INFORMATIQUE & TELECOMS

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   SPIRALE lumineuse

http://www.jebossedansleweb.com

Découvrez l'actualité des entreprises qui recrutent ainsi que des astuces et des conseils pour optimiser votre CV et vos recherches d'opportunités ...
 

EMPLOI NULERIQUE 2018
DR

Retrouvez toutes les offres IT / Web sur Lesjeudis.com

Voir les postes de cadres et de dirigeants sur Cadreo : http://www.cadreo.com/offres

http://www.maformation.fr/professionnelle/web
 

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Les professionnels du web utilisent de nombreux outils et ressources dans le cadre de leur travail.

Sur le blog, notre objectif est de permettre à ces professionnels de se tenir informés de l’actualité du web et de connaître les meilleurs outils disponibles sur Internet.
 
Si vous êtes à la recherche d’outils ou de ressources, nous avons repéré un agrégateur qui devrait vous intéresser :
Deals Killer.  
Source 08/2015 : http://www.blogdumoderateur.com/deals-killer
 
http://dealskiller.com/
 
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Google crée la maison-mère « Alphabet »
et se recentre sur son coeur de métier

Ce qu'il faut retenir : 
  • Les co-fondateurs de Google créent Alphabet, une holding qui rassemblera Google, la principale filiale, et une collection de sociétés axées sur des projets d'avenir.
  • Alphabet remplacera Google à Wall Street et sera dirigée par Larry Page (DG) et Sergey Brin (président). Ses résultats seront publiés en séparant Google et le reste des activités.
  • Sundar Pichai devient le nouveau CEO de Google
 
Depuis quelques années l’usage des ad blockers ne cesse de croître. Ces extensions arrivent à bloquer les scripts des publicités jugées intrusives. Seuls les formats jugés non intrusifs sont white-listés (ainsi que les annonceurs qui ont décidé de payer pour être vus).

 Le mobile était jusqu’à présent « épargné » par ce phénomène, mais c’est en train de changer : Apple va notamment permettre de bloquer les publicités sur iOS 9, et Firefox le permet déjà sur mobile. Mais ces pratiques ont un coût, du moins pour les annonceurs.

 
Adobe et PageFair viennent de dévoiler une étude complète sur le sujet et estiment même qu’AdBlock et consorts ont coûté la coquette de somme de 22 milliards de dollars aux annonceurs en espaces achetés et jamais diffusés.
 
Voici les principaux chiffres de l’enquête qui ne fait que confirmer la fin toujours plus prononcée du display et des formats intrusifs.
  • 198 millions d’internautes utilisent des adblockers en 2015
  • ce chiffre a progressé de 41% en 12 mois
  • 45 millions des internautes US utilisent un bloqueur
  • 12 millions des internautes britanniques utilisent un bloqueur
  • 16% des utilisateurs de Firefox sur mobile bloquent les publicités
  • 10,4% des internautes Français utilisent un bloqueur contre 36,7% des Grecs (plus haut taux européen) et 25% des Allemands
  • Aux USA, le coût des adblockers est de 10,7 milliards sur un budget global de 58,6 milliards
  • L’industrie du jeu vidéo est la plus touchée par ce phénomène
  • La majorité des blocages publicitaires se font via Google Chrome
  • Les principales raisons du blocage sont la peur de voir ses données utilisées à des fins publicitaires, et la quantité trop importante de publicités qui nuisent à la navigation
L’étude complète est disponible dans cette présentation SlideShare. Elle contient beaucoup d’éléments intéressants, même si on peut regretter l’absence de réflexion sur l’utilisation outrancière de publicités non ciblées, et finalement sur la responsabilité des annonceurs, agences, et régies dans l’apparition des adblockers.2015 Ad Blocking Report – The Cost of Adblocking from PageFair
Source 08/2015 :  Fabian Ropars http://www.blogdumoderateur.com/cout-adblockers-2015/
 
 
GitHub, le « réseau social » du développement qui permet d’héberger et de partager ses projets et son code est un excellent indicateur de l’évolution des langages informatiques et de technologies.
 
 Le site vient de mettre en ligne un graphique qui montre l’évolution des différents langages informatiques (Java, C, C#, Python…) sur la plateforme depuis son lancement en 2008.
 
On constate par exemple la montée en popularité de Java, qui peut en partie être expliquée par la croissance du nombre de devices Android.
 
 On voit aussi que le PHP est toujours aussi utilisé et reste le 3ème langage le plus populaire depuis 2008. Le JavaScript est quant à lui le n°1 des langages de développement sur le site.

Même si nous n’abordons ici que le code hébergé sur GitHub, la plateforme est tellement populaire au sein de la communauté de développeurs qu’elle donne un aperçu très juste des langages utilisés
.

Vous pouvez lire le billet mis en ligne par
GitHub sur ce lien.
> Voir nos offres d’emploi dans la fonction Informatique
Source :  Fabian Ropars | 21 août 2015 http://www.blogdumoderateur.com/langages-populaires-github/
 

 
On a parfois tendance à l’oublier, mais l’Internet grand public a déjà plus de 20 ans.

En deux décennies, les services web ont radicalement évolué. Windows 95 fête par exemple aujourd’hui ses 20 ans. Si vous utilisiez un ordinateur à cette époque, il est évident que cet OS vous rappellera des (mauvais ?) souvenirs. Voici une petite histoire d’Internet en 11 dates :

1 – Windows 95 a 20 ans
Il y a 20 ans jour pour jour, le 24 août 1995,  Microsoft lançait Windows 95. Cet opus de l’OS Microsoft allait vraiment changer l’informatique grand public. Beaucoup d’utilisateurs de PC se sont d’ailleurs mis à l’informatique sur cette version. Ses principales fonctionnalités « révolutionnaires » étaient le menu démarrer et l’apparition d’une barre de tâches.

18 ans plus tard, Microsoft s’est attiré les foudres des utilisateurs en supprimant ce menu démarrer introduit avec Windows 95 et qui a profondément marqué notre vision de l’UX…

2 – Internet Explorer : 20 ans d’amour… et de haine
IE est sûrement l’outil web le plus raillé et moqué d’Internet. Implémenté à Windows 95 et lancé en août 1995, le navigateur a souvent été moqué pour son retard sur Firefox puis Chrome. Pour tirer un trait sur la passé, Microsoft a décidé de changer de nom en lançant Edge, la version Windows 10 de son navigateur.

 
4 – L’internet commercial date de 1992, avant c’était interdit
L’internet commercial ne date que de 1992, c’était interdit avant ! Le sénat américain autorisait uniquement les sites web dédiés à la recherche et à l’éducation. Une époque bien révolue, le web compte aujourd’hui des millions de sites marchands et représente une puissance économique gigantesque.

 
5 – Le premier SPAM a 35 ans
Le premier SPAM date de 1978 et a été envoyé à plus de 600 destinataires.

Aujourd’hui, on estime qu’environ 75% des mails envoyés sont des Spams. Si ce chiffre est faux je suis passé à côté de beaucoup trop d’héritages miraculeux, mines de diamants ou de gains exceptionnels à loterie!
WEB SPAM boîtes
DR

6 – Le premier fail sur Internet date de 1960
Le premier fail sur Internet est aussi le premier message envoyé sur Internet dans les locaux du MIT en 1960. Suite à une fausse manipulation, c’est le message « LOG » qui est parti au lieu de « Login ». Finalement, nous  sommes de dignes héritiers quand on oublie une pièce jointe ou quand on se trompe de destinataires.

7 – Le premier site Internet est toujours en ligne
Le CERN a mis en ligne ce qui est considéré comme le premier site Internet en 1993… et il est toujours accessible ! Attention à vos yeux, on est dans le préhistoire d’Internet.
 
8 – La Webcam a été inventée pour éviter des aller-retours à la machine à café
La première utilisation d’une Webcam est l’œuvre de l’Université de Cambridge. Et elle a servi, tenez-vous bien, à filmer une cafetière remplissant une tasse de café. Malin, cela permettait d’éviter les aller-retours et de ne se déplacer que lorsque la tasse était pleine.

9 – Le premier émoticône  date de 1979
Les smileys et autres émoticônes sont indissociables du web et des messageries instantanées.
Le premier émoticône n’est pourtant pas tout jeune puisqu’il a été inventé en 1979 par Kevin Mackenzie sous sa forme -). Il faudra attendre 3 ans de plus pour voir apparaître le classique.  Pour en savoir plus sur l’histoire des emojis,
rendez-vous sur cet article.
 
 
10 – La pub a commencé à envahir le web en 1994
La première bannière de publicité date de 1994, et elle était à peu près aussi mauvaise que les bannières actuelles
.

Elle est l’œuvre de l’opérateur téléphonique AT&T et était placée sur la page d’accueil de HotWired, un des premiers magazine web. On vous laisse apprécier la qualité de la publicité…

11 – La première photo uploadée sur le web date de 1992
La première photo mise en ligne sur Internet est aussi l’œuvre du CERN qui a mis en ligne ce cliché de l’inoubliable groupe amateur « Les Horribles Cernettes » en 1992.
 
Source :  Fabian Ropars | 24 août 2015 
http://www.blogdumoderateur.com/10-anecdotes-sur-internet/

 

 
Ignorez les spams vous demandant de régler des factures

ILLUSTRATION SPAM
DR
 
 
Les courriels indésirables ou spams vous invitant à payer de prétendues factures ont augmenté.

Prenez vos précautions pour éviter un virus informatique.

 
Les courriels indésirables (ou spams) demandant aux destinataires de régler des factures imaginaires ont marqué une hausse la semaine dernière, indique Next INpact. Ce site spécialisé dans l’informatique se fait l’écho de « plusieurs témoignages » d’internautes sur le réseau social Twitter.
 
Vous avez peut-être reçu ces courriels à votre adresse électronique personnelle ou professionnelle. Le nom de l’expéditeur vous est totalement inconnu. Un bref texte, souvent truffé de fautes d’orthographe et de syntaxe, vous demande de régler une facture. Il vous prie d’ouvrir le document joint.

 
Un risque de virus informatique

Evitez de consulter le courriel. Si vous l’ouvrez, évitez de faire de même avec la pièce jointe : votre ordinateur pourrait être infecté par un virus informatique.

Si vous avez vraiment une facture à régler dans le cadre de votre vie quotidienne ou de votre activité, contactez la personne que vous devez payer pour vous assurer que ce mail n’a rien à voir avec cette dette.

Le message ne figure pas dans la rubrique « Spam » de votre boîte ? Marquez-le comme courrier indésirable.

 
Vous pouvez également signaler les faits à Signal Spam, après avoir créé (gratuitement) un compte sur le site de l’Association.
 
Cette structure est gérée par des associations professionnelles, des acteurs du secteur de l’e-mailing comme les fournisseurs d’accès à Internet Orange et SFR et des représentants des pouvoirs publics (gendarmerie, Commission nationale informatique et libertés, etc).

Signal Spam explique analyser les signalements, ensuite « transmis [...] à des partenaires techniques qui agissent pour renforcer la sécurité du réseau » et éventuellement aux « autorités ».

 
Prévenir les spams

Pour vous prémunir des courriels indésirables, vous pouvez télécharger des logiciels anti-spam et anti-virus.
Lorsque vous saisissez votre adresse sur un site Internet, examinez si elle est susceptible d’être transmise à des tiers.

N’inscrivez pas votre adresse sur des pages qui ne garantissent pas la confidentialité : forums, blogs, etc. Des robots pourraient la collecter pour vous envoyer des spams.
 

ICONESTORE :
des Packs d’icônes gratuites pour illustrer des projets commerciaux, personnels…
 
Pour illustrer un site web, on a besoin d’images et d’icônes. Pour les images, plusieurs solutions s’offrent à nous : les banques d’images payantes, les photos gratuites, les photographes…

Évidemment, quel que soit le canal utilisé pour récupérer ses photos, le respect des droits associés au photo est essentiel ! Nous avions d’ailleurs publié un article à ce sujet,
pour tout savoir sur les images et le droit d’auteur sur Internet.

Pour les icônes, souvent présentes sur les sites pour capter l’attention de l’internaute, des solutions similaires existent. Beaucoup de sites proposent des packs d’icônes gratuits : Flaticon, IconmonstrEn voici un autre : IconStore. Son principal avantage : proposer des packs d’icônes cohérents, que vous pouvez utiliser gratuitement, sans attribution, dans le cadre de projets personnels ou commerciaux !

Pour trouver le bon pack d’icônes, vous pouvez utiliser le moteur de recherche du site
IconStore. Vous pouvez aussi accéder au menu pour filtrer les packs d’icônes : nouveaux packs ou packs populaires, icônes colorées ou noir et blanc…

Plusieurs catégories sont disponibles : réseaux sociaux, nourriture, design, voyages, interface utilisateur…
Chaque pack d’icônes est précisément décrit : dimensions des icônes, nombre d’icônes, types de fichiers et quelques mots sur l’auteur des icônes. Vous pouvez les télécharger gratuitement et vous n’avez même pas besoin de vous inscrire. Pratique ! Source :
http://www.blogdumoderateur.com/iconstore-icones-gratuites


ILLUSTRATION SPAM
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Spam vocal :

 Comment éviter l'arnaque des numéros surtaxés ?

 
De nombreux internautes, sur les réseaux sociaux et autres blogs, se plaignent d'appels incessants, vous invitant par tous les moyens à vous faire rappeler un numéro surtaxé.

Voici quelques astuces pour tenter de s'en débarrasser.

 
A l'origine, un étrange appel, reçu en provenance d'un numéro inconnu. Un message vocal vous est ensuite adressé, vous invitant à rappeler un numéro commençant le plus souvent par... 0899, un appel surtaxé.
 
Lundi, Rue 89 consacrait un article sur le phénomène du "spam vocal", rapportant des témoignages de "victimes" particulièrement remontées.

Trois jours plus tôt, c'est
Le Républicain Lorrain qui alertait ses lecteurs de la recrudescence de cette arnaque.

Le 25 juillet 2015, le quotidien local expliquait les nouvelles techniques mises en place par les "escrocs", demandant à leurs proies de les rappeler au sujet de la réception d'un colis, d'un gain de 1000 euros en bons d'achat dans un hypermarché. 

Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes se plaignent, las d'être ainsi dérangés. 

 
 
 

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
 
C'est à Paris que Facebook ouvre son premier centre de recherche sur l'Intelligence Artificielle (AI).

Placé sous la direction du Français Yann LeCun, le laboratoire rassemblera 25 à 30 chercheurs : une reconnaissance de l'expertise française dans ce domaine.

Au 1er trimestre 2015, le réseau social a investi 1 milliard de dollars en R&D, soit près du tiers de son CA. Objectif : devenir leader de l'apprentissage en profondeur grâce auquel les machines peuvent apprendre d'elles-mêmes.

Avec des chercheurs de premier plan, des salaires inférieurs à ceux de la Silicon Valley et des dispositifs d'aides incitatifs, la France est une destination privilégiée pour les laboratoires de recherche technologique.
 

Six personnes ont d'ores et déjà été recrutées pour le bureau parisien. L'équipe dédiée à l'intelligence artificielle chez Facebook comptait jusqu'alors une quarantaine de chercheurs, répartis entre deux bureaux à Menlo Park, au siège du réseau social, et à New York. Parmi eux figurent déjà un grand nombre de Français.

Les universités et grandes écoles françaises sont connues pour former des chercheurs de premier plan en intelligence artificielle.

 
Une des dernières recrues est Léon Bottou, diplômé de l'école Polytechnique en 1987, ancien de Microsoft Research. «Nous avons choisi Paris pour notre centre européen en raison de la concentration de talents en recherche informatique et en intelligence artificielle», affirme Yann LeCun.

Un accord avec l'Inria est en préparation.
 
Compétition internationale : Facebook est pressé car il n'est pas seul. Les groupes high-tech se livrent depuis quelques mois à une compétition féroce. Google, Microsoft, Amazon, Baidu, Alibaba et même Snapchat cherchent eux aussi à tirer profit de la masse de données qui transitent par leurs réseaux. Ils ont ouvert des unités de recherche sur l'intelligence artificielle, et se disputent les meilleurs chercheurs. «Nous avons embauché tous les gens avec un peu d'expertise, il faut attendre maintenant la prochaine génération de chercheurs», explique Yann LeCun.   Source du 3/06/2015- lire la suite  http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech


NEWS

Google ouvre les portes de son unité de combat
contre la fraude publicitaire en ligne

 
Jusqu’ici ils avaient été assez discrets mais visiblement désormais à Google on souhaite montrer qu’on fait beaucoup pour combattre la fraude des fausses impressions publicitaires.
 
Un exemple ? Ils sont montés récemment au créneau pour dénoncer le système des pubs injectées
(voir notre article).
 
Un autre ? Ils ont invité pour la première fois un journaliste à venir découvrir, dans des locaux à Londres, leur équipe d’une centaine de spécialistes dédiée au combat contre la fraude et maintenue dans l’ombre jusqu’à présent.

Le souci est que la fraude des impressions publicitaires semble être devenue la cible n° 1 des réseaux criminels qui y ont migré après avoir collectionné des échecs auprès des banques et de cartes de crédits qui ont perfectionné leurs systèmes de sécurité, explique de Jager.

 Il y a donc beaucoup du pain sur la planche et visiblement beaucoup reste à faire pour inciter les gangsters à fuir ailleurs.
Lire ici l’article d’Alex Kantrowitz sur AdAge.com.  Source : 06/2015

 

CLOUDWATT box 01-2015

Retour vers le futur  Cloudwatt :

le souverain descend de son nuage...

Avis d'expert : Promis, cette fois les américains n'auront pas le dernier mot ! Comment ? Grâce à une arme, le Cloud souverain et à ses incarnations, Numergy et Cloudwatt.

Depuis, cela vire un peu façon Plan Calcul. Et ce n'est pas Jules-Henri Gavetti (Ikoula) et Olivier Rafal (PAC), embarqués dans la DeLorean de ZDNet.fr, qui diront le contraire.

Au départ, il y a une ambition politique : faire entrer la France dans l'économie du Cloud. Pas question de laisser une fois encore tout l'espace aux géants américains.

Développer une alternative française et européenne devient alors un "enjeu absolument majeur" affirmait en 2010 le premier ministre, François Fillon. Il en va de "la souveraineté de nos pays" ajoutait-il.
Ce n'est pas rien.

Il faudra néanmoins plusieurs années encore pour qu'Andromède accouche, et de jumeaux qui plus est : Numergy et Cloudwatt. Avec son taux de natalité de 2,01, pas étonnant après tout si Marianne a mis au monde deux Cloud souverains en 2012.Numergy et Cloudwatt affichent très rapidement leur volonté de devenir grands.

Les nouveaux entrants du Cloud visent en effet 400 à 500 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2017.

Avec, en 2014, 2 millions d'euros pour Cloudwatt et 6 pour Numergy, cela paraît mal engagé.

C'est sans doute aussi ce que pense Orange, actionnaire de Cloudwatt à hauteur de 44,4%, et qui envisage désormais de racheter à l'Etat et à Thales leurs parts pour devenir le seul pilote à bord.

Axelle Lemaire préconisait elle la piste d'un rapprochement avec Numergy. Pourquoi alors avoir défendu en 2012 la création de deux acteurs ?

Pour lire la suite… http://www.zdnet.fr/actualites/retour-vers-le-futur-cloudwatt-le-souverain-descend-de-son-nuage-39813666.htm   Source : Christophe Auffray | 28 Janvier 2015

MUTATION DIGITALE

Logistique :
les "bat-drones" vont se nicher dans les entrepôts

Business : Vol stationnaire, système ultrason, trajectoires directes ; Hardis vient de déposer un brevet pour inventorier les stocks de dépôts avec un drone aux airs de chauve-souris. Son activité nocturne va révolutionner le métier, assure l’éditeur français.

Des RSE qui patinent, des projets de virtualisation qui prennent l’eau, des données qui fuitent ; et si la vrai transformation numérique des entreprises passait en fait par les drones ?

Le grenoblois Hardis Group, SSII et éditeur de logiciel de gestion de la logistique se lance dans l’aventure des drones inventoristes. Il vient de déposer un brevet qui protège un système embarqué qui automatise la réalisation des inventaires et des opérations de contrôle de stocks dans les entrepôts.

L’objectif : donner aux clients la possibilité d’effectuer un inventaire permanent des stocks présents dans ses entrepôts. Les bénéfices : moins de ressources nécessaires pour réaliser l’inventaire annuel, mais aussi la possibilité de repérer et de corriger les erreurs de stockage tout au long de l’année.

« L’idée vient de moi, je suis l’inventeur du brevet déposé » explique Stéphane Cadenet, directeur de projet. En septembre 2014, une équipe de trois personnes est formée pour développer dans le plus grand secret ce dispositif.

Caméra, code barre et ultra son

On y trouve d’une part une caméra qui lit un tag ou un code barre. Ensuite, un second système d’acquisition repère la position de l’élément dans l’entrepôt. « On identifie la position locative par la position relative de l’engin volant » explique Stéphane Cadenet. « Le positionnement du point de référence se calcule à l’aide de lasers ou d’un système avec effet Doppler (ndlr. ultra son, comme les chauves souris) ».
Un système original, car le GPS en espace confiné, ça ne marche pas. « En indoor, les armatures métalliques des entrepôts empêchent la réception du signal » détaille le directeur de projet. Enfin, un système de traitement de l’information, embarqué ou non, complète le dispositif.

Vers le pilotage automatique

« On s’appuie sur un drone du marché pour les phases de validation. Mais je suis a l’écoute de toutes les propositions, le système est conçu pour s’adapter à n’importe quel châssis » relève Stéphane Cadenet, qui précise que « la charge utile embarquée est de moins d’un kilo et demi ».

Pour lire la suite de l’article : http://www.zdnet.fr/actualites/logistique-les-bat-drones-vont-se-nicher-dans-les-entrepots-39813768.htm    Source : Guillaume Serries | 28 Janvier 2015.

urgent

 Business Intelligence :

5 erreurs communes à esquiver

Pratique : La Business Intelligence s’impose progressivement dans les entreprises.
 

Mais la complexité de ce type de projet rend nécessaire une méthodologie précise pour éviter les échecs.

Déséquilibre entre DSI et direction métier, surdité quant aux besoins des utilisateurs, coûts de formation minimisés et économies de bout de chandelle font partie des erreurs à ne pas commettre.

Gartner estimait que le marché en croissance de la Business Intelligence valait plus de 14 milliards de dollars en 2013.

Le secteur est occupé par des généralistes des logiciels professionnels, comme Microsoft, IBM, SAP ou encore Oracle.

Mais des spécialistes de la Business Intelligence tels Tableau Software, QlikTech, Tibco Software et Information Builders tirent leur épingle du jeu, poussés par une demande toujours plus forte.

Ces dernières années, de nombreuses entreprises ont mis en place des plateformes de BI, la plupart du temps dans les DSI. Mais ces systèmes décisionnels ont tendance à être très centralisés, avec des rapports produits par les DSI à destination des analystes, détaille le Gartner. D’où une sous utilisation, et un retour sur investissement peu évident.

Bilan, les principaux avantages de la BI, c'est-à-dire les rapports paramétrables ou l’Olap, ne bénéficient pas aux directions métiers, principalement parce qu’ils sont considérés comme trop difficiles à utiliser par ces mêmes métiers.

Alors comment faire pour que la Business Intelligence sorte de ce carcan pour bénéficier véritablement aux directions fonctionnelles ?


Voici 5 erreurs à ne pas commettre pour faire avancer la cause BI dans votre entreprise.

Donner trop de contrôle à la DSI, ou aux utilisateurs

Autoriser la DSI à investir sur une plateforme de Business Intelligence peut être une erreur majeure.

La DSI aura tendance à juger le projet opérationnel tant que ses indicateurs techniques seront au vert : stabilité, évolutivité, sécurité, crédibilité de l’éditeur ; votre solution de BI sera accessible ! Mais cela ne signifie pas que les fonctionnalités de l’outil seront utilisées pleinement.

A l’inverse, donner un contrôle exclusif de la solution de BI aux utilisateurs des directions métiers est un non-sens. C’est même une « erreur coûteuse », avertit Forrester Research. « Les systèmes de cloud laissent aux directions métiers la possibilité de faire ce qu’ils veulent, sans dépendre de la DSI » explique l’analyste. « mais ces solutions peuvent ne pas être sécurisée ou robustes, donc l’astuce consiste à trouver le juste équilibre ».

Ignorer les besoins des utilisateurs

L’inadéquation des fonctionnalités d’une solution de BI et des besoins des directions métiers est une des plus grandes erreurs que font les entreprises quand elles choisissent d’investir dans une plateforme.

Cela peut paraître évident, mais ce n’est en rien un sophisme. "Ces systèmes peuvent coûter des millions aux entreprises, pourtant parfois elles ne permettent pas de dégager de la valeur parce qu’il y a une inadéquation entre ce qui est acheté et les besoins des utilisateurs"
explique le Gartner.

Pour éviter de tomber dans ce travers, il est vital de comprendre quels sont les besoins des utilisateurs en matière de reporting, et de s’assurer que la solution retenue propose les fonctionnalités idoines.

Sous-estimer les coûts de formation continue

Beaucoup d’entreprises dépensent leur budget consacré à la Business Intelligence sur les coûts de licence et quelques jours de formation pour les utilisateurs.

La vérité oblige à dire que les outils de Business Intelligence sont complexes, et nécessitent une maîtrise profonde, qui va au-delà de quelques heures de formation initiale. Le Gartner recommande la mise en place de plans de formation continue sur les outils de Business Intelligence.

Pour lire la suite : http://www.zdnet.fr/actualites/business-intelligence-5-erreurs-communes-a-esquiver-39813007.htm

Source : Guillaume Serries | 15 Janvier 2015 –

NEWS

INTERNET EXPLORER, C'EST TERMINE !
 
Internet Explorer, c’est le Google+ des navigateurs. Beaucoup le détestent, bien qu’ils n’y soient pas retournés depuis plusieurs années (ou par erreur, en cliquant où il ne fallait pas).

Le browser est clairement le moins aimé de tous, qu’ils soient de simples internautes ou des professionnels du web, du graphiste au développeur.

Mais cette ère va bel et bien prendre fin : Microsoft est en train de développer un tout nouveau navigateur web, qui remplacera Internet Explorer dès Windows 10.

Le nouveau navigateur Microsoft est nommé « Spartan » en interne, mais il ne s’agit pas forcément de son nom définitif. L’objectif de Microsoft est de créer un tout nouveau navigateur, davantage inspiré de ses concurrents Mozilla Firefox et Google Chrome.

Il pourrait également être amélioré grâce à des extensions et un web store dédié. Il sera capable de fonctionner sur tous les terminaux, qu’il s’agisse d’un PC, d’une  tablette ou d’un mobile et serait bien plus léger qu’Internet Explorer.

Windows 10 embarquerait « Spartan » en navigateur principal et Internet Explorer 11 pour la rétrocompatibilité. Internet Explorer 12 ne verrait donc jamais le jour, au profit du nouveau navigateur Microsoft.
Selon ZDNet, qui dévoile l’information, Spartan pourrait être présenté par Microsoft le 21 janvier 2015. Le nouveau navigateur ne serait toutefois pas suffisamment au point pour être intégré à la mise à jour de la Technical Preview de Windows 10 prévue en janvier.

Et pas sûr que les internautes soient prêts à quitter Chrome ou Firefox pour retourner sur un navigateur signé Microsoft… Source :  Thomas Coëffé | 30 décembre 2014.
http://www.blogdumoderateur.com


FLECHES en couleur
Actualités

Aujourd’hui, plus d’un milliard de personnes dans le monde utilisent une application pour créer des présentations. Edouard Petit et Alexis Jamet ont eu cette folle idée en 2012 de se lancer dans la conception du premier prototype de Bunkr afin de concurrencer mais surtout d’améliorer PowerPoint, Keynote, Prezi et compagnie.  http://www.jebossedansleweb.com

Nous sommes donc allés à la rencontre du Responsable Marketing de Bunkr, Edouard Petit, afin d’en savoir plus sur sa start-up, ses projets, son parcours, mais aussi l’avenir de Bunkr et les futurs profils recherchés. En savoir plus    Source : 01/2015 - http://www.lesjeudis.com


10 tendances web design en 2015

Quelles sont les tendances qui se dessinent pour la nouvelle année ?
Les tendances design 2014 vont-elles être révolues ?
Découvrez les 10 tendances web design de 2015 par Philippe Rondepierre.

http://fr.slideshare.net/philipperondepierre37/web-designtendances2015-38916551
http://fr.slideshare.net/philipperondepierre37/presentations
http://www.jebossedansleweb.com


INGENIEURS IT :

Quelles formations pour le Big Data ?

BIG DATA

4,4 millions crées d'ici à 2015. C'est ce que prévoit le cabinet Gartner pour le secteur du Big Data, en pleine expansion. Avec, à la clé, de nouveaux métiers et de nouvelles formations.

Source du 5/01/2015 - Pour lire la suite :  http://www.lesjeudis.com

INFOLOR recrute des ingénieurs d'études et développement, systèmes et réseaux nouvelles technologies Entretien avec Julien Jacquier, cogérant.  http://www.lesjeudis.com

MUTATION DIGITALE

Enquête Mutation digitale :

faites évoluer votre PME ou disparaissez !

Attentes des clients, communication, innovation... Les entreprises n'ont d'autre choix que de se réinventer face à la révolution digitale. Sans quoi, elles sont vouées à disparaître. > Lire la suite

Source :   -  http://www.ecommercemag.fr/

http://www.mckinsey.com/global_locations/europe_and_middleeast/france/fr/latest_thinking/accelerer_la_mutation_des_entreprises_en_france
 

Orange lance deux MOOC
sur les opportunités professionnelles
du numérique

Orange, premier employeur du digital en France ouvre dès cet automne 2014 deux parcours  gratuits d’apprentissage collaboratif en ligne, destinés au grand public pour découvrir les opportunités professionnelles du digital et se former aux métiers du numérique.

Ces deux MOOC, premiers opus d’une initiative thématique inédite, vont permettre au plus grand nombre de découvrir, de se former et de mieux saisir les opportunités professionnelles qu’offre le digital. Ils seront disponibles sur Solerni, la plateforme de social learning par Orange. 

MOOC formation en ligne

Qu'est ce qu'un Mooc ?

Un « MOOC » est un parcours d’apprentissage en ligne au cours duquel de nombreux participants interagissent et partagent leurs compétences.

  • « Massive » signifie que ce parcours peut regrouper un nombre illimité de participants,

  • « Open » montre qu’il être ouvert à tous, quels que soient sa situation géographique et ses connaissances antérieures,

  • « Online » annonce qu’il se déroule en ligne,

  • « Course » indique qu’il possède un début, une fin et un programme. 

Comment s'inscrire ?

La participation à l’un de ces deux parcours de formation collaboratif en ligne permettra d’obtenir un badge remis par Orange. En complément, des animations ludiques rythmeront le parcours des apprenants et permettront de remporter des lots. 

Le grand public peut dès maintenant s’inscrire au parcours de son choix :

- decoderlecode.solerni.org pour le MOOC « décoder le code »,
- webconseiller.solerni.org pour le MOOC « Devenir Web Conseiller ».

Myriam KISS. Anild 07/2014

Actualités  TELECOMMUNICATIONS

4G :
L'ARCEP DONNE UN BON POINT A BOUYGUES & A ORANGE

L'Autorité de régulation des télécommunications (Arcep) a publié, le 10 juillet 2014, les cartes des couvertures 2G, 3G et 4G des opérateurs mobiles français.

Cet état des lieux met en évidence l'avance de Bouygues Télécom sur le très haut débit mobile, avec 70% de la population couverte (22% du territoire) en 4G.

Orange arrive juste après, avec 66% de la population
et 18% du territoire couverts.

L'Arcep souligne que les cartes 4G publiées par Bouygues et Orange présentent "un bon niveau de fiabilité" par rapport aux vérifications opérées sur place.

Cette fiabilité est " en revanche plus faible" pour les cartes de SFR - l'opérateur couvre, selon l'Arcep, 30% de la population (1,7% du territoire) - et de Free Mobile (24% des Français et 1,5% du territoire couvert). "Ces deux opérateurs ont dont corrigé les cartes 4G qu'ils publient" dit l'Arcep.

Pour conserver leur licence, les opérateurs devront prouver, fin 2015, qu'ils couvrent au moins 25% de la population.

Myriam KISS. Anild 07/2014

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Les projets d’embauche de cadres dans l’informatique reculent

Chiffres : Pôle Emploi ne s’attend pas en 2014 à une reprise des embauches de cadres dans l’informatique avec des projets de recrutement en recul par rapport à 2013 (déjà une année de baisse).

Pour les ingénieurs télécoms et les techniciens en informatique, la situation sera plus favorable.

Les activités informatiques, et en particulier les sociétés de services, constituent les principaux employeurs d’informaticiens. Et même si Syntec Numérique veut croire à une reprise en 2014, sur le front de l’emploi, cette prévision ne se confirme pas.

D’après
l’édition 2014 de l’enquête annuelle Besoins en main d’œuvre (BMO) de Pôle Emploi, le nombre de projets d’embauche dans la catégorie « Ingénieurs, cadres études & R&D informatique » est en très net repli cette année. Une baisse déjà observée en 2013.

Plus de 3.000 projets d'embauches de cadres en moins

Ces métiers se classent même à la 4e place dans la liste des 15 métiers qui enregistrent les plus fortes variations à la baisse en 2014.

Par rapport à l’année dernière, ce sont en effet 2029 recrutements potentiels qui se sont volatilisés (24.636 en 2014, contre 26.665 en 2013).

Et une autre catégorie englobant des professionnels de l’IT est elle aussi en net recul.

Pôle Emploi enregistre 1214 projets d’embauche en moins dans les métiers des « Ingénieurs et cadres d'administration, maintenance informatique. »

Pourtant, les entreprises du secteur des « activités informatiques » sont 23,4%, autant qu’en 2013, à signaler des projets en termes d’emploi. Toutefois, ces sociétés n’embauchent pas uniquement des professionnels de l’IT.


Du mieux du côté des techniciens
 

Dans les métiers des télécoms, l’amélioration est significative par rapport à 2013 avec cette année 3227 projets de recrutements pour les « ingénieurs et cadres des télécommunications » - contre 2357 en 2013.

Toutefois, le numérique n’emploie pas seulement des cadres.
 

Or pour les employés et techniciens, les entreprises semblent moins réticentes à recruter           Employés et opérateurs en informatique » et « Techniciens production et exploitation de systèmes d'information »).


Une exception cependant, avec un recul des projets pour « Techniciens d'études et développements en informatique (y.c. webmasters ) ». Source : Christophe Auffray | 10 Avril 2014

Pour en savoir plus :
http://www.zdnet.fr/actualites/les-projets-d-embauche-de-cadres-dans-l-informatique-reculent-39799793.htm


Google renforce Android contre les applications malveillantes

ANDROID faille 04-2014

Technologie : Une mise à jour poussée par Google permet d'effectuer un contrôle des applications stockées dans un terminal, à l'installation mais pas seulement.

Première plate-forme pour smartphone, Android est logiquement l'OS mobile le plus attaqué.
Il est d'ailleurs considéré par certains experts comme le plus vulnérable même si le principal vecteur de risque se situe dans les applications.

Les applis provenant de markets alternatifs sont évidemment les plus à risque.
Mais au sein du Google Play, il n'est pas rare que des applications malveillantes passent entre les mailles du filet. 

Face à ses risques, Google tente depuis longtemps déjà d'appliquer des mesures de protection notamment lorsque les applications sont publiées dans le Google Play en vérifiant leur conformité.

Le moteur annonce d'ailleurs aujourd'hui un renforcement de ces mesures à travers une mise à jour.

Désormais, outre une analyse lors de la publication, un scan sera effectué en continu sur le système, à leur installation et de manière régulière. Si l'application se révèle à un moment piégée, l'utilisateur recevra une alerte.

Cette nouvelle fonction est activée via une mise à jour du Google Play et est compatible avec tous les terminaux Android à partir de la version 2.3
. A lire - Android : 31 suites de sécurité comparées

AV-Test.org vient de publier la dernière version de son comparatif sur les suites de sécurité pour Android.

Si la très large majorité est plébiscitée par l'institut spécialiste de la sécurité, il faut chercher dans les fonctionnalités pour l'entreprise les éléments de différenciation. Les tests ont été conduits entre mars et avril 2014.

Evidemment, toutes les applications n'ont pas été testées par AV-Test.org. Certains éditeurs critiquent la méthodologie ou refusent de coopérer. Lookout et AVG notamment, dont les logiciels sont très bien notés dans le Play Store. Cela dit, le comparatif donne une vision intéressante des principales suites logicielles et de leurs fonctionnalités et performances. Source : La rédaction de ZDNet.fr | 11 Avril 2014

http://www.zdnet.fr/actualites/android-31-suites-de-securite-comparees-39799575.htm
 

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Orange monte un programme de partenariats visant à soutenir l’écosystème de start-up orientées objets connectés.

Le groupe télécoms français, qui multiplie déjà les initiatives pour se rapprocher des entrepreneurs avec son accélérateur de start-up Orange Fab ou sa participation majoritaire dans la société de capital-risque Iris Capital, souhaite ici favoriser le secteur des objets connectés.

Les start-up disposant déjà d’un prototype peuvent déposer leur candidature via le portail dédié
iot Orange Partner (IoT pour Internet of Things).

Parmi les projets de ces sociétés, Orange sélectionnera les meilleures idées dans les domaines de la personne, de la santé, de la maison, de la communauté ou de la ville.

Les entreprises choisies pourront, dans un premier temps, bénéficier du réseau de contacts d’
Orange pour rencontrer de potentiels partenaires industriels pour lancer la fabrication de leur objet connecté.

 
STARTUP
 
Orange accompagnera les sociétés lauréates  dans leurs démarches de localisation pour leur permettre d’étendre leurs activités dans d’autres pays européens plus rapidement.

Et pour accroître les ventes, le groupe français propose de faire bénéficier ces start-up de ses propres réseaux de distribution en ligne disponibles dans 19 pays d’Europe et d’Afrique. "Nous désirons travailler avec des entreprises innovantes des objets connectés, leader dans leur industrie. Nous croyons que ce type de soutien est une bonne base pour construire une relation de confiance avec vous ", explique Orange sur son site Internet. Quiz :
Connaissez-vous bien Orange ?

http://quiz.itespresso.fr/connaissez-vous-bien-orange--56-0-0.html Source : ww.itespresso.fr -26/02/2014 T.Deschamps
 

Orange Fab :
7 start-up de la deuxième promotion Silicon Valley
accélère la cadence


STARUP ORANGE Lab

Quelles sont les grandes tendances ?

Jeudi 23 janvier 2014, le programme Orange Fab Silicon Valley s’est déporté à Paris pour présenter le nom des sept start-up lauréates de sa deuxième édition. Il s’agit d’un programme de networking visant à accélérer le développement de jeunes pousses que l’opérateur considère comme innovantes.

La sélection a été intense : 100 candidatures reçues, 30 sociétés retenues et finalement sept finalistes.

Ce programme « accélérateur » s’étend sur 12 semaines. Au menu : séances de
mentorat bi-hebdomadaires avec des entrepreneurs, des investisseurs, des ingénieurs et des designers expérimentés de la Silicon Valley. Chaque start-up, qui a intégré ce cercle, restreint pourra également bénéficier d’un financement d’un montant de 20 000 dollars et travailler dans les locaux d’Orange Silicon Valley.

Ces projets ayant tapé dans l’oeil s’inscrivent dans des domaines comme le cloud, la gestion de données clients ou l’agrégation de contenus vidéo.

Enclenché en mars 2013, le programme
Orange Fab s’étend dans le monde : les déclinaisons pour la France et l’Asie seront lancées « dans quelques mois ». Tandis qu’en Pologne et en Israël, le premier appel à candidatures s’apprête à être lancé.

« Orange Fab  incarne notre ouverture à de nouvelles pratiques de collaboration qui simplifient et intensifient nos liens avec les entreprises innovantes », déclare Elie Girard, Directeur exécutif, Stratégie et Développement du groupe, cité dans le communiqué.

Source : http://www.itespresso.fr/ Le 29/01/2014

 ROAMING

Coût de l'itinérance :
Bruxelles renonce à faire baisser fortement les prix

Business : Très critique vis-à-vis des tarifs d’itinérance pratiqués par les opérateurs, la commissaire européenne Neelie Kroes prévoyait une importante baisse de prix. Finalement, selon Reuters, celle-ci n’aura pas lieu.

Kroes renonce à réduire les frais d'itinérance

Neelie Kroes, la commissaire européenne aux télécommunications, a renoncé à un projet qui aurait réduit les frais d'itinérance de 90% au plus, montre un document de la Commission européenne dont Reuters a eu connaissance.

Ce projet, qui aurait diminué les prix de gros que des opérateurs télécoms acquittent pour accéder aux réseaux de leurs concurrents, était au coeur de son intention de créer un marché unique des services de télécommunications dans l'Union européenne.

Par ce biais, la CE entendait créer de l'emploi, doper la compétitivité de l'UE et aider l'Europe à rattraper les Etats-Unis et l'Asie dans les réseaux mobiles et à haut débit.

Suivant un projet précédent, N.Kroes proposait un plafond de trois centimes par minute pour les appels vocaux de juillet 2014 à juin 2022, soit une réduction de 70% sur le plafond de 10 centimes entré en vigueur en juillet 2013.

Elle voulait aussi ramener le plafond pour les données à 1,5 centimes par mégaoctets contre 15 centimes actuellement.

Le dernier projet consulté par Reuters ne fait plus mention de la question.

Selon des sources proches du dossier, les patrons d'Orange , Telecom Italia, Telefonica, ainsi qu'un responsable de Deutsche Telekom ont rencontré N.Kroes fin juillet 2013 pour lui exprimer leurs préoccupations vis-à-vis de ses intentions.

Sources : 28/08/2013

*http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/reuters-00545521-kroes-renonce-a-reduire-les-frais-d-itinerance-598807.php
*http://www.zdnet.fr/actualites/cout-de-l-itinerance-bruxelles-renonce-a-faire-baisser-fortement-les-prix-39793487.htm
 

TOR logo

TOR : vous êtes sur Windows ? Switchez !

Sécurité : Tous les accès corrompus au réseau maillé TOR l'ont été grâce à une faille du TOR Bundle exploitée sur Windows. Une solution : switchez, affirme l'équipe derrière TOR.

Billet de blog en forme de recadrage pour TOR, qui démolit au passage quelques-unes des affirmations qui ont été faites - et lui portent préjudice - ces derniers jours suite à la révélation de l'infiltration par le FBI de Freedom Hosting, l'un des principaux fournisseurs de services "cachés" basés sur le réseau en oignon.

Pas content, TOR, qu'on vienne parler de "torsploit", terme de fait abusif puisque c'est la version 17 ESR de Firefox, utilisée dans le Bundle TOR, qui a été affectée. De plus, celle-ci a été patchée depuis juin 2013 par Mozilla. Mettez à jour, fermez le ban.

TOR logo

Code d'attaque spécifique à Windows
 

Les logiques habituelles de sécurité s'appliquent donc : mise-à-jour régulière pour profiter des corrections de vulnérabilités, vérification de la version installée, revérification de la version installée. "En principe, tous les utilisateurs des Bundles TOR plus anciens que les [version patchées] sont vulnérables." Voilà qui est rappelé.

Sauf, précise TOR, que dans les faits, "il semble que seuls les utilisateurs de Windows avec une version de Firefox vulnérable ont réellement été touchés par cette attaque".

Les autres n'ont pas été visés, même si la vulnérabilité Javascript est présente sur toutes les plateformes. "Le code d'attaque est spécifique à Windows", conclut donc TOR.

Outre la mise-à-jour et la revérification, l'équipe propose de désactiver Javascript et promet une configuration plus simple des options Javascript dans une prochaine version du Bundle. Enfin, "songez à passer à une approche "live system" comme Tails".


Abandonner Windows ?

En clair ? Abandonnez Windows pour aller sur GNU / Linux.

Si ça n'est pas dit aussi clairement par TOR, la proposition de passer à un système sur live-CD ou clé USB interdit de fait l'OS de Microsoft ou Mac OS X. Tails est un exemple de distribution particulièrement orientée sécurité et anonymat.

Sympathique perspective, mais parfois impossible. Pour des raisons professionnelles, d'utilisation d'applications précises - non, Wine ne résout pas TOUS les problèmes ! - on est parfois bel et bien enchaîné à Windows.

D'autres actions s'avèrent donc toujours utiles, même si elles restent très génériques : pare-feux, adresse MAC aléatoire, voire utilisation de machines virtuelles sont toujours des solutions intéressantes pour limiter les risques.

Source :  ZDNet.fr | 09 Août 2013  http://www.zdnet.fr/actualites/tor-vous-etes-sur-windows-switchez-39793124.htm

Pour en savoir plus – 08/2013 : Tor security advisory: Old Tor Browser Bundles vulnerable

 
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Manageabilité, ouverture et irrigation :
les nouveaux défis du datacenter

Le cloud et la virtualisation sont deux technologies qui modifient en profondeur l’aspect et la performance du centre de données. Deux tendances de fond qui, avec un débit interne et externe en croissance, révolutionnent les usages de la DSI.

Qu’il soit dans une salle dédiée sur un site industriel, piloté à distance chez un infogéreur, ou dans une seule baie à l’arrière d’un open space, le centre de données de toutes les entreprises évolue sous l’impact de nouvelles technologies qui proposent une rationalisation des coûts et des moyens. Mais qui prennent aussi en compte la croissance naturelle des 
volumes de données gérés dans les entreprises.

Judicieusement mises en oeuvre, ces technologies promettent manageabilité, ouverture et irrigation du centre nerveux de l’IT de l’entreprise.

Un data center de plus en plus manageable

Différentes générations de serveurs physiques hébergeant des applications parfois ancestrales (mais toujours efficaces), différentes instances de stockage (disque, cartouche, bande) correspondant à des stratégies de sauvegarde et d’archivage ; réplication sur site distant des données ; le centre de données présente avec le temps une hétérogénéité matérielle et logicielle qu’il est nécessaire de prendre en compte pour rester performant.

La virtualisation des OS serveurs et des instances de stockage permet de rationaliser la puissance et le volume de stockage de l’ensemble des outils du datacenter. Mais surtout, il est désormais possible de positionner au-dessus des outils virtualisés et des outils physiques une couche de gestion globale.

Elle permet de gérer et superviser depuis une seule plateforme les applications et le stockage de l’ensemble du centre de données, faisant fi de l’hétérogénéité logicielle et matérielle.

Équipé de cet outil, le datacenter devient véritablement un cloud privé, avec toute la souplesse de gestion promise. Une tendance à la hausse puisque déjà en 2010, une étude Cisco avertissait qu’un tiers des professionnels de l’IT déclaraient que plus de 50% des données et des applications de leur entreprise seraient hébergées dans des clouds privés d’ici à 2013.

Un datacenter de plus en plus ouvert

Mais quid de la souplesse en matière de puissance et de volume de stockage ? Une nouvelle application, une nouvelle base client, une opération de marketing en ligne, etc. L’installation d’une nouvelle machine dans le datacenter va vite devenir nécessaire.

À moins de profiter des possibilités offertes par le cloud computing, soit la connexion à la demande de nouvelles ressources, depuis un prestataire spécialisé (Microsoft, Amazon ou encore Google pour ne citer que les plus gros) ou un infogéreur qui dispose de sa propre infrastructure.

Cisco prédisait en 2010 que 85% des professionnels IT français envisageaient de mettre une partie des données et des applications de leur entreprise dans un cloud public ou privé d’ici 2013.

« L’avenir du Cloud est nécessairement hybride » insiste Jérôme Trédan, directeur des produits serveurs et plateformes de cloud computing de Microsoft France. Et pour se faire, les technologies des différents prestataires se doivent d’assurer l’interopérabilité des différents systèmes. Au client de s’assurer de ce fait avant de s’engager.

D’ou une tendance de plus en plus nette dans les DSI à la montée en compétence sur la négociation des contrats avec les prestataires. Le coût du Go stocké et transmis devient non seulement un critère d’optimisation de son propre centre de données, mais aussi un indicateur du prix des contrats passés avec des opérateurs de cloud, tout en prenant garde aux SLA qui garantissent eux la qualité de la prestation.

Un datacenter de plus en plus irrigué

Enfin, il faut noter que le prix de cette ouverture se remarque également au niveau des réseaux qui connectent les centres de données. La croissance du volume de données qui transitent entre les clients et les datacenters et entre les datacenters, explose véritablement.

Déjà en 2009, une étude IBM précisait que 40% des entreprises souhaitaient investir dans des solutions réseaux pour accéder à des environnements cloud.

Fibre optique et utilisation de réseaux redondants d’opérateurs de télécommunication sont en passe de devenir la norme industrielle en la matière, et le positionnement géographique d’un nouveau centre de données doit prendre en compte la proximité de ces autoroutes numériques.

Mais c’est aussi dans le datacenter que les débits gagnent en volume. Au cœur du serveur, mais aussi entre celui-ci et les instances de stockage, de nouveaux protocoles de communication, comme le FcoE (Fibre Channel over Ethernet), sont en passe de remplacer les protocoles actuels.

Le point de vue de Microsoft
: utilisés avec le niveau d’expertise requis, virtualisation, cloud computing et gestion des réseaux peuvent permettre d’accroître l’efficacité des datacenters. En savoir plus sur les outils Microsoft de gestion des centres de données.

Source : 18/06/2013 - Guillaume Serries - ZD Net.fr

http://blogs.microsoft.fr/decideurs-it/manageabilite-ouverture-et-irrigation-les-nouveaux-defis-du-datacenter.html
 

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Faut-il réellement vouloir la peau du DSI ?

INFORMATIQUE PC main

Décisions IT : Donné pour mort à plusieurs reprises, le DSI, et plus généralement la fonction IT des entreprises, n’a pas disparu. Pour répondre aux exigences de réactivité, de coûts et de qualité de service, la DSI a entrepris une transformation et repensé sa relation avec les métiers. Témoignages de DSI.

DSI, directions générales et métiers peinent parfois encore à se comprendre. Et la frustration est donc encore souvent au rendez-vous. Manque de chance, peut-être, ces derniers doivent bien pourtant travailler de concert. Mais y apporter des remèdes n’est pas forcément chose aisée pour la DSI.

« L’informatique, c’est des contraintes. On ne peut pas toujours dire oui. On ne peut pas toujours répondre pleinement
aux attentes, en termes de délais notamment. Néanmoins, cette frustration nous devons la prendre en considération et nous mettre à l’écoute des métiers pour devenir de vrais partenaires […] Les idées des métiers, il faut les mettre en œuvre » résume Xavier Courchinoux, DSI d’Oscaro.com.

« La fonction DSI est dans un misérabilisme permanent »

Une chose est sûre, la DSI doit définitivement tirer un trait sur le passé, et oublier cette époque, « il y a 25 ans, où elle imposait tout à tout le monde et où la gestion du changement n’était même pas dans les projets » se rappelle, sans nostalgie,
Cécile Botalla, DSI de la Mutuelle Générale.

Sa transformation, la DSI, si elle ne l’a pas déjà faite, elle doit l’entreprendre. Et ce sous la pression, aussi bien en interne, qu’en externe.

« On nous demande de la réactivité, de la qualité de service, de la disponibilité, et aussi de la réduction de coûts. L’informatique est aussi vue comme un poste de coûts. Et par ailleurs, beaucoup de gens tournent autour des métiers. J’ai vu des présentations de grands prestataires de services qui leur promettaient de faire de l’informatique sans leur direction informatique. Un discours comme celui-ci, cela les fait rêver, et je le comprends » illustre Cécile Botalla.

Mais frustration, contraintes opérationnelles et attentes des métiers ne doivent pas
pousser au fatalisme selon Christophe Leray, DOSI du PMU. « La fonction DSI est dans un misérabilisme permanent consistant à se replier sur elle-même […] Nous sommes dans un vocabulaire négatif. Nous posons de la contrainte. Il y en a c’est évident, mais pour autant nous avons un vrai travail à mener pour vendre ce que nous faisons et nous positionner, non pas sur des prés carrés, mais sur de la valeur » s’agace-t-il.

« Il y a de la valeur à apporter du conseil, de l’accompagnement auprès de métiers qui n’entendent absolument rien à ces sujets et sur lesquels nous allons pouvoir leur apporter du service et montrer que nous délivrons de la valeur, y compris dans le domaine de la sécurité que je ne considère nullement comme une contrainte » précise-t-il.

« L’unité de temps est la base globale de nos relations avec les métiers »

La
peur des prestataires court-circuitant l’IT interne n’est pas non plus justifiée, défend Christophe Leray, pour qui, au contraire, la DSI a, là aussi, une valeur à apporter. « La fonction IT a aussi la capacité à appréhender les technologies et à jouer le rôle de médiateur entre le métier et les prestataires afin de transformer un slideware qui vend du rêve en une réalité. »

Evacuée donc la question de savoir si oui ou non la fonction IT a toujours sa place. Place aux solutions et aux pistes de transformation. Mais sur ce point, finalement, la grande orientation, opérée ou à entreprendre, n’est pas si nouvelle :
un rôle d’intégrateur.

« Nous sommes beaucoup un intégrateur dans notre métier de l’assurance santé avec de l’intégration de progiciels métier et cœur de métier avec des progiciels de relation clients et de BI.

Hormis les sites Internet, notre travail c’est donc principalement de l’intégration, de l’architecture, de l’assemblage » confirme Cécile Botalla.

 

Et ce rôle de la DSI influe directement sur les recrutements. « J’ai recruté beaucoup d’architectes, et surtout des architectes techniques, mais aussi des analystes et concepteurs au niveau applicatif, c’est-à-dire des personnes capables de comprendre ces logiciels et leurs interactions. Je ne vais pas recruter en masse du développeur. Ce n’est pas mon cœur de métier » indique la DSI de la Mutuelle Générale, dont le département compte aussi des salariés chargés du suivi et du pilotage des services fournis par les prestataires, dont sa messagerie en mode SaaS.

Autre attente principale des métiers : la réactivité ou la notion d’unité de temps. « Chez nous l’unité de temps est la base globale de nos relations avec les métiers. Et l’unité de temps n’est pas la même en fonction des métiers.
 
Or pour passer dans une relation de partenariat avec les métiers, il faut non seulement parler le même langage, mais surtout aussi parler dans le même temps » insiste
Laurent Rousset, DOSI de Celio.

« La DSI ne rase plus les murs »

 Pour répondre à cette problématique, l’organisation de la direction informatique de Celio a donc été repensée : « Nous avons des grands projets où les gens ont des temps longs. Nous avons des projets plus saisonniers avec du moyen terme. Et enfin nous avons du trend. Là on ne peut pas dire oui mais. Il faut produire […] Le principe c’est une semaine, un métier, un projet » décrit-il. Cela n'est pas allé sans casse avec un turnover de 50% à la DSI.

Des méthodes de fonctionnement moins de rupture existent aussi, dont les méthodes agiles pour le développement. « Notre objectif était de réduire les délais. C’est passé par la méthode agile, mais aussi par une interaction extrêmement rapide entre ceux qui connaissent le système et comment le faire évoluer et ceux qui créent le besoin.

Aujourd’hui le marketing et l’IT sont en point tous les matins pour guider les développements, et toutes les deux semaines une nouvelle version sort » témoigne Christophe Leray.
 
Et pour
Antoine de Kerviler, DSI de Corsair, la transformation et le rapprochement avec les métiers est un scénario gagnant-gagnant. « La première fois que nous avons dit dans un comité de pilotage de projet qu’on livrerait l’application le 24 octobre, tout le monde a rigolé. A la date annoncée, nous avons livré l’application et on a cessé de rire » se souvient-il.

« Et à partir du moment où on l’a fait une fois, deux fois, trois fois, on commence à instaurer les conditions d’une confiance […] On recrée de la confiance, de la fierté dans les équipes de la DSI, et dès lors il est plus facile d’aller faire des propositions à nos collègues dans d’autres directions [...] La DSI ne rase plus les murs » poursuit-il.
Propos recueillis le 17 avril 2013 à l'occasion de la matinée de remise du référentiel des pratiques SI organisée par l'EBG

Source : Christophe Auffray | 05 Juin 2013 http://www.zdnet.fr
A télécharger : http://www.zdnet.fr/livre-blanc/entreprise-cloud-et-datacentre-22388542.htm
http://www.zdnet.fr/livre-blanc/entreprises-infrastructures-informatiques-datacentre-construire-ou-louer-de-l-rsquoespace-22388521.htm
http://www.zdnet.fr/livre-blanc/l-erp-un-levier-strategique-pour-le-developpement-de-l-entreprise-industrielle-21201044.htm


Le Club DECISION DSI est la plus importante organisation européenne dans son domaine et  regroupe plus de 900 Décideurs informatiques d’entreprises privées et d’entités  publiques de plus de 200  salariés localisées sur la  France entière.

Créé en 2007 par Véronique et Julien DAVAL, le Club est totalement indépendant permettant aux Décideurs informatiques d’être plus performants dans leur métier. Echanges, informations pertinentes et objectives sont au rendez-vous. Accéder au site du Club Décision DSI  http://www.clubdecisiondsi.com/

 

Roaming Data :
comment profiter d'un luxe à moindre coût

Que vous soyez professionnel nomade ou simple touriste, l’utilisation de la data à l’étranger reste un luxe, chèrement tarifé. Pourtant, accéder à Internet, à ses emails ou à ses données est aujourd’hui presque indispensable…

Comment expliquer le coût du roaming ? Quels sont les moyens de payer moins cher ? Quels sont les bons plans pour vos prochains voyages en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie ?


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Roaming data :
l’indécence des tarifs des opérateurs français

Dossier : Mise à part la nouvelle offre de SFR, les tarifs pratiqués par les opérateurs pour consommer de la data à l'étranger restent prohibitifs malgré la pression exercée par Bruxelles, dont l'objectif est de ramener ces tarifs au même niveau que les prix domestiques.

Mi-février 2013,
SFR a créé l’événement en annonçant le lancement d’une option à 5 euros par jour donnant accès à 100 Mo de data en Europe et dans les DOM, pour le grand public, ainsi qu’aux Etats-Unis pour les entreprises. Un tarif enfin raisonnable qui soulagera sans aucun doute nombre de professionnels globe-trotters.

Les plus économies d’entre eux, qui auraient souscrit aux offres RED, sont un peu moins bien lotis mais pas complètement oubliés : l’opérateur vient de lancer un pack à leur intention ; il offre 100 Mo de trafic données pour une semaine en Europe et DOM, 30 minutes d’appel et 30 SMS, pour 9 euros. SFR propose même le double pour 15 euros.

Mais cette offre est également l’occasion d’une douloureuse piqure de rappel : le
roaming coûte cher, honteusement cher, au point de constituer un véritable luxe. Mais un luxe qui n’a rien d’optionnel pour les professionnels et, notamment, les indépendants, qui ont un besoin impérieux de garder un contact efficace avec leurs collègues et leurs clients, y compris lors de leurs déplacements.

Ecarts de prix malgré des tarifs régulés par Bruxelles

Pour se convaincre de l’indécence des tarifs, un petit tableau suffit à résumer la situation, ici en zone Europe. Et c’est encore là que le mal est moindre : les
tarifs sont régulés par Bruxelles qui impose aux opérateurs une baisse régulière de leurs tarifs avec pour objectif d’effacer, à terme, les surcoûts par rapport aux tarifs data domestiques.

 

CADENAS SECURE

 

En dehors de la zone Europe, les tarifs vont jusqu’à exploser avec, par endroit, un mégaoctet facturé rien moins que 13,30 euros !

Comment expliquer de tels prix ? La
réponse des opérateurs éclaire quelque peu sur un marché qui brille par son opacité. Des explications qui, toutefois, ne consoleront en rien les budgets des professionnels. Ceux-là devront chercher des alternatives avec carte SIM de spécialistes de l’itinérance internationale, offre prépayée locale ou encore recours aux réseaux Wi-Fi. A la clé, des contraintes organisationnelles fortes mais des économies pouvant être très conséquentes.

Valery Marchive | Mardi 28 Mai 2013

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/roaming-les-eurodeputes-votent-plusieurs-baisses-de-tarifs-jusqu-en-2014-39771601.htm

EMPLOI logo. stabilo

Ça recrute dans... l’informatique

Parce qu’il est lié aux nouvelles technologies, le secteur de l’informatique est en perpétuel mouvement.
Le besoin en informaticiens se crée en permanence, pour travailler sur les ordinateurs, certes, mais pas seulement.
Si les recruteurs se bloquent sur les profils les plus diplômés, les professionnels encore en devenir ont aussi leur carte à jouer.
L’informatique concerne la vie courante (téléphones portables, fours à micro-onde, etc.) comme la vie en entreprise (outil d’aide à la gestion de projets, de traitement de texte...).
 Le secteur se porte bien et se maintient dans une constante mutation du fait des évolutions technologies permanentes.
Néanmoins, la dynamique du secteur souffre “d’un mode de gestion de l’emploi très focalisé sur le court terme”, indique une étude de Jean-Louis Zanda pour Pôle emploi (1).
Ainsi, les métiers restent très réactifs à la conjoncture. Si le nombre d’offres a baissé malgré un rebond en 2010 (+ 15 %, contre une baisse de 37 % en 2009 du fait de la crise), l’étude souligne “les difficultés de recrutement qui sont périodiquement invoquées par les sociétés de service d’ingénierie informatique (SSII)”.

Trois grands groupes

Le secteur se divise en trois grandes familles d’emploi, selon la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques).

Le groupe des employés et opérateurs de l’informatique (MOZ) rassemble des opérateurs en informatique, des assistants d’exploitation et des assistants bureautiques.
Ces salariés sont généralement peu diplômés. “Ce groupe recrute peu car la profession tend à se professionnaliser et à mon ter en compétences, souligne Régis Gramarolo, directeur de Munci, association professionnelle des informaticiens.
Ces postes sont également délocalisés au Maghreb, en Europe de l’Est ou en Inde.” Les techniciens de l’informatique (M1Z) travaillent sur les études et développement, la production, l’exploitation, la maintenance, les services aux utilisateurs et les réseaux.
Selon l’étude de Pôle emploi, les effectifs de cette catégorie progressent.

Ces salariés sont souvent plus diplômés que d’autres techniciens et bénéficient d’un accès fréquent à la formation continue.
Le dernier ensemble regroupe les ingénieurs (M2Z), la famille la plus volumineuse. Elle est celle qui recrute le plus, mais les profils correspondants sont aussi très diplômés : “Les deux tiers de ces salariés détiennent un diplôme supérieur, précise l’étude.
Ces analystes programmateurs, ingénieurs d’études ou de développement et chefs de projets sont fortement concentrés en Île-de-France, ainsi qu’en Midi-Pyrénées et Rhône-Alpes.”
Ces disparités régionales n’épargneraient pas les deux autres familles, selon l’enquête.

Logique et mathématique

En termes de formation, plusieurs portes sont ouvertes, du fait de la diversité des domaines d’application.
Il faudra acquérir des compétences de base en logique et en mathématique, quel que soit le chemin emprunté. Voies royales, les écoles d’ingénieurs s’intègrent après des Bac S, STI ou STL, ou sur concours après deux années en classe préparatoire ou un diplôme tel que le DUT ou le BTS.

À l’université, il est possible de s’orienter soit vers une licence professionnelle, soit vers un IUT (Institut universitaire technologique).

Il existe trois spécialités liées aux métiers de l’informatique :

  • méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises (MIAGE), axées sur la gestion et les bases de données,

  • génie mathématique et informatique, destinée à la recherche,

  • et le génie électrique et informatique industrielle (GEII), pour une application en industrie.

À la suite de la licence, l’étudiant peut s’orienter vers la vie active ou poursuivre dans un master recherche ou professionnel.
Si les candidats Bac + 4/ + 5 rencontrent le quasi plein emploi et représentent 70 % des effectifs de l’informatique, il reste quelques opportunités pour les moins diplômés, notamment pour les Bac + 2.

Sur les 534 000 actifs des métiers de l’informatique entre 2008 et 2010, selon l’étude Pôle emploi37 000 étaient des employés et opérateurs et 172 000 des techniciens.

Dans l’ensemble de la profession, 6 % des salariés sont sans diplôme ou n’ont obtenu que le brevet, 6 % encore sont titulaires d’un CAP ou BEP et 14 % sont d’un niveau Bac, BP ou équivalent.
“Les techniciens de niveau Bac + 2 sont recrutés plutôt pour travailler sur des supports informatiques, pour faire des tests de production, poursuit Régis Gramarolo. Ils intéressent les PME de Province et quelques SSII.”
Ils pourront s’atteler à tout ce qui consiste au support et à l’assistance, mais aussi à des postes de Web help, de technicien des télécoms, ou encore à tout ce qui est lié au marché de la fibre optique.
Le métier de technicien support recrute à 90 % des Bac + 2, notamment dans des sociétés d’intérim et dans quelques SSII, comme la société Aura Group, par exemple.”

Participer à l’évolution de l’entreprise

Pour valoriser leur candidature, les moins diplômés pourront souligner leur volonté de continuer à apprendre au sein même de l’entreprise.
“Les Bac +4 et plus arrivent sur le marché du travail avec un parcours professionnel individuel en tête. Ils vont très vite vouloir évoluer ou même partir, explique Jean-François Bos, chef de l’accompagnement managérial du développement informatique pour la DSI (direction système informatique) à Pôle emploi.

Au contraire, les Bac + 2 ont encore à apprendre de l’entreprise et vont intégrer les systèmes propres à la société. Il faut qu’ils mettent en avant l’envie de puiser dans l’expérience même de l’entreprise, de s’investir dans un projet qui servira à la société et d’évoluer avec elle. Ce sera noté par le recruteur.”
Le responsable souligne aussi l’importance d’un équilibre dans le recrutement. Les entreprises ont besoin de différents niveaux de formations. “Certains doivent mettre les mains dans le cambouis. Il faut en passer par des opérations de base. Or, les Bac + 4 et plus se lasseront très vite de ces tâches.”

Quant au salaire de l’informaticien, “à un niveau Bac + 2 :

  • la base s’échelonne entre 22 000 et 25 000 euros par an”, estime Régis Gramarolo.

Comme évolution possible, ces salariés peuvent devenir chef de projet, par exemple. “Cela dépend, mais il est possible d’atteindre un niveau cadre au bout de trois ans parfois.”
Pour ceux qui veulent gravir les échelons par la voie de la formation, il existe des opportunités par le biais d’une VAE (validation des acquis de l’expérience), d’un CQP (certificat de qualification professionnelle) de l’Afpa (Association pour la formation professionnelle des adultes) ou des Greta (groupements d’établissements pour la formation continue pour adultes).

Les Bac + 2 qui souhaitent rapidement intégrer le monde de l’entreprise peuvent aussi tenter l’alternance.

(1) Repères & analyses, études. Décembre 2011 - n° 34.   - Enquête réalisée par Chloé Goudenhooft  - 04/2013
 

  LA MORT DU SEO :
POURQUOI IL NE FAUT PAS Y CROIRE

                 SEO disparition             

Depuis quelques mois, il est à la mode d’annoncer la mort du référencement naturel. Dépassé par le succès des médias sociaux, supplanté par la publicité, entaché de malhonnêteté, le SEO serait en train d’agoniser, et deviendrait finalement inutile.

On ne sait d’où provient cet engouement pour prononcer l’oraison funèbre du référencement, mais les oiseaux de mauvais augure sont un peu trop rapides à annoncer son décès.

Si les filtres et modifications d’algorithme successifs chez Google ont dû pousser les référenceurs à modifier leurs méthodes, à affiner leurs techniques, c’est un peu normal : le SEO n’est une science figée.

Las d’observer ces vaines prédictions, le site spécialisé
SEOBook a réalisé une infographie reprenant les arguments des opposants au référencement. PureConcept l’a traduite en français.

On y retrouve une typologie des personnes annonçant la mort du SEO : entre les gourous des médias sociaux, les clients qui ont acheté des piètres prestations en référencement, les blogueurs ou bien encore les simples trolls, tout le monde est là !

Quelques figures célèbres représentant ces diverses catégories de personnes sont présentées, ainsi que leurs arguments et les (mauvaises) raisons qu’ils ont de penser que le référencement va mourir.

Ensuite viennent les contre-arguments. C’est clair et efficace !

Source : Anne-Laure Raffestin | 17 octobre 2012  http://www.blogdumoderateur.com

Infographie pour la voir de façon lisible, cliquez sur le lien suivant :

http://ressources.blogdumoderateur.com/2012/10/mort-du-seo.jpg

                                       

Homme et micro

Plein soleil pour le secteur des NTIC

Bonne nouvelle ! D’ici à 2015, 207 000 postes d’informaticiens sont à pourvoir, dont 149 000 créations et 58 000 départs en retraite.

Le secteur de l’informatique et de l’internet conserve des couleurs et reste créateur d’emplois.

Ses activités
emploient déjà plus de 700 000 personnes et les besoins sont importants, notamment dans les SSII (sociétés de services et d’ingénierie en informatique).

Aujourd’hui, l’informatique fait partie intégrante de notre vie quotidienne. Elle permet de faire circuler des informations, elle rend voitures et maisons intelligentes, elle permet de réaliser à distance des actes extrêmement délicats comme la microchirurgie.

Elle est présente dans tous nos
loisirs et son utilisation est devenue indispensable dans la vie de chaque citoyen comme dans la vie de chaque entreprise.

De plus, la jeune société n’est pas à cours d’imagination pour développer de nouveaux produits, et s’il est un domaine sans cesse en mouvement, c’est bien l’
informatique
Source : Conseil d'analyse stratégique.

Pour en savoir plus : http://www.meteojob.com/emploi-informatique/offres-emploi-informatique.html

FORMATION PROF. couleur

Centre de formation et de reclassement en informatique

Fragilisé dans votre emploi, vous pouvez rebondir et devenir Informaticien (ne) !

Lors d'un Plan Social, d'un PSE (Plan de Sauvegarde de l'Emploi) ou d'un CSP (Contrat de Sécurisation Professionnelle), les salariés qui perdent leur emploi ont le droit de suivre une formation qualifiante, financée et rémunérée, pour changer de métier.

Les salariés en poste ont aussi ce droit avec le
CIF (Congé Individuel de Formation).

En particulier, l'Informatique permet des reconversions complètes pour des personnes qui ne possèdent pas de diplôme technique, mais qui ont de la logique et de la motivation.

 http://www.gefi-sa.com/cif/csp.htm?gclid=CM_Nwt7YgLMCFcfKtAodz0oAFw

DOIGT TENDU vers ECRAN

Les DSI déploient des applications mobiles
pour les métiers

Mobilité : Le développement de la mobilité en entreprise favorise l’émergence de projets IT pour le mobile, pilotés principalement par la direction générale et la DSI.

Applications natives ou client Web, outils métiers ou transverses, utilisateurs ciblés, télédistribution ou App Store privé… ZDNet.fr a mené une étude auprès des entreprises. Les résultats.

Des déploiements pour smartphone et tablette
L’ouverture du système d’information des entreprises aux terminaux mobiles n’est pas en soi une
nouveauté pour les DSI. Toutefois, au-delà de cette ouverture, les responsables de systèmes d’information planchent également sur l’évolution de leur parc applicatif pour intégrer les usages mobiles.

Sur les 1.406 répondants de l’étude conduite par ZDNet.fr, 23% témoignent ainsi de déploiements d’applications mobiles en 2012 (à la fois Web et natives).

La finalité : fournir ainsi des outils compatibles avec les smartphones (76%), principalement
mis à disposition par les entreprises (44%), mais aussi les tablettes (69%).

A noter que
le BYOD est une réalité pour au moins 18% des répondants.

 

DEFINITION du WEB

Des applications Web pour 61% des projets

Les projets sur le mobile peuvent consister à rendre accessibles sur les terminaux nomades des applications existantes du système d’information. Pour s’affranchir, en partie, des questions de compatibilité, les DSI peuvent donc mettre l’accent sur les applications Web ou en mode SaaS.

61% des projets portent ainsi sur des applications Web, accessibles donc depuis un navigateur.

A ces clients Web s’ajoute le développement de clients lourds pour les appareils mobiles, c’est-à-dire des applications natives (55%). La complexité ici étant pour l’entreprise de gérer les changements de version des plates-formes mobiles du marché et l’hétérogénéité éventuelle de leur parc.

La direction générale premier pilote des projets mobiles

Si la direction générale, avec 50%, est présentée comme l’instigatrice en entreprise des projets d’applications mobiles, celle-ci travaille néanmoins de concert avec le service informatique, donneur d’ordre dans 47% des cas (question à choix multiples).

Les déploiements concernant pour une part importante des applicatifs métiers, les directions métiers jouent donc naturellement aussi un rôle dans ces projets (35%).

 

Des applications majoritairement pour des populations ciblées

Si 39% des projets de déploiement d’applications mobiles visent à équiper l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise, ces projets concernent néanmoins en majorité des populations ciblées d’utilisateurs, et en premier lieu ceux des fonctions commerciales. Un résultat qui n’est pas surprenant puisque ce sont les utilisateurs chez qui le taux d’équipement en terminaux mobiles (fournis par l’entreprise) est le plus élevé.

De même, les managers (28%) et membres de la direction générale (27%) sont les deux autres catégories les plus concernées par ces applications mobiles.

A ces utilisateurs s’ajoutent des salariés de l’entreprise dont la fonction les place quotidiennement en situation de mobilité (techniciens en intervention, consultants…).

FEMME devant ECRAN

Des applications d’abord au service des métiers

Le résultat est très net : les applications se destinent très majoritairement aux métiers (75%), c’est-à-dire destinées à permettre aux fonctions de l’entreprise (marketing, commerciale, finance…) de remplir leurs missions.

Les applications orientées organisation, c’est-à-dire transverses, sont elles moins critiques, bien que concernant néanmoins 35% des répondants.

Les outils commerciaux en priorité

Créateurs de valeur (et surtout de revenus) dans l’entreprise, ce sont les fonctions commerciales et marketing qui sont clairement privilégiées en termes d’outillage applicatif. Les applications métiers déployées auprès des utilisateurs sont donc des solutions de types CRM (40%) et de vente (38%).

Les métiers de la logistique, une fonction cruciale pour nombre d’entreprises, vont eux aussi bénéficier d’applications mobiles (35%).

Le décisionnel est lui aussi amené à trouver sa place dans le parc applicatif mobile des entreprises.

Cela s’explique par la part importante des projets destinés aux managers et à la direction générale, mais aussi aux fonctions commerciales, consommatrices de données pour leur pilotage.

 

La messagerie enrichie, une application incontournable

39% des projets de déploiement d’application mobile concernent l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise. Et parmi ces projets, la messagerie électronique, et ses fonctions périphériques, s’impose comme incontournable.

Ainsi, parmi les déploiements d’outils organisationnels, 80% portent sur la messagerie et les fonctionnalités qui lui sont rattachées comme le calendrier et le gestionnaire de contacts.

A ces applications transverses s’ajoutent des logiciels accessibles sur mobile de gestion des congés, des notes de frais, mais également des déplacements (rangés dans la catégorie autre application).

Android et iOS : les OS de prédilection

En termes de plates-formes retenues par les entreprises pour leurs projets d’applicatifs sur mobile, c’est (presque) sans surprise
Android et iOS qui s’imposent.

Avec une lueur d’espoir pour Microsoft, qui malgré la
part de marché très faible de Windows Phone, est cité par 25% des répondants.

Si les terminaux Apple ont trouvé
leur place dans l’entreprise, poussés généralement par les membres de la direction et les cadres, ce n’est néanmoins pas iOS qui s’affiche comme le premier OS cible des projets, à 54%, contre 62% pour Android. En cause, le modèle verrouillé de l’éditeur ?

PERSONNAGE et PINCEAU

Les boutiques privées d’applications émergent

La télédistribution, comme pour le déploiement classique d’applications sur le poste de travail, reste très nettement le mode retenu pour les applications mobiles natives. A noter néanmoins que 35% des répondants déclarent envisager la mise en place de boutiques d’applications privées de type App Store.

Pour 24% d’entre eux, l’accès aux applications (pas nécessairement développées en interne) se fera par le biais d’un App Store public. Un mode de distribution qui impose de composer avec les règles de ces boutiques. D’autres modes comme l’extranet sont cités parmi les autres réponses.

Sécurité et hétérogénéité : des contraintes fortes

Dans le cadre des projets d’applications mobiles, la sécurité (62%) et l’hétérogénéité des parcs de terminaux (45%) apparaissent clairement comme les deux principales contraintes.

Les entreprises peuvent en effet exploiter des appareils sous différents OS, ce qui pour des applications natives, imposent de développer deux clients logiciels distincts. Le choix d’applications en mode Web lève en partie cette contrainte.

La gestion du cycle de vie des applications est une autre contrainte forte (37%). Elle découle en grande partie des caractéristiques des grands OS mobiles, conçus pour le marché grand public.

Ainsi ces versions changent régulièrement et parfois en profondeur, ce qui influe directement sur la compatibilité des applications mobiles développées par ou pour les entreprises.

Source :Christophe Auffray -ZDNet France. 07/2012


 

 





































































































































































































































































































































 

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