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Découvrez l'actualité des entreprises qui recrutent ainsi que des astuces et des conseils pour optimiser votre CV et vos recherches d'opportunités ...
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Avis d'expert : Promis, cette fois les américains n'auront pas le dernier mot ! Comment ? Grâce à une arme, le Cloud souverain et à ses incarnations, Numergy et Cloudwatt.
Depuis, cela vire un peu façon Plan Calcul. Et ce n'est pas Jules-Henri Gavetti (Ikoula) et Olivier Rafal (PAC), embarqués dans la DeLorean de ZDNet.fr, qui diront le contraire.
Au départ, il y a une ambition politique : faire entrer la France dans l'économie du Cloud. Pas question de laisser une fois encore tout l'espace aux géants américains.
Développer une alternative française et européenne devient alors un "enjeu absolument majeur" affirmait en 2010 le premier ministre, François Fillon. Il en va de "la souveraineté de nos pays" ajoutait-il. Ce n'est pas rien.
Il faudra néanmoins plusieurs années encore pour qu'Andromède accouche, et de jumeaux qui plus est : Numergy et Cloudwatt. Avec son taux de natalité de 2,01, pas étonnant après tout si Marianne a mis au monde deux Cloud souverains en 2012.Numergy et Cloudwatt affichent très rapidement leur volonté de devenir grands.
Les nouveaux entrants du Cloud visent en effet 400 à 500 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2017.
C'est sans doute aussi ce que pense Orange, actionnaire de Cloudwatt à hauteur de 44,4%, et qui envisage désormais de racheter à l'Etat et à Thales leurs parts pour devenir le seul pilote à bord.
Axelle Lemaire préconisait elle la piste d'un rapprochement avec Numergy. Pourquoi alors avoir défendu en 2012 la création de deux acteurs ?
Pour lire la suite… http://www.zdnet.fr/actualites/retour-vers-le-futur-cloudwatt-le-souverain-descend-de-son-nuage-39813666.htm Source : Christophe Auffray | 28 Janvier 2015
Business : Vol stationnaire, système ultrason, trajectoires directes ; Hardis vient de déposer un brevet pour inventorier les stocks de dépôts avec un drone aux airs de chauve-souris. Son activité nocturne va révolutionner le métier, assure l’éditeur français.
Des RSE qui patinent, des projets de virtualisation qui prennent l’eau, des données qui fuitent ; et si la vrai transformation numérique des entreprises passait en fait par les drones ?
Le grenoblois Hardis Group, SSII et éditeur de logiciel de gestion de la logistique se lance dans l’aventure des drones inventoristes. Il vient de déposer un brevet qui protège un système embarqué qui automatise la réalisation des inventaires et des opérations de contrôle de stocks dans les entrepôts.
L’objectif : donner aux clients la possibilité d’effectuer un inventaire permanent des stocks présents dans ses entrepôts. Les bénéfices : moins de ressources nécessaires pour réaliser l’inventaire annuel, mais aussi la possibilité de repérer et de corriger les erreurs de stockage tout au long de l’année.
« L’idée vient de moi, je suis l’inventeur du brevet déposé » explique Stéphane Cadenet, directeur de projet. En septembre 2014, une équipe de trois personnes est formée pour développer dans le plus grand secret ce dispositif.
Caméra, code barre et ultra son
On y trouve d’une part une caméra qui lit un tag ou un code barre. Ensuite, un second système d’acquisition repère la position de l’élément dans l’entrepôt. « On identifie la position locative par la position relative de l’engin volant » explique Stéphane Cadenet. « Le positionnement du point de référence se calcule à l’aide de lasers ou d’un système avec effet Doppler (ndlr. ultra son, comme les chauves souris) ».
Un système original, car le GPS en espace confiné, ça ne marche pas. « En indoor, les armatures métalliques des entrepôts empêchent la réception du signal » détaille le directeur de projet. Enfin, un système de traitement de l’information, embarqué ou non, complète le dispositif.
Vers le pilotage automatique
« On s’appuie sur un drone du marché pour les phases de validation. Mais je suis a l’écoute de toutes les propositions, le système est conçu pour s’adapter à n’importe quel châssis » relève Stéphane Cadenet, qui précise que « la charge utile embarquée est de moins d’un kilo et demi ».
Pour lire la suite de l’article : http://www.zdnet.fr/actualites/logistique-les-bat-drones-vont-se-nicher-dans-les-entrepots-39813768.htm Source : Guillaume Serries | 28 Janvier 2015.
Pratique : La Business Intelligence s’impose progressivement dans les entreprises.
Mais la complexité de ce type de projet rend nécessaire une méthodologie précise pour éviter les échecs.
Déséquilibre entre DSI et direction métier, surdité quant aux besoins des utilisateurs, coûts de formation minimisés et économies de bout de chandelle font partie des erreurs à ne pas commettre.
Gartner estimait que le marché en croissance de la Business Intelligence valait plus de 14 milliards de dollars en 2013.
Le secteur est occupé par des généralistes des logiciels professionnels, comme Microsoft, IBM, SAP ou encore Oracle.
Mais des spécialistes de la Business Intelligence tels Tableau Software, QlikTech, Tibco Software et Information Builders tirent leur épingle du jeu, poussés par une demande toujours plus forte.
Ces dernières années, de nombreuses entreprises ont mis en place des plateformes de BI, la plupart du temps dans les DSI. Mais ces systèmes décisionnels ont tendance à être très centralisés, avec des rapports produits par les DSI à destination des analystes, détaille le Gartner. D’où une sous utilisation, et un retour sur investissement peu évident.
Bilan, les principaux avantages de la BI, c'est-à-dire les rapports paramétrables ou l’Olap, ne bénéficient pas aux directions métiers, principalement parce qu’ils sont considérés comme trop difficiles à utiliser par ces mêmes métiers.
Alors comment faire pour que la Business Intelligence sorte de ce carcan pour bénéficier véritablement aux directions fonctionnelles ?
Voici 5 erreurs à ne pas commettre pour faire avancer la cause BI dans votre entreprise.
Autoriser la DSI à investir sur une plateforme de Business Intelligence peut être une erreur majeure.
La DSI aura tendance à juger le projet opérationnel tant que ses indicateurs techniques seront au vert : stabilité, évolutivité, sécurité, crédibilité de l’éditeur ; votre solution de BI sera accessible ! Mais cela ne signifie pas que les fonctionnalités de l’outil seront utilisées pleinement.
A l’inverse, donner un contrôle exclusif de la solution de BI aux utilisateurs des directions métiers est un non-sens. C’est même une « erreur coûteuse », avertit Forrester Research. « Les systèmes de cloud laissent aux directions métiers la possibilité de faire ce qu’ils veulent, sans dépendre de la DSI » explique l’analyste. « mais ces solutions peuvent ne pas être sécurisée ou robustes, donc l’astuce consiste à trouver le juste équilibre ».
Ignorer les besoins des utilisateurs
L’inadéquation des fonctionnalités d’une solution de BI et des besoins des directions métiers est une des plus grandes erreurs que font les entreprises quand elles choisissent d’investir dans une plateforme.
Cela peut paraître évident, mais ce n’est en rien un sophisme. "Ces systèmes peuvent coûter des millions aux entreprises, pourtant parfois elles ne permettent pas de dégager de la valeur parce qu’il y a une inadéquation entre ce qui est acheté et les besoins des utilisateurs" explique le Gartner.
Pour éviter de tomber dans ce travers, il est vital de comprendre quels sont les besoins des utilisateurs en matière de reporting, et de s’assurer que la solution retenue propose les fonctionnalités idoines.
Sous-estimer les coûts de formation continue
Beaucoup d’entreprises dépensent leur budget consacré à la Business Intelligence sur les coûts de licence et quelques jours de formation pour les utilisateurs.
La vérité oblige à dire que les outils de Business Intelligence sont complexes, et nécessitent une maîtrise profonde, qui va au-delà de quelques heures de formation initiale. Le Gartner recommande la mise en place de plans de formation continue sur les outils de Business Intelligence.
Pour lire la suite : http://www.zdnet.fr/actualites/business-intelligence-5-erreurs-communes-a-esquiver-39813007.htm
Source : Guillaume Serries | 15 Janvier 2015 –
Aujourd’hui, plus d’un milliard de personnes dans le monde utilisent une application pour créer des présentations. Edouard Petit et Alexis Jamet ont eu cette folle idée en 2012 de se lancer dans la conception du premier prototype de Bunkr afin de concurrencer mais surtout d’améliorer PowerPoint, Keynote, Prezi et compagnie. http://www.jebossedansleweb.com
Nous sommes donc allés à la rencontre du Responsable Marketing de Bunkr, Edouard Petit, afin d’en savoir plus sur sa start-up, ses projets, son parcours, mais aussi l’avenir de Bunkr et les futurs profils recherchés. En savoir plus Source : 01/2015 - http://www.lesjeudis.com
Quelles sont les tendances qui se dessinent pour la nouvelle année ?
Les tendances design 2014 vont-elles être révolues ?
Découvrez les 10 tendances web design de 2015 par Philippe Rondepierre.
http://fr.slideshare.net/philipperondepierre37/web-designtendances2015-38916551
http://fr.slideshare.net/philipperondepierre37/presentations
http://www.jebossedansleweb.com
Quelles formations pour le Big Data ?
4,4 millions crées d'ici à 2015. C'est ce que prévoit le cabinet Gartner pour le secteur du Big Data, en pleine expansion. Avec, à la clé, de nouveaux métiers et de nouvelles formations.
Source du 5/01/2015 - Pour lire la suite : http://www.lesjeudis.com
Attentes des clients, communication, innovation... Les entreprises n'ont d'autre choix que de se réinventer face à la révolution digitale. Sans quoi, elles sont vouées à disparaître. > Lire la suite
Source : - Maëlle Becuwe http://www.ecommercemag.fr/
Orange, premier employeur du digital en France ouvre dès cet automne 2014 deux parcours gratuits d’apprentissage collaboratif en ligne, destinés au grand public pour découvrir les opportunités professionnelles du digital et se former aux métiers du numérique.
Ces deux MOOC, premiers opus d’une initiative thématique inédite, vont permettre au plus grand nombre de découvrir, de se former et de mieux saisir les opportunités professionnelles qu’offre le digital. Ils seront disponibles sur Solerni, la plateforme de social learning par Orange.
Qu'est ce qu'un Mooc ?
Un « MOOC » est un parcours d’apprentissage en ligne au cours duquel de nombreux participants interagissent et partagent leurs compétences.
« Massive » signifie que ce parcours peut regrouper un nombre illimité de participants,
« Open » montre qu’il être ouvert à tous, quels que soient sa situation géographique et ses connaissances antérieures,
« Online » annonce qu’il se déroule en ligne,
« Course » indique qu’il possède un début, une fin et un programme.
Comment s'inscrire ?
La participation à l’un de ces deux parcours de formation collaboratif en ligne permettra d’obtenir un badge remis par Orange. En complément, des animations ludiques rythmeront le parcours des apprenants et permettront de remporter des lots.
Le grand public peut dès maintenant s’inscrire au parcours de son choix :
Myriam KISS. Anild 07/2014
Actualités TELECOMMUNICATIONS
L'Autorité de régulation des télécommunications (Arcep) a publié, le 10 juillet 2014, les cartes des couvertures 2G, 3G et 4G des opérateurs mobiles français.
Cet état des lieux met en évidence l'avance de Bouygues Télécom sur le très haut débit mobile, avec 70% de la population couverte (22% du territoire) en 4G.
Orange arrive juste après, avec 66% de la population et 18% du territoire couverts.
L'Arcep souligne que les cartes 4G publiées par Bouygues et Orange présentent "un bon niveau de fiabilité" par rapport aux vérifications opérées sur place.
Cette fiabilité est " en revanche plus faible" pour les cartes de SFR - l'opérateur couvre, selon l'Arcep, 30% de la population (1,7% du territoire) - et de Free Mobile (24% des Français et 1,5% du territoire couvert). "Ces deux opérateurs ont dont corrigé les cartes 4G qu'ils publient" dit l'Arcep.
Pour conserver leur licence, les opérateurs devront prouver, fin 2015, qu'ils couvrent au moins 25% de la population.
Myriam KISS. Anild 07/2014
Chiffres : Pôle Emploi ne s’attend pas en 2014 à une reprise des embauches de cadres dans l’informatique avec des projets de recrutement en recul par rapport à 2013 (déjà une année de baisse).
Pour les ingénieurs télécoms et les techniciens en informatique, la situation sera plus favorable.
Les activités informatiques, et en particulier les sociétés de services, constituent les principaux employeurs d’informaticiens. Et même si Syntec Numérique veut croire à une reprise en 2014, sur le front de l’emploi, cette prévision ne se confirme pas.
D’après l’édition 2014 de l’enquête annuelle Besoins en main d’œuvre (BMO) de Pôle Emploi, le nombre de projets d’embauche dans la catégorie « Ingénieurs, cadres études & R&D informatique » est en très net repli cette année. Une baisse déjà observée en 2013.
Plus de 3.000 projets d'embauches de cadres en moins
Ces métiers se classent même à la 4e place dans la liste des 15 métiers qui enregistrent les plus fortes variations à la baisse en 2014.
Par rapport à l’année dernière, ce sont en effet 2029 recrutements potentiels qui se sont volatilisés (24.636 en 2014, contre 26.665 en 2013).
Pôle Emploi enregistre 1214 projets d’embauche en moins dans les métiers des « Ingénieurs et cadres d'administration, maintenance informatique. »
Pourtant, les entreprises du secteur des « activités informatiques » sont 23,4%, autant qu’en 2013, à signaler des projets en termes d’emploi. Toutefois, ces sociétés n’embauchent pas uniquement des professionnels de l’IT.
Du mieux du côté des techniciens
Dans les métiers des télécoms, l’amélioration est significative par rapport à 2013 avec cette année 3227 projets de recrutements pour les « ingénieurs et cadres des télécommunications » - contre 2357 en 2013.
Toutefois, le numérique n’emploie pas seulement des cadres.
Or pour les employés et techniciens, les entreprises semblent moins réticentes à recruter (« Employés et opérateurs en informatique » et « Techniciens production et exploitation de systèmes d'information »).
Une exception cependant, avec un recul des projets pour « Techniciens d'études et développements en informatique (y.c. webmasters ) ». Source : Christophe Auffray | 10 Avril 2014
Pour en savoir plus :
http://www.zdnet.fr/actualites/les-projets-d-embauche-de-cadres-dans-l-informatique-reculent-39799793.htm
Technologie : Une mise à jour poussée par Google permet d'effectuer un contrôle des applications stockées dans un terminal, à l'installation mais pas seulement.
Première plate-forme pour smartphone, Android est logiquement l'OS mobile le plus attaqué.
Il est d'ailleurs considéré par certains experts comme le plus vulnérable même si le principal vecteur de risque se situe dans les applications.
Les applis provenant de markets alternatifs sont évidemment les plus à risque.
Mais au sein du Google Play, il n'est pas rare que des applications malveillantes passent entre les mailles du filet.
Face à ses risques, Google tente depuis longtemps déjà d'appliquer des mesures de protection notamment lorsque les applications sont publiées dans le Google Play en vérifiant leur conformité.
Le moteur annonce d'ailleurs aujourd'hui un renforcement de ces mesures à travers une mise à jour.
Désormais, outre une analyse lors de la publication, un scan sera effectué en continu sur le système, à leur installation et de manière régulière. Si l'application se révèle à un moment piégée, l'utilisateur recevra une alerte.
Cette nouvelle fonction est activée via une mise à jour du Google Play et est compatible avec tous les terminaux Android à partir de la version 2.3. A lire - Android : 31 suites de sécurité comparées
AV-Test.org vient de publier la dernière version de son comparatif sur les suites de sécurité pour Android.
Si la très large majorité est plébiscitée par l'institut spécialiste de la sécurité, il faut chercher dans les fonctionnalités pour l'entreprise les éléments de différenciation. Les tests ont été conduits entre mars et avril 2014.
Evidemment, toutes les applications n'ont pas été testées par AV-Test.org. Certains éditeurs critiquent la méthodologie ou refusent de coopérer. Lookout et AVG notamment, dont les logiciels sont très bien notés dans le Play Store. Cela dit, le comparatif donne une vision intéressante des principales suites logicielles et de leurs fonctionnalités et performances. Source : La rédaction de ZDNet.fr | 11 Avril 2014
http://www.zdnet.fr/actualites/android-31-suites-de-securite-comparees-39799575.htm
http://quiz.itespresso.fr/connaissez-vous-bien-orange--56-0-0.html Source : ww.itespresso.fr -26/02/2014 T.Deschamps
Quelles sont les grandes tendances ?
Jeudi 23 janvier 2014, le programme Orange Fab Silicon Valley s’est déporté à Paris pour présenter le nom des sept start-up lauréates de sa deuxième édition. Il s’agit d’un programme de networking visant à accélérer le développement de jeunes pousses que l’opérateur considère comme innovantes.
La sélection a été intense : 100 candidatures reçues, 30 sociétés retenues et finalement sept finalistes.
Ce programme « accélérateur » s’étend sur 12 semaines. Au menu : séances de mentorat bi-hebdomadaires avec des entrepreneurs, des investisseurs, des ingénieurs et des designers expérimentés de la Silicon Valley. Chaque start-up, qui a intégré ce cercle, restreint pourra également bénéficier d’un financement d’un montant de 20 000 dollars et travailler dans les locaux d’Orange Silicon Valley.
Ces projets ayant tapé dans l’oeil s’inscrivent dans des domaines comme le cloud, la gestion de données clients ou l’agrégation de contenus vidéo.
Enclenché en mars 2013, le programme Orange Fab s’étend dans le monde : les déclinaisons pour la France et l’Asie seront lancées « dans quelques mois ». Tandis qu’en Pologne et en Israël, le premier appel à candidatures s’apprête à être lancé.
« Orange Fab incarne notre ouverture à de nouvelles pratiques de collaboration qui simplifient et intensifient nos liens avec les entreprises innovantes », déclare Elie Girard, Directeur exécutif, Stratégie et Développement du groupe, cité dans le communiqué.
Source : http://www.itespresso.fr/ Le 29/01/2014
ROAMING
Business : Très critique vis-à-vis des tarifs d’itinérance pratiqués par les opérateurs, la commissaire européenne Neelie Kroes prévoyait une importante baisse de prix. Finalement, selon Reuters, celle-ci n’aura pas lieu.
Kroes renonce à réduire les frais d'itinérance
Neelie Kroes, la commissaire européenne aux télécommunications, a renoncé à un projet qui aurait réduit les frais d'itinérance de 90% au plus, montre un document de la Commission européenne dont Reuters a eu connaissance.
Ce projet, qui aurait diminué les prix de gros que des opérateurs télécoms acquittent pour accéder aux réseaux de leurs concurrents, était au coeur de son intention de créer un marché unique des services de télécommunications dans l'Union européenne.
Par ce biais, la CE entendait créer de l'emploi, doper la compétitivité de l'UE et aider l'Europe à rattraper les Etats-Unis et l'Asie dans les réseaux mobiles et à haut débit.
Suivant un projet précédent, N.Kroes proposait un plafond de trois centimes par minute pour les appels vocaux de juillet 2014 à juin 2022, soit une réduction de 70% sur le plafond de 10 centimes entré en vigueur en juillet 2013.
Elle voulait aussi ramener le plafond pour les données à 1,5 centimes par mégaoctets contre 15 centimes actuellement.
Le dernier projet consulté par Reuters ne fait plus mention de la question.
Selon des sources proches du dossier, les patrons d'Orange , Telecom Italia, Telefonica, ainsi qu'un responsable de Deutsche Telekom ont rencontré N.Kroes fin juillet 2013 pour lui exprimer leurs préoccupations vis-à-vis de ses intentions.
Sources : 28/08/2013
*http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/reuters-00545521-kroes-renonce-a-reduire-les-frais-d-itinerance-598807.php
*http://www.zdnet.fr/actualites/cout-de-l-itinerance-bruxelles-renonce-a-faire-baisser-fortement-les-prix-39793487.htm
Sécurité : Tous les accès corrompus au réseau maillé TOR l'ont été grâce à une faille du TOR Bundle exploitée sur Windows. Une solution : switchez, affirme l'équipe derrière TOR.
Billet de blog en forme de recadrage pour TOR, qui démolit au passage quelques-unes des affirmations qui ont été faites - et lui portent préjudice - ces derniers jours suite à la révélation de l'infiltration par le FBI de Freedom Hosting, l'un des principaux fournisseurs de services "cachés" basés sur le réseau en oignon.
Pas content, TOR, qu'on vienne parler de "torsploit", terme de fait abusif puisque c'est la version 17 ESR de Firefox, utilisée dans le Bundle TOR, qui a été affectée. De plus, celle-ci a été patchée depuis juin 2013 par Mozilla. Mettez à jour, fermez le ban.
Code d'attaque spécifique à Windows
Les logiques habituelles de sécurité s'appliquent donc : mise-à-jour régulière pour profiter des corrections de vulnérabilités, vérification de la version installée, revérification de la version installée. "En principe, tous les utilisateurs des Bundles TOR plus anciens que les [version patchées] sont vulnérables." Voilà qui est rappelé.
Sauf, précise TOR, que dans les faits, "il semble que seuls les utilisateurs de Windows avec une version de Firefox vulnérable ont réellement été touchés par cette attaque".
Les autres n'ont pas été visés, même si la vulnérabilité Javascript est présente sur toutes les plateformes. "Le code d'attaque est spécifique à Windows", conclut donc TOR.
Outre la mise-à-jour et la revérification, l'équipe propose de désactiver Javascript et promet une configuration plus simple des options Javascript dans une prochaine version du Bundle. Enfin, "songez à passer à une approche "live system" comme Tails".
Abandonner Windows ?
En clair ? Abandonnez Windows pour aller sur GNU / Linux.
Si ça n'est pas dit aussi clairement par TOR, la proposition de passer à un système sur live-CD ou clé USB interdit de fait l'OS de Microsoft ou Mac OS X. Tails est un exemple de distribution particulièrement orientée sécurité et anonymat.
Sympathique perspective, mais parfois impossible. Pour des raisons professionnelles, d'utilisation d'applications précises - non, Wine ne résout pas TOUS les problèmes ! - on est parfois bel et bien enchaîné à Windows.
D'autres actions s'avèrent donc toujours utiles, même si elles restent très génériques : pare-feux, adresse MAC aléatoire, voire utilisation de machines virtuelles sont toujours des solutions intéressantes pour limiter les risques.
Source : ZDNet.fr | 09 Août 2013 http://www.zdnet.fr/actualites/tor-vous-etes-sur-windows-switchez-39793124.htm
Pour en savoir plus – 08/2013 : Tor security advisory: Old Tor Browser Bundles vulnerable
Le cloud et la virtualisation sont deux technologies qui modifient en profondeur l’aspect et la performance du centre de données. Deux tendances de fond qui, avec un débit interne et externe en croissance, révolutionnent les usages de la DSI.
Qu’il soit dans une salle dédiée sur un site industriel, piloté à distance chez un infogéreur, ou dans une seule baie à l’arrière d’un open space, le centre de données de toutes les entreprises évolue sous l’impact de nouvelles technologies qui proposent une rationalisation des coûts et des moyens. Mais qui prennent aussi en compte la croissance naturelle des volumes de données gérés dans les entreprises.
Judicieusement mises en oeuvre, ces technologies promettent manageabilité, ouverture et irrigation du centre nerveux de l’IT de l’entreprise.
Différentes générations de serveurs physiques hébergeant des applications parfois ancestrales (mais toujours efficaces), différentes instances de stockage (disque, cartouche, bande) correspondant à des stratégies de sauvegarde et d’archivage ; réplication sur site distant des données ; le centre de données présente avec le temps une hétérogénéité matérielle et logicielle qu’il est nécessaire de prendre en compte pour rester performant.
La virtualisation des OS serveurs et des instances de stockage permet de rationaliser la puissance et le volume de stockage de l’ensemble des outils du datacenter. Mais surtout, il est désormais possible de positionner au-dessus des outils virtualisés et des outils physiques une couche de gestion globale.
Elle permet de gérer et superviser depuis une seule plateforme les applications et le stockage de l’ensemble du centre de données, faisant fi de l’hétérogénéité logicielle et matérielle.
Équipé de cet outil, le datacenter devient véritablement un cloud privé, avec toute la souplesse de gestion promise. Une tendance à la hausse puisque déjà en 2010, une étude Cisco avertissait qu’un tiers des professionnels de l’IT déclaraient que plus de 50% des données et des applications de leur entreprise seraient hébergées dans des clouds privés d’ici à 2013.
Un datacenter de plus en plus ouvert
Mais quid de la souplesse en matière de puissance et de volume de stockage ? Une nouvelle application, une nouvelle base client, une opération de marketing en ligne, etc. L’installation d’une nouvelle machine dans le datacenter va vite devenir nécessaire.
À moins de profiter des possibilités offertes par le cloud computing, soit la connexion à la demande de nouvelles ressources, depuis un prestataire spécialisé (Microsoft, Amazon ou encore Google pour ne citer que les plus gros) ou un infogéreur qui dispose de sa propre infrastructure.
Cisco prédisait en 2010 que 85% des professionnels IT français envisageaient de mettre une partie des données et des applications de leur entreprise dans un cloud public ou privé d’ici 2013.
« L’avenir du Cloud est nécessairement hybride » insiste Jérôme Trédan, directeur des produits serveurs et plateformes de cloud computing de Microsoft France. Et pour se faire, les technologies des différents prestataires se doivent d’assurer l’interopérabilité des différents systèmes. Au client de s’assurer de ce fait avant de s’engager.
D’ou une tendance de plus en plus nette dans les DSI à la montée en compétence sur la négociation des contrats avec les prestataires. Le coût du Go stocké et transmis devient non seulement un critère d’optimisation de son propre centre de données, mais aussi un indicateur du prix des contrats passés avec des opérateurs de cloud, tout en prenant garde aux SLA qui garantissent eux la qualité de la prestation.
Un datacenter de plus en plus irrigué
Enfin, il faut noter que le prix de cette ouverture se remarque également au niveau des réseaux qui connectent les centres de données. La croissance du volume de données qui transitent entre les clients et les datacenters et entre les datacenters, explose véritablement.
Déjà en 2009, une étude IBM précisait que 40% des entreprises souhaitaient investir dans des solutions réseaux pour accéder à des environnements cloud.
Fibre optique et utilisation de réseaux redondants d’opérateurs de télécommunication sont en passe de devenir la norme industrielle en la matière, et le positionnement géographique d’un nouveau centre de données doit prendre en compte la proximité de ces autoroutes numériques.
Mais c’est aussi dans le datacenter que les débits gagnent en volume. Au cœur du serveur, mais aussi entre celui-ci et les instances de stockage, de nouveaux protocoles de communication, comme le FcoE (Fibre Channel over Ethernet), sont en passe de remplacer les protocoles actuels.
Le point de vue de Microsoft : utilisés avec le niveau d’expertise requis, virtualisation, cloud computing et gestion des réseaux peuvent permettre d’accroître l’efficacité des datacenters. En savoir plus sur les outils Microsoft de gestion des centres de données.
Source : 18/06/2013 - Guillaume Serries - ZD Net.fr
Décisions IT : Donné pour mort à plusieurs reprises, le DSI, et plus généralement la fonction IT des entreprises, n’a pas disparu. Pour répondre aux exigences de réactivité, de coûts et de qualité de service, la DSI a entrepris une transformation et repensé sa relation avec les métiers. Témoignages de DSI.
DSI, directions générales et métiers peinent parfois encore à se comprendre. Et la frustration est donc encore souvent au rendez-vous. Manque de chance, peut-être, ces derniers doivent bien pourtant travailler de concert. Mais y apporter des remèdes n’est pas forcément chose aisée pour la DSI.
« L’informatique, c’est des contraintes. On ne peut pas toujours dire oui. On ne peut pas toujours répondre pleinement aux attentes, en termes de délais notamment. Néanmoins, cette frustration nous devons la prendre en considération et nous mettre à l’écoute des métiers pour devenir de vrais partenaires […] Les idées des métiers, il faut les mettre en œuvre » résume Xavier Courchinoux, DSI d’Oscaro.com.
« La fonction DSI est dans un misérabilisme permanent »
Une chose est sûre, la DSI doit définitivement tirer un trait sur le passé, et oublier cette époque, « il y a 25 ans, où elle imposait tout à tout le monde et où la gestion du changement n’était même pas dans les projets » se rappelle, sans nostalgie, Cécile Botalla, DSI de la Mutuelle Générale.
Sa transformation, la DSI, si elle ne l’a pas déjà faite, elle doit l’entreprendre. Et ce sous la pression, aussi bien en interne, qu’en externe.
« On nous demande de la réactivité, de la qualité de service, de la disponibilité, et aussi de la réduction de coûts. L’informatique est aussi vue comme un poste de coûts. Et par ailleurs, beaucoup de gens tournent autour des métiers. J’ai vu des présentations de grands prestataires de services qui leur promettaient de faire de l’informatique sans leur direction informatique. Un discours comme celui-ci, cela les fait rêver, et je le comprends » illustre Cécile Botalla.
Mais frustration, contraintes opérationnelles et attentes des métiers ne doivent pas pousser au fatalisme selon Christophe Leray, DOSI du PMU. « La fonction DSI est dans un misérabilisme permanent consistant à se replier sur elle-même […] Nous sommes dans un vocabulaire négatif. Nous posons de la contrainte. Il y en a c’est évident, mais pour autant nous avons un vrai travail à mener pour vendre ce que nous faisons et nous positionner, non pas sur des prés carrés, mais sur de la valeur » s’agace-t-il.
« Il y a de la valeur à apporter du conseil, de l’accompagnement auprès de métiers qui n’entendent absolument rien à ces sujets et sur lesquels nous allons pouvoir leur apporter du service et montrer que nous délivrons de la valeur, y compris dans le domaine de la sécurité que je ne considère nullement comme une contrainte » précise-t-il.
« L’unité de temps est la base globale de nos relations avec les métiers »
La peur des prestataires court-circuitant l’IT interne n’est pas non plus justifiée, défend Christophe Leray, pour qui, au contraire, la DSI a, là aussi, une valeur à apporter. « La fonction IT a aussi la capacité à appréhender les technologies et à jouer le rôle de médiateur entre le métier et les prestataires afin de transformer un slideware qui vend du rêve en une réalité. »
Evacuée donc la question de savoir si oui ou non la fonction IT a toujours sa place. Place aux solutions et aux pistes de transformation. Mais sur ce point, finalement, la grande orientation, opérée ou à entreprendre, n’est pas si nouvelle : un rôle d’intégrateur.
« Nous sommes beaucoup un intégrateur dans notre métier de l’assurance santé avec de l’intégration de progiciels métier et cœur de métier avec des progiciels de relation clients et de BI.
Hormis les sites Internet, notre travail c’est donc principalement de l’intégration, de l’architecture, de l’assemblage » confirme Cécile Botalla.
Et ce rôle de la DSI influe directement sur les recrutements. « J’ai recruté beaucoup d’architectes, et surtout des architectes techniques, mais aussi des analystes et concepteurs au niveau applicatif, c’est-à-dire des personnes capables de comprendre ces logiciels et leurs interactions. Je ne vais pas recruter en masse du développeur. Ce n’est pas mon cœur de métier » indique la DSI de la Mutuelle Générale, dont le département compte aussi des salariés chargés du suivi et du pilotage des services fournis par les prestataires, dont sa messagerie en mode SaaS.
Autre attente principale des métiers : la réactivité ou la notion d’unité de temps. « Chez nous l’unité de temps est la base globale de nos relations avec les métiers. Et l’unité de temps n’est pas la même en fonction des métiers.
Or pour passer dans une relation de partenariat avec les métiers, il faut non seulement parler le même langage, mais surtout aussi parler dans le même temps » insiste Laurent Rousset, DOSI de Celio.
« La DSI ne rase plus les murs »
Pour répondre à cette problématique, l’organisation de la direction informatique de Celio a donc été repensée : « Nous avons des grands projets où les gens ont des temps longs. Nous avons des projets plus saisonniers avec du moyen terme. Et enfin nous avons du trend. Là on ne peut pas dire oui mais. Il faut produire […] Le principe c’est une semaine, un métier, un projet » décrit-il. Cela n'est pas allé sans casse avec un turnover de 50% à la DSI.
Des méthodes de fonctionnement moins de rupture existent aussi, dont les méthodes agiles pour le développement. « Notre objectif était de réduire les délais. C’est passé par la méthode agile, mais aussi par une interaction extrêmement rapide entre ceux qui connaissent le système et comment le faire évoluer et ceux qui créent le besoin.
Aujourd’hui le marketing et l’IT sont en point tous les matins pour guider les développements, et toutes les deux semaines une nouvelle version sort » témoigne Christophe Leray.
Et pour Antoine de Kerviler, DSI de Corsair, la transformation et le rapprochement avec les métiers est un scénario gagnant-gagnant. « La première fois que nous avons dit dans un comité de pilotage de projet qu’on livrerait l’application le 24 octobre, tout le monde a rigolé. A la date annoncée, nous avons livré l’application et on a cessé de rire » se souvient-il.
« Et à partir du moment où on l’a fait une fois, deux fois, trois fois, on commence à instaurer les conditions d’une confiance […] On recrée de la confiance, de la fierté dans les équipes de la DSI, et dès lors il est plus facile d’aller faire des propositions à nos collègues dans d’autres directions [...] La DSI ne rase plus les murs » poursuit-il.
Propos recueillis le 17 avril 2013 à l'occasion de la matinée de remise du référentiel des pratiques SI organisée par l'EBG
Source : Christophe Auffray | 05 Juin 2013 http://www.zdnet.fr
A télécharger : http://www.zdnet.fr/livre-blanc/entreprise-cloud-et-datacentre-22388542.htm
http://www.zdnet.fr/livre-blanc/entreprises-infrastructures-informatiques-datacentre-construire-ou-louer-de-l-rsquoespace-22388521.htm
http://www.zdnet.fr/livre-blanc/l-erp-un-levier-strategique-pour-le-developpement-de-l-entreprise-industrielle-21201044.htm
Créé en 2007 par Véronique et Julien DAVAL, le Club est totalement indépendant permettant aux Décideurs informatiques d’être plus performants dans leur métier. Echanges, informations pertinentes et objectives sont au rendez-vous. Accéder au site du Club Décision DSI http://www.clubdecisiondsi.com/
Que vous soyez professionnel nomade ou simple touriste, l’utilisation de la data à l’étranger reste un luxe, chèrement tarifé. Pourtant, accéder à Internet, à ses emails ou à ses données est aujourd’hui presque indispensable…
Comment expliquer le coût du roaming ? Quels sont les moyens de payer moins cher ? Quels sont les bons plans pour vos prochains voyages en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie ?
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Dossier : Mise à part la nouvelle offre de SFR, les tarifs pratiqués par les opérateurs pour consommer de la data à l'étranger restent prohibitifs malgré la pression exercée par Bruxelles, dont l'objectif est de ramener ces tarifs au même niveau que les prix domestiques.
Mi-février 2013, SFR a créé l’événement en annonçant le lancement d’une option à 5 euros par jour donnant accès à 100 Mo de data en Europe et dans les DOM, pour le grand public, ainsi qu’aux Etats-Unis pour les entreprises. Un tarif enfin raisonnable qui soulagera sans aucun doute nombre de professionnels globe-trotters.
Les plus économies d’entre eux, qui auraient souscrit aux offres RED, sont un peu moins bien lotis mais pas complètement oubliés : l’opérateur vient de lancer un pack à leur intention ; il offre 100 Mo de trafic données pour une semaine en Europe et DOM, 30 minutes d’appel et 30 SMS, pour 9 euros. SFR propose même le double pour 15 euros.
Mais cette offre est également l’occasion d’une douloureuse piqure de rappel : le roaming coûte cher, honteusement cher, au point de constituer un véritable luxe. Mais un luxe qui n’a rien d’optionnel pour les professionnels et, notamment, les indépendants, qui ont un besoin impérieux de garder un contact efficace avec leurs collègues et leurs clients, y compris lors de leurs déplacements.
Ecarts de prix malgré des tarifs régulés par Bruxelles
Pour se convaincre de l’indécence des tarifs, un petit tableau suffit à résumer la situation, ici en zone Europe. Et c’est encore là que le mal est moindre : les tarifs sont régulés par Bruxelles qui impose aux opérateurs une baisse régulière de leurs tarifs avec pour objectif d’effacer, à terme, les surcoûts par rapport aux tarifs data domestiques.
En dehors de la zone Europe, les tarifs vont jusqu’à exploser avec, par endroit, un mégaoctet facturé rien moins que 13,30 euros !
Comment expliquer de tels prix ? La réponse des opérateurs éclaire quelque peu sur un marché qui brille par son opacité. Des explications qui, toutefois, ne consoleront en rien les budgets des professionnels. Ceux-là devront chercher des alternatives avec carte SIM de spécialistes de l’itinérance internationale, offre prépayée locale ou encore recours aux réseaux Wi-Fi. A la clé, des contraintes organisationnelles fortes mais des économies pouvant être très conséquentes.
Valery Marchive | Mardi 28 Mai 2013
Le secteur se divise en trois grandes familles d’emploi, selon la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques).
(1) Repères & analyses, études. Décembre 2011 - n° 34. - Enquête réalisée par Chloé Goudenhooft - 04/2013
Depuis quelques mois, il est à la mode d’annoncer la mort du référencement naturel. Dépassé par le succès des médias sociaux, supplanté par la publicité, entaché de malhonnêteté, le SEO serait en train d’agoniser, et deviendrait finalement inutile.
On ne sait d’où provient cet engouement pour prononcer l’oraison funèbre du référencement, mais les oiseaux de mauvais augure sont un peu trop rapides à annoncer son décès.
Si les filtres et modifications d’algorithme successifs chez Google ont dû pousser les référenceurs à modifier leurs méthodes, à affiner leurs techniques, c’est un peu normal : le SEO n’est une science figée.
Las d’observer ces vaines prédictions, le site spécialisé SEOBook a réalisé une infographie reprenant les arguments des opposants au référencement. PureConcept l’a traduite en français.
On y retrouve une typologie des personnes annonçant la mort du SEO : entre les gourous des médias sociaux, les clients qui ont acheté des piètres prestations en référencement, les blogueurs ou bien encore les simples trolls, tout le monde est là !
Quelques figures célèbres représentant ces diverses catégories de personnes sont présentées, ainsi que leurs arguments et les (mauvaises) raisons qu’ils ont de penser que le référencement va mourir.
Ensuite viennent les contre-arguments. C’est clair et efficace !
Source : Anne-Laure Raffestin | 17 octobre 2012 http://www.blogdumoderateur.com
Infographie pour la voir de façon lisible, cliquez sur le lien suivant :
http://ressources.blogdumoderateur.com/2012/10/mort-du-seo.jpg
Bonne nouvelle ! D’ici à 2015, 207 000 postes d’informaticiens sont à pourvoir, dont 149 000 créations et 58 000 départs en retraite.
Le secteur de l’informatique et de l’internet conserve des couleurs et reste créateur d’emplois.
Ses activités emploient déjà plus de 700 000 personnes et les besoins sont importants, notamment dans les SSII (sociétés de services et d’ingénierie en informatique).
Aujourd’hui, l’informatique fait partie intégrante de notre vie quotidienne. Elle permet de faire circuler des informations, elle rend voitures et maisons intelligentes, elle permet de réaliser à distance des actes extrêmement délicats comme la microchirurgie.
Elle est présente dans tous nos loisirs et son utilisation est devenue indispensable dans la vie de chaque citoyen comme dans la vie de chaque entreprise.
De plus, la jeune société n’est pas à cours d’imagination pour développer de nouveaux produits, et s’il est un domaine sans cesse en mouvement, c’est bien l’informatique !
Source : Conseil d'analyse stratégique.
Pour en savoir plus : http://www.meteojob.com/emploi-informatique/offres-emploi-informatique.html
Fragilisé dans votre emploi, vous pouvez rebondir et devenir Informaticien (ne) !
Lors d'un Plan Social, d'un PSE (Plan de Sauvegarde de l'Emploi) ou d'un CSP (Contrat de Sécurisation Professionnelle), les salariés qui perdent leur emploi ont le droit de suivre une formation qualifiante, financée et rémunérée, pour changer de métier.
Les salariés en poste ont aussi ce droit avec le CIF (Congé Individuel de Formation).
En particulier, l'Informatique permet des reconversions complètes pour des personnes qui ne possèdent pas de diplôme technique, mais qui ont de la logique et de la motivation.
http://www.gefi-sa.com/cif/csp.htm?gclid=CM_Nwt7YgLMCFcfKtAodz0oAFw
La Caf recrute en CDI-CDD Offres emploi en expertise, conseil et gestion Systèmes Information www.lacafrecrute.fr
Mobilité : Le développement de la mobilité en entreprise favorise l’émergence de projets IT pour le mobile, pilotés principalement par la direction générale et la DSI.
Applications natives ou client Web, outils métiers ou transverses, utilisateurs ciblés, télédistribution ou App Store privé… ZDNet.fr a mené une étude auprès des entreprises. Les résultats.
Des déploiements pour smartphone et tablette
L’ouverture du système d’information des entreprises aux terminaux mobiles n’est pas en soi une nouveauté pour les DSI. Toutefois, au-delà de cette ouverture, les responsables de systèmes d’information planchent également sur l’évolution de leur parc applicatif pour intégrer les usages mobiles.
Sur les 1.406 répondants de l’étude conduite par ZDNet.fr, 23% témoignent ainsi de déploiements d’applications mobiles en 2012 (à la fois Web et natives).
La finalité : fournir ainsi des outils compatibles avec les smartphones (76%), principalement mis à disposition par les entreprises (44%), mais aussi les tablettes (69%).
A noter que le BYOD est une réalité pour au moins 18% des répondants.
Les projets sur le mobile peuvent consister à rendre accessibles sur les terminaux nomades des applications existantes du système d’information. Pour s’affranchir, en partie, des questions de compatibilité, les DSI peuvent donc mettre l’accent sur les applications Web ou en mode SaaS.
61% des projets portent ainsi sur des applications Web, accessibles donc depuis un navigateur.
A ces clients Web s’ajoute le développement de clients lourds pour les appareils mobiles, c’est-à-dire des applications natives (55%). La complexité ici étant pour l’entreprise de gérer les changements de version des plates-formes mobiles du marché et l’hétérogénéité éventuelle de leur parc.
La direction générale premier pilote des projets mobiles
Si la direction générale, avec 50%, est présentée comme l’instigatrice en entreprise des projets d’applications mobiles, celle-ci travaille néanmoins de concert avec le service informatique, donneur d’ordre dans 47% des cas (question à choix multiples).
Les déploiements concernant pour une part importante des applicatifs métiers, les directions métiers jouent donc naturellement aussi un rôle dans ces projets (35%).
Des applications majoritairement pour des populations ciblées
Si 39% des projets de déploiement d’applications mobiles visent à équiper l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise, ces projets concernent néanmoins en majorité des populations ciblées d’utilisateurs, et en premier lieu ceux des fonctions commerciales. Un résultat qui n’est pas surprenant puisque ce sont les utilisateurs chez qui le taux d’équipement en terminaux mobiles (fournis par l’entreprise) est le plus élevé.
De même, les managers (28%) et membres de la direction générale (27%) sont les deux autres catégories les plus concernées par ces applications mobiles.
A ces utilisateurs s’ajoutent des salariés de l’entreprise dont la fonction les place quotidiennement en situation de mobilité (techniciens en intervention, consultants…).
Des applications d’abord au service des métiers
Le résultat est très net : les applications se destinent très majoritairement aux métiers (75%), c’est-à-dire destinées à permettre aux fonctions de l’entreprise (marketing, commerciale, finance…) de remplir leurs missions.
Les applications orientées organisation, c’est-à-dire transverses, sont elles moins critiques, bien que concernant néanmoins 35% des répondants.
Les outils commerciaux en priorité
Créateurs de valeur (et surtout de revenus) dans l’entreprise, ce sont les fonctions commerciales et marketing qui sont clairement privilégiées en termes d’outillage applicatif. Les applications métiers déployées auprès des utilisateurs sont donc des solutions de types CRM (40%) et de vente (38%).
Les métiers de la logistique, une fonction cruciale pour nombre d’entreprises, vont eux aussi bénéficier d’applications mobiles (35%).
Le décisionnel est lui aussi amené à trouver sa place dans le parc applicatif mobile des entreprises.
Cela s’explique par la part importante des projets destinés aux managers et à la direction générale, mais aussi aux fonctions commerciales, consommatrices de données pour leur pilotage.
La messagerie enrichie, une application incontournable
39% des projets de déploiement d’application mobile concernent l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise. Et parmi ces projets, la messagerie électronique, et ses fonctions périphériques, s’impose comme incontournable.
Ainsi, parmi les déploiements d’outils organisationnels, 80% portent sur la messagerie et les fonctionnalités qui lui sont rattachées comme le calendrier et le gestionnaire de contacts.
A ces applications transverses s’ajoutent des logiciels accessibles sur mobile de gestion des congés, des notes de frais, mais également des déplacements (rangés dans la catégorie autre application).
Android et iOS : les OS de prédilection
En termes de plates-formes retenues par les entreprises pour leurs projets d’applicatifs sur mobile, c’est (presque) sans surprise Android et iOS qui s’imposent.
Avec une lueur d’espoir pour Microsoft, qui malgré la part de marché très faible de Windows Phone, est cité par 25% des répondants.
Si les terminaux Apple ont trouvé leur place dans l’entreprise, poussés généralement par les membres de la direction et les cadres, ce n’est néanmoins pas iOS qui s’affiche comme le premier OS cible des projets, à 54%, contre 62% pour Android. En cause, le modèle verrouillé de l’éditeur ?
La télédistribution, comme pour le déploiement classique d’applications sur le poste de travail, reste très nettement le mode retenu pour les applications mobiles natives. A noter néanmoins que 35% des répondants déclarent envisager la mise en place de boutiques d’applications privées de type App Store.
Pour 24% d’entre eux, l’accès aux applications (pas nécessairement développées en interne) se fera par le biais d’un App Store public. Un mode de distribution qui impose de composer avec les règles de ces boutiques. D’autres modes comme l’extranet sont cités parmi les autres réponses.
Sécurité et hétérogénéité : des contraintes fortes
Dans le cadre des projets d’applications mobiles, la sécurité (62%) et l’hétérogénéité des parcs de terminaux (45%) apparaissent clairement comme les deux principales contraintes.
Les entreprises peuvent en effet exploiter des appareils sous différents OS, ce qui pour des applications natives, imposent de développer deux clients logiciels distincts. Le choix d’applications en mode Web lève en partie cette contrainte.
La gestion du cycle de vie des applications est une autre contrainte forte (37%). Elle découle en grande partie des caractéristiques des grands OS mobiles, conçus pour le marché grand public.
Ainsi ces versions changent régulièrement et parfois en profondeur, ce qui influe directement sur la compatibilité des applications mobiles développées par ou pour les entreprises.
Source :Christophe Auffray -ZDNet France. 07/2012