux nouvelles tendances de l’alimentation. Tiré à 50000 exemplaires, abonnement un an : 30 €. (www.snacking.fr.)
Source:http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/de-reelles-evolutions-de-carriere-dans-la-restauration-rapide.html Dossier réalisé par Marc HERVEZ et Pierre MATURANA - Tous les chiffres : Gira Conseil/Sandwich & Snack Show
Myriam KISS. Anild 10/2012
Les diplômes d’animation, une qualification sportive, une compétence dans les domaines des arts ou d’une technique particulière constituent de bons atouts. La maîtrise des langues étrangères peut s’avérer indispensable.
Quelques idées
L’hôtellerie, la restauration, les parcs d’attraction, parcs et réserves naturelles recrutent beaucoup de travailleurs saisonniers. Mais surtout, de mai à octobre, participez aux travaux agricoles (cueillettes de fruits et vendanges) dans toutes les régions agricoles et viticoles de France.
Selon les saisons et les régions, vous ramasserez plutôt des pommes de terre, des cerises, des tomates ou du raisin !
L’occasion de s’immerger dans la « France profonde », de manger des produits frais du terroir et de vous initier au plaisir du vin.
Pour ce type de travail, le plus simple est d’envoyer sa candidature au Pôle Emploi.
Source : http://institutfrancais.pl/aller-en-france/travailler-en-france-ou-en-francais/travail-saisonnier/
DR
Emploi saisonnier : les vendanges
La coupe de raisin commence mi septembre, dans toute la France. C’est l’occasion pour des milliers d’entre vous de décrocher un CDD, payé au Smic.
La date des vendages approche, et les candidats à la coupe de raisin doivent se faire connaître dès maintenant !
Etalées sur septembre et octobre, selon les régions, les vendanges françaises permettent chaque année à des dizaine de milliers de personnes (près de 100 000 en Champagne) de décrocher un emploi temporaire en plein air.
Si l’humeur est bonne, le travail est physique, surtout lorsque les plans de vignes sont bas.
Autour de 10 € brut de l'heure
La rémunération est de 9,40 € brut de l’heure pour les coupeurs de grappes, et un peu plus de 10 € pour les porteurs. Par ailleurs, tous ces emplois occasionnels font l’objet de la signature d’un contrat de travail à durée déterminée, lequel n’excède pas un mois.
Quel hébergement ?
Faire les vendanges nécessite un minimum d’organisation. Certains vignerons peuvent héberger les travailleurs, mais c’est assez rare.
Il s’agit donc de contacter les campings locaux ou encore les foyers de jeunes travailleurs, le plus tôt possible. Certains volontaires n’hésitent pas à se déplacer en camping car.
C’est le cas de jeunes retraités, lesquels sont de plus en plus nombreux, à venir vendanger », précise Simone Kieffer, Chargée de mission à l’Association Viticulteurs d’Alsace.
La possession du permis de conduire et d’une voiture sont appréciés. Certains viticulteurs prévoient, d’ailleurs, une prime quotidienne pour le véhicule.
Pour vous renseigner sur les offres, contactez Pôle emploi ou tentez votre chance directement auprès des viticulteurs. Source : Anne Michel 9/08/2012
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Pour les étudiants, les petits boulots d’été et d'hiver sont l’occasion de gagner de l’argent et de muscler leur CV. Voici des pistes adaptées aux compétences de chacun.
http://letourdumondeen80posts.blogspot.fr/2011/01/job-dete-emploi-saisonnier-londres.html
http://www.cci.fr/web/portail-acfci/accueil;jsessionid=A786A56846920707B249383FF8E9FE7B.node2
http://www.pole-emploi.fr/actualites/les-jobs-d-ete-@/suarticle.jspz?id=46966
http://www.cidj.com/le-cidj/edition/les-guides-information-jeunesse
http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/fiches-pratiques,91/contrats,109/le-travail-saisonnier,986.html
*http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000020777223&dateTexte=&categorieLien=id
** http://www.saisonnalite.org/annuaire-des-structures/listing-des-structures-allege
DR
http://www.teli.asso.fr/connaitrenatureusa.php
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1174829-ax-les-thermes-480-cv-de-saisonniers-deposes.html
http://lastation-tourcoing.fr/je-me-debrouille/emploi-je-me-debrouille-2/un-job-pour-lete/
http://www.toutmontpellier.fr/plus-de-2-500-offres-d-emploi-a-saisir-a-agde---21457.html
http://www.nicematin.com/article/etudiants/job-saisonnier-un-vrai-travail-pour-les-etudiants.171065.html
http://www.crij-haute-normandie.org/-Trouver-un-job-dete-a-letranger.html
http://www.cotecaen.fr/15134/journee-jobs-dete-ce-mardi-a-caen-nos-conseils/
http://www.recrut.com/article/Top_depart_dans_la_recherche_d_un_emploi_saisonnier_1291
Pour trouver un job saisonnier
ciblez en priorité les entreprises qui enregistrent une hausse d’activité en été.
Côté salaire, ces petits boulots sont souvent payés sur la base du Smic en France.
L’hôtellerie et la restauration sont les secteurs qui recrutent le plus », confirme Yasmina Haddou-Essom, rédactrice en chef emploi chez Studyrama, groupe spécialisé dans l’orientation des jeunes.
Le secteur du tourisme propose notamment des offres d’accompagnateurs pour les croisières :
www.ponant.com, www.msccroisieres.fr.
De nombreux sites généralistes permettent de décrocher un job
www.iquesta.com, www.letudiant.fr, www.jobetudiant.net, www.sourcea.fr, www.studyrama-jobs.com.
http://www.solidaires.org/IMG/pdf/brochure_solidaires_saisonnier_couleurVD.pdf
http://www.relations-sociales-gestion-de-crise.com/contrat-saisonnier-cdd-ou-cdi/
http://suite101.fr/article/travail-saisonnier-et-reglementations-que-dit-la-loi-a30370
http://charente-maritime.fr/CG17/jcms/tb091023_6043/la-maison-departementale-de-l-emploi-saisonnier
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=4&ref_id=18393&page=edossier/edos_12_02/edos_1202_article.htm
http://beepjob.com/blog/tag/emploi-saisonnier
Serveur ou plongeur
Le plus souvent, pour décrocher un job, il faut faire du porte-à-porte auprès des restaurants, des hôtels et des entreprises touristiques et déposer un CV en mains propres. Le contact direct permet de montrer qui vous êtes et de voir à qui vous avez affaire.
Parmi les métiers qui s’apprennent facilement sur le tas, serveur, plongeur, commis de cuisine ou portier sont les plus courants : www.lhotellerie-restauration.fr.
Si vous êtes téméraire, traversez la Manche : les petits « frenchies » sont appréciés en Angleterre : www.londonjob.net.
Distribuer des prospectus ou devenir hôtesse
Si vous avez encore des matières à réviser au cours de votre été, pensez à un job de street marketing (marketing de terrain, en français).
Vous ne travaillerez que de temps en temps sur des missions ponctuelles d’animation promotionnelle, dans la rue ou dans des lieux publics. Les qualités requises sont le sourire, le dynamisme et… l’endurance.
Même si ce n’est pas dit, les filles plutôt grandes et minces sont souvent préférées pour rentrer dans les costumes standards aux couleurs de la marque.
Pour trouver les coordonnées des agences, tapez « Street marketing » dans votre moteur de recherche, puis le nom de votre région, ou contactez une agence nationale (www.cityone.fr, www.maristelo.fr, www.gaiamedias.com ou www.novadream.fr).
Moniteur de colonies
Pour postuler à un boulot d’animateur, mieux vaut détenir un Bafa, ou brevet d’aptitude aux fonctions d’animation : www.bafa.fr.
La formation peut être financée par les aides publiques (caisse d’allocations familiales, direction régionale de la Jeunesse, conseil général ou mairie).
Pour devenir moniteur, vous devez être ouvert, dynamique, responsable et aimer les enfants. Si vous avez déjà fait du baby-sitting ou encadré des jeunes, mentionnez-le.
http://www.australia-australie.com/articles/le-fruitpicking
De loin le plus célèbre et répandu de tous les petits boulots de backpacker, le fruitpicking, ou plus simplement le travail aux récoltes, dans les champs, fera partie de l’expérience Working Holiday pour beaucoup d’entre vous.
C’est l’occasion de refaire ses économies, s’essayer à la vie à la campagne, et une opportunité en or de renouveler votre visa pour une 2ème année !
Les demandes de poste s’effectuent sur des sites spécialisés
ou sur celui des organisateurs de séjours www.vmsf.org, www.leolagrange.org.
Si vous parlez bien anglais, vous pourrez profiter du programme Camp Counselor permettant à des jeunes de travailler aux États-Unis www.ccusa.com.
Job d'été : gardien d’animaux ou prof de musique...
Parce qu’elle adore les animaux, Mélanie s’est trouvé depuis deux ans un job qui la ravit sur le site Animagora : la garde à domicile. Elle perçoit 6 € par jour pour un chien et 2 € pour un cochon d’Inde ou un hamster.
www.animnet.com ou www.planetanim.com, www.animjobs.com et www.jobanim.com
Si vous aimez les enfants, vous pouvez opter pour le baby-sitting
www.youpala.com, ou www.bebe-nounou.fr
et si la musique vous fait vibrer, donnez des cours : www.kelprof.com
On le voit, chacun a des compétences particulières à exploiter.
Signez un contrat de travail !
Le job d’été implique souvent la signature d’un contrat à durée déterminée (CDD) stipulant une période d’essai et le paiement de cotisations salariales et patronales (assurance-maladie, chômage, vieillesse…).
Attention aux contrats saisonniers (cueillette, tourisme)
Contrairement aux CDD, ils n’entraînent pas le versement d’une prime de précarité. À la fin du contrat, l’employeur doit remettre une attestation de travail pour Pôle emploi, un certificat de travail et un reçu pour solde de tout compte.
Enfin, les étudiants de moins de 26 ans sont exonérés d’impôt sur les salaires perçus pendant les études ou les périodes scolaires, dans la limite de trois mois de Smic pour une année (4 195,11 €).
Myriam KISS. Anild 23/03/2012
DR
LES DROITS DES TRAVAILLEURS SAISONNIERS
Les secteurs de l'agriculture, et du tourisme emploient régulièrement des saisonniers. L'occasion pour des jeunes de décrocher leur première expérience professionnelle. Quel contrat et quelles garanties pour les saisonniers ? Tour d'horizon.
Serveurs dans les bars, moniteurs de sport ou ramasseurs de fruits, à chaque pic d'activité les saisonniers arrivent en renfort.
Saisonnier : le contrat travail parfois reconductible
Le contrat de travail saisonnier peut être un contrat à durée déterminée, prévoyant ou non un terme précis.
Le CDD précise les tâches à effectuer, le salaire, les primes, la convention collective applicable et la période d'essai : une journée par semaine travaillée, avec un maximum de deux semaines d'essai pour un contrat de moins de six mois (un mois d'essai au-delà).
L'employeur doit déclarer l'emploi à l'Urssaf et remettre un exemplaire de la déclaration à son employé.
Le contrat de travail peut comporter une clause prévoyant la reconduction du salarié d’une saison à l’autre. Le saisonnier est alors embauché à la même période, par exemple comme serveur la saison d'été, pendant plusieurs années.
Pour le calcul de l’ancienneté du salarié, il faut additionner les durées des contrats de travail saisonnier successifs que le salarié a effectués dans une même entreprise.
35 heures par semaine
Comme tout salarié, un saisonnier travaille 35 heures par semaine et peut effectuer des heures supplémentaires rémunérées. Son salaire est au moins égal au Smic ou, s'il est plus élevé, au minimum fixé par la convention collective. S'il a moins de 17 ans, il gagne au moins 80 % du Smic ; 90 % s'il a entre 17 et 18 ans.
Il cotise à la Sécurité sociale, à l'assurance-chômage ainsi qu'à une caisse de retraite complémentaire. À la fin de son contrat, il perçoit une indemnité de congés payés égale à 1/10 de son salaire brut total, mais pas l'indemnité de précarité.
Droit à l'indemnisation chômage pour les saisonniers
Une fois sa "saison" achevée, le saisonnier a droit à l'indemnisation chômage s'il a exercé une activité saisonnière au cours de deux des trois années précédant la fin de son contrat de travail ou s'il a été au chômage chaque année à la même époque pendant trois ans.
Pour déterminer son indemnité journalière (IJ), l'Assedic applique un coefficient réducteur égal au nombre de jours d'activité saisonnière divisé par 365.
Le saisonnier dont le contrat est renouvelé d'une année sur l'autre peut, pendant l'intersaison, participer à une formation organisée par l'entreprise.
Où s'informer ?
Espaces et maisons du travail saisonnier
Coordonnées disponibles dans les mairies, Pôle emploi et missions locales.
Association nationale pour l'emploi et la formation en agriculture www.anefa.org
L'association a été créée en 1992 par les partenaires sociaux de l'agriculture dans le but de fournir de nombreuses informations sur le travail saisonnier en agriculture
4 rue de Saint-Quentin, 75010 Paris Tél. : 01 46 07 58 22 - Fax : 01 46 07 55 50
Pour en savoir plus : http://www.dossierfamilial.com/guides/le-guide-droit-du-travail-2719.html
Myriam KISS. Anild 23/03/2012
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Les emplois saisonniers sont l’occasion pour les jeunes d’acquérir une première expérience professionnelle. Mais même les petits boulots sont encadrés par la loi. Explications.
Tourisme, récolte, animation : la liste des secteurs embauchant sur quelques mois est longue. Par exemple, les collectivités territoriales font appel à des centaines de saisonniers, dans les secteurs du nettoyage, de l’animation, etc.
Ces contrats précaires sont en majorité pourvus par de jeunes étudiants en quête d’une première expérience, mais aussi par des plus jeunes. L’âge légal est de 17 ans, mais on peut commencer dès 14 ans. De son côté Hervé Garnier, secrétaire national de la CFDT, indique :
On compte 800 000 emplois saisonniers par an dans l’agriculture, la moitié dans la restauration."
Certes, les offres ne manquent pas, mais encore faut-il savoir où les trouver. Voici quelques pistes :
Trouver un job, guide du CIDJ téléchargeable gratuitement en ligne
Pôle emploi propose des offres pour des jobs d'été
Les chambres de commerce et d’industrie de votre région sont des mines de renseignements.
Lire attentivement son contrat
Quelle que soit la nature de l’emploi, il s’agit d’un contrat à durée déterminée (CDD) qui ne peut excéder huit mois. Sinon, souligne Stéphanie Wimart, avocate spécialisée en droit du travail, le travailleur est en droit de demander la requalification de son contrat de travail en contrat à durée indéterminée".
L’employeur doit remettre le contrat dans les 48 heures suivant l’embauche. Il doit y indiquer :
la désignation de l’emploi
la durée de travail prévue par la convention collective
la date de fin de contrat ou, à défaut, une durée minimale
la durée de la période d’essai fixée selon la durée du contrat et la convention collective
Le montant du salaire (au moins égal au Smic ou, s’il est plus élevé, au minimum prévu par la convention collective)
les noms et les coordonnées de l’organisme de prévoyance et de la caisse de retraite.
Pour un emploi à temps partiel, le contrat doit comporter des horaires fixes afin que le travailleur puisse occuper un autre poste.
Vous avez un doute, une interrogation sur votre contrat ? Consultez les fiches pratiques du ministère du travail.
Vérifier son salaire
De 14 à 17 ans, la rémunération est égale à 80 % du salaire minimum légal.
De 17 à 18 ans, la rémunération est égale à 90 % du salaire minimum légal.
À cela s’ajoutent les congés payés, pour un montant égal à 10 % de la rémunération totale brute.
Si vous effectuez des heures supplémentaires, celles-ci doivent être rémunérées ou compensées par des jours de repos.
Notre conseil : afin d’éviter tout litige, pensez à noter quotidiennement les heures effectuées.
Bénéficier d’une protection sociale
En cas d’accident du travail ou de maladie, le travailleur saisonnier est couvert par le régime général de la Sécurité sociale dès le premier jour de son contrat de travail. Les indemnités journalières d’arrêt de travail lui seront versées dès qu’il aura suffisamment cotisé.
Côté chômage, le travailleur saisonnier est aligné depuis le 1er juin 2011 sur le régime général de l’indemnisation chômage. Et cela, aux conditions du CDD : avoir cotisé au moins quatre mois pour en bénéficier.
Enfin, un bulletin individuel d’accès à la formation doit être remis au salarié saisonnier, afin qu’il bénéficie d’un droit à la formation.
Se loger avec l’aide de l’employeur
L’employeur peut proposer de vous héberger, si vous travaillez dans un camping par exemple. Mais ce n’est pas une obligation. Dans ce cas, vérifiez l’état du logement.
Les conditions de logement sont fixées par un décret, y compris en matière de logement collectif. Attention, le logement sous la tente est proscrit.
Avec un salaire peu élevé, il est difficile de se loger sur place. D’où l’importance de se renseigner en amont, avec l’aide de son employeur.
Sinon les maisons des saisonniers proposent aux jeunes des solutions de logement adaptées à leurs conditions de ressources. Enfin, vous pouvez toujours opter pour le système de la colocation.
Source : Marie-Dominique Dubois 20/07/2012
http://www.cci.fr/web/portail-acfci/accueil;jsessionid=A786A56846920707B249383FF8E9FE7B.node2
http://www.pole-emploi.fr/actualites/les-jobs-d-ete-@/suarticle.jspz?id=46966
http://www.cidj.com/le-cidj/edition/les-guides-information-jeunesse
http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/fiches-pratiques,91/contrats,109/le-travail-saisonnier,986.html
*http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000020777223&dateTexte=&categorieLien=id
** http://www.saisonnalite.org/annuaire-des-structures/listing-des-structures-allege