E.MARKETING & E.COMMERCE
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E-COMMERCE Tendances 2014
 

Le data miner, ce professionnel que les e-marchands s'arrachent.

Son travail : rendre intelligibles les données dont disposent les sites e-commerce.
 

Une mission qui nécessite de disposer de compétences solides en mathématiques, en informatique et en business.

S’il est un professionnel particulièrement difficile à recruter, c’est bien le “data miner”. Présent dans de nombreux secteurs, ce “fouilleur de données” a d’abord suscité l’intérêt des vadistes avant de devenir la nouvelle coqueluche des e-marchands.

À l’heure du Big Data, son travail est d’extraire et d’analyser les données dont disposent les professionnels du e-commerce. Autrement dit, de rendre les chiffres intelligibles pour définir précisément le profil des utilisateurs.

Il doit, pour cela, être doté d’excellentes aptitudes en mathématiques, de solides compétences en informatique et d’une approche subtile du business. Ce qui fait de la poule aux œufs d’or un vrai mouton à cinq pattes… Ce profil n’existe pas vraiment sur le marché de l’emploi.

Très peu de gens sont capables de faire du
data mining à échelle industrielle. Seuls, les plus grands acteurs peuvent s’entourer de gens ayant ces compétences : Google, Amazon, Microsoft, Facebook…”, explique David Bessis, président de TinyClues.

Cette société propose à des sites marchands (dont plusieurs du “top 10” français) des prestations de data mining. Actuellement en phase de recrutement, elle éprouve elle-même des difficultés à dénicher la perle rare. “Ce n’est pas facile. Il nous faut, à la fois, embaucher des personnes très fortes en mathématiques et de très bons développeurs.” Les élus auront un bagage scientifique de très bon niveau et une aisance avec les algorithmes. Ne restera plus qu’à le former à l’outil informatique.

Dans l’e-commerce, le data miner peut utiliser les bases de données utilisateurs, les catalogues produits, l’historique des achats ou les données de navigation sur le site…

David Bessis note un potentiel du côté des jeunes diplômés, aguerris au machine learning, cette discipline qui consiste à apprendre à la machine à adapter son comportement en fonction des données.

Il constate, en revanche, “une vraie pénurie au niveau du management, qui va mettre du temps à se résorber. Beaucoup d’e-commerçants sont assez démunis et le concèdent volontiers”, explique-t-il.

Si tous les e-marchands, loin s’en faut, ne peuvent convaincre le data miner d’Amazon de les rejoindre, Pierre Cannet, general manager du cabinet de recrutement Blue Search, évoque plusieurs niveaux de compétences intermédiaires : “On va avoir besoin de collaborateurs qui font des extractions de base, du scoring, de l’exploitation de campagnes de marketing direct… Un chef de projet ou un responsable les pilotera.

Enfin, un troisième niveau est incarné par un directeur marketing multicanal, un directeur fidélisation ou un patron du CRM.”

Les salaires dépendent évidemment des compétences et des responsabilités. TinyClues va préférer former ses salariés en interne : “Nos salaires à l’embauche ne sont pas forcément très élevés. Cela va commencer entre 40 K€ et 50 K€. Les stocks options vont davantage attirer les postulants.  Chez les e-marchands, le salaire est plus élevé, mais il n’y a pas de potentiel de stock-options.

En France, dans l'univers de l'e-commerce, le salaire des data miners peut atteindre, voire dépasser, 100 K€ annuels.

Myriam KISS. Anild  20/09/2012 - Source : Gaël Lombart    http://www.ecommercemag.fr

 
 
 
 
Logo DRAPEAUX Europe en rond

L’association européenne E-commerce Europe
est entrée dans sa phase opérationnelle
depuis 2012

Un site Web en ligne à l’adresse ecommerce-europe.eu, un comité exécutif et des premiers adhérents…

L’association E-commerce Europe, créée à l’initiative des fédérations professionnelles de sept pays européens
est désormais opérationnelle.

Basée à Bruxelles, elle va «représenter les intérêts du e-commerce auprès des institutions européennes et accompagner le développement du secteur en Europe».

Son comité exécutif est composé d’Annette Falberg, déléguée générale de la Fédération professionnelle du e-commerce danois (FDIH), de Wijnand Jongen, délégué général de la Fédération néerlandaise du e-commerce, et de Marc Lolivier, délégué général de la Fédération française du e-commerce et de la vente à distance (FEVAD).

Trois sujets seront au cœur des travaux de l’association européenne dans les prochains mois :

Le premier est la régulation du secteur via la législation européenne. Nous porterons une attention particulière à la législation sur les données personnelles, explique Annette Falberg.

Le deuxième champ d'intervention est la e-logistique. Nous allons dresser un inventaire de ce qui est nécessaire pour la logistique européenne afin qu’elle fonctionne efficacement. Le troisième sujet est les paiements électroniques.

Nous devons évoluer vers des normes européennes. Les opérations de paiement en Europe sont actuellement beaucoup trop disparates».

Le premier conseil d’administration de l’Association se tiendra lors du Global E-commerce Summit s'est déroulé à Barcelone du 4 au 6 juin 2012.

 En ouverture de ce congrès, l’association organisera trois pré-conférences sur l’e-logistique, l’e-paiement et la vie privée.

Sept fédérations professionnelles du e-commerce font partie des membres fondateurs de E-commerce Europe : BeCommerce (Belgique), la Fédération professionnelle du e-commerce danois (Danemark), la FEVAD (France), Netcomm (Italie), Thuiswinkel (Pays-Bas), Distansehandel Norge (Norvège) et Svensk Distanshandel (Suède).

Parmi les premiers partenaires commerciaux, on compte les groupes GfK et Hybris logiciel (Allemagne), Grupa Allegro Sp.zo.o (Pologne), la Norvégienne des postes (Norvège), Ogone (Belgique), Spring Global Mail et TNT Post (Pays-Bas).

 Logo RUBAN Homo
 

Selon la Commission européenne, CETA n'est pas ACTA

Durant la semaine du 9 au 13 juillet 2012, un professeur de droit canadien, Michaël Geist expliquait qu'un nouveau traité commercial proche des termes de l'ACTA était en négociations entre le Canada et l'Union européenne.

Baptisé CETA, ce texte censé établir de nouvelles relations commerciales entre l'Europe et le Canada fut alors la cible des critiques. La Commission européenne a expliqué que les articles en cause avaient déjà été retirés des débats.

En effet, le professeur Geist expliquait ainsi que le CETA comportait des mesures relatives à des obligations imposées aux fournisseurs d'accès à Internet.

Ces derniers seraient ainsi sommés de fournir rapidement des informations aux ayants droit sur certains de leurs abonnés lorsque ces derniers sont suspectés d'avoir utilisé sans autorisation du contenu soumis aux droits d'auteurs.

 

De son côté, la Commission européenne a réfuté toute similitude entre les deux traités.

John Clancy, porte-parole du commissaire européen au commerce, Karel De Gucht a ainsi publié plusieurs messages sur son compte Twitter afin de préciser qu'il n'est pas juste de tracer des parallèles entre ACTA et CETA

Il ajoute que les articles 27.3 et 27.4 du traité récemment repoussé par les eurodéputés « ne font plus partie de la version actuelle de CETA. Le texte divulgué date de février et a évolué ». Reste donc à connaître les détails exacts de cette nouvelle mouture.

Myriam KISS. Anild 07/2012 - Source : O. Robillart. Pro.clubic.com

 


Les ventes sur Internet ont progressé de 11% sur 2014.

Au total, les Français auront dépensé 57 milliards d’euros en ligne, d’après une
étude publiée par la Fevad fin janvier 2015.  

Voici de quoi donner du grain à moudre aux professionnels du e-commerce:
  • 1/ Bien mettre en valeur les produits: des photos de belle qualité, plusieurs vues, un zoom.
  • 2/ Employer un vocabulaire direct et engageant: utiliser des verbes d’action, être concis
  • 3/ Rassurer: afficher constamment les modalités de livraison, de retour, la sécurisation des paiements…
  • 4/ Optimiser la recherche: avec un moteur intuitif et des résultats clairs et pertinents
  • 5/ Encourager à l’achat: animer la page d’accueil du site, hiérarchiser l’offre.
  • 6/ Tirer profit de la communauté déjà cliente: avis et notation entre membres
  • 7/ Accélérer le processus d’achat: minimiser le nombre d’étapes !
  • 8/ Homogénéiser l’expérience sur les différents terminaux
  • 9/ Créer du contenu de marque: des contenus ludiques et utiles en lien avec les produits
  • 10/ Enfin, Tester sans cesse de nouvelles stratégies marketing !
Source du 28/08/2015 : http://www.frenchweb.fr/





























































































































































































































































































 
 
 



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