FORMATION & EMPLOI
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FORMATION STRESS
 
 
Google annonce le lancement d’un programme de formation gratuit,
pour aider ceux qui le souhaitent à maîtriser les outils numériques.

Il s’agit de 89 cours en ligne « pour faire du numérique un moteur de réussite ». 

Pour y accéder, rendez-vous sur ce site dédié :
 pourlespros.withgoogle.com.

 
Le programme de formation s’adresse à tous : les cours sont personnalisés en fonction des compétences déjà acquises et des aptitudes à perfectionner, grâce à un diagnostic pré-formation.

En tout, ce sont 89 cours et plus de 6 heures de formations en vidéos (
réalisées par l’agence JVWEB), regroupés en 23 thématiques :
  • du développement d’une activité sur Internet à la création d’un site web en passant par la gestion des présences sur les réseaux sociaux.
À l’issu de chaque cours, vous pouvez vérifier et valider l’acquisition des compétences grâce à des quiz et suivre votre progression.

À la fin de la formation, vous passerez un test final permettant d’obtenir une certification Google approuvée par l’IAB Europe.

La formation est composée de cours classiques et de témoignages de professionnels du numérique. Ils expliquent les leviers qu’ils ont actionnés pour faire grandir leur activité ou obtenir de bons résultats dans leur domaine de prédilection (marketing, business development…).

Une bonne manière d’allier l’acquisition de compétences empiriques et la compréhension de l’application concrète de ces notions.
pourlespros.withgoogle.com    

Ces billets devraient vous intéresser : http://www.blogdumoderateur.com

 Source : Thomas Coëffé | 7 décembre 2015 http://www.blogdumoderateur.com/
 
 
 
 
  GD Prestige, société d'intérim spécialisée dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie.

39, rue de Châteaudun 75009 Paris         Tél : 01.53.20.88.77- Fax : 01 53.20.88.78

 

 
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Pour en savoir plus : L’impact des TIC  sur les conditions de travail

http://www.strategie.gouv.fr/system/files/raptic_web_light_final28022012.pdf.pdf_0.pdf

 
 
 
 
 

JOBS recherche et loupe
 

Recrutement

Emploi : les sites d'annonces gratuites hors la loi

Les sites d'annonces gratuites se sont lancés sur le créneau des offres d'emploi. Avec pour crédo, la proximité, et pour clients principaux, les petites entreprises. Mais un certain nombre d'annonces ne respectent pas la loi sur les discriminations. Enquête.

" Recherche une serveuse ", " Temps partiel pour senior ".... Les offres d'emploi fleurissent sur le Web, en particulier sur les sites d'annonces gratuites. Trente minutes suffisent pour en recenser une bonne dizaine...

Les leaders Leboncoin et Vivastreet profitent d'un marché hyperlocal où les recruteurs souhaitent minimiser leur budget de recrutement et évitent les job boards classiques pour recruter.

 

  • Leboncoin revendique 500 000 annonces publiées, par jour, toutes catégories confondues : environ 1 500 à 2 000 sont des offres d'emploi.

Offres d'emploi sexuées. Le hic : ces annonces sont bien souvent hors-la-loi.

Selon Michel Miné, professeur de droit du travail au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), " les offres d'emploi, qui sont sexuées,
sont discriminatoires, sauf pour un nombre très limité de métiers comme mannequins, comédiens/comédiennes ou modèles ". Elles engagent la responsabilité pénale et civile de l'employeur auteur de celles-ci (article L. 1142-1-1 du code du Travail).

Le recruteur est passible d'un an d'emprisonnement et d'une amende de 3 750 euros. " Le sexe n'est pas une compétence pour un métier ", réagit Sébastien Bompard, président de l'Association "A Compétence Egale", à la lecture d'une annonce pour un poste de barmaid. " Il y a obligation de spécifier qu'un emploi est aussi bien
ouvert aux hommes qu'aux femmes ", poursuit-il.

Une annonce sur deux retoquée. Les sites considèrent pourtant qu'ils remplissent leurs obligations. " Environ 120 personnes relisent l'ensemble des annonces pour s'assurer qu'elles respectent la législation française ", assure Olivier Aizac, directeur général du site Leboncoin. Il indique que 40 % des annonces postées dans la rubrique Emploi sont refusées a priori.

Des modifications sont alors demandées aux employeurs.

Chez Vivastreet, qui recense 2 000 nouvelles
annonces d'emploi quotidiennement, " une équipe de modérateurs français travaille depuis Londres, notamment à partir de mots clés qui permettent de voir si une annonce est problématique ", explique Julien André, responsable de la partie Emploi.

Il précise qu'un livret avec des informations sur le cadre légal vient d'être édité et est désormais partagé par les services clients et modération
Sur Leboncoin, des règles de diffusion spécifiques rappellent qu'" il est interdit d'indiquer des limites d'âge maximales, des dispositions discriminatoires ou sexistes en particulier ".

Le site fait également mention d'une circulaire de l'administration datant du 2 mai 1984 - sans plus de détails - précisant qu'il est obligatoire de mentionner les deux genres. Chez Vivastreet, aucune indication particulière concernant la rédaction des offres d'emploi n'est consultable sur le site.

 

Les diffuseurs se défaussent. Ces procédures de " qualité " peuvent sembler minimales. De fait, les annonces oubliant de préciser " homme/femme " ou portant mention d'un âge sont régulièrement mises en ligne jour après jour. " Nous serions tenus d'indiquer à chaque fois H/F pour tous les postes".

"Dans la pratique, nous ne le faisons pas, nous ne repassons pas sur chaque annonce. Nous avons encore du travail pour que toutes nos annonces soient conforment à la loi ", confesse Julien André.

Il indique que, d'ici à trois mois, de nouvelles fonctionnalités seront mises en place pour que le contenu s'améliore. Sans préciser toutefois s'il s'est assigné un objectif précis concernant les annonces discriminatoires.

De son côté, Olivier Aizac minimise le phénomène, notamment en regard du volume global d'annonces que traite Leboncoin quotidiennement. " Le ratio est faible ", argue-t-il. Il estime aussi qu'il s'agit plus " du langage courant et de la maladresse plutôt qu'une volonté de discrimination ". Les deux responsables expliquent que la grande majorité des recruteurs sont des TPE ou de petites PME qui ignorent souvent le droit du travail et les 18 critères de discrimination. Et, d'une façon générale, rejettent la faute sur ces entreprises, tout en reconnaissant un besoin de pédagogie et d'évangélisation sur le sujet.

Co-responsabilité. Olivier Aizac assure avoir une obligation de moyen, et non de résultat, en la matière. Sébastien Bompard, qui a vu une nette amélioration au sein des jobboards payants (Keljob, Monster, Cadremploi...) avec l'instauration de procédures de contrôles strictes, s'indigne de cette légèreté : " Il est impératif que ces sites se mettent en conformité avec la loi. Je les invite grandement à mettre en place un suivi car ils sont coresponsables ".

Sur la même ligne, Michel Miné assure que le diffuseur voit sa responsabilité engagée.

Le son de cloche est identique chez Pôle Emploi, qui a publié en 2010 un guide juridique intitulé " La rédaction des offres d'emploi sur Internet ".

L'opérateur public écrit : " Le fait de porter une mention discriminatoire dans une offre engage la responsabilité [...] des personnes physiques concernées (annonceur, diffuseur, personne qui enregistre, contrôle ou valide l'offre avant sa mise en ligne...). " Pôle emploi ajoute : " Lorsque les responsables d'un site Internet ont connaissance de mentions discriminatoires, ils ont l'obligation de les retirer sous peine de voir leur responsabilité engagée. "

Mais Olivier Aizac rejette l'argument : " Nous sommes juste un hébergeur et n'avons donc pas de responsabilité juridique. " Les annonces d'emploi discriminatoires semblent avoir encore quelques beaux jours devant elles...

 


Que faire face à une annonce discriminatoire ?

Comme le précisent les sites d'annonces gratuites, il est possible au candidat de signaler un contenu abusif ou non conforme afin qu'il soit retiré et modifié. En outre, il peut se présenter à l'entretien malgré l'intitulé ou saisir le conseil de prud'hommes, même en l'absence de relation de contrat de travail (Chambre sociale de la Cour de cassation, 20 décembre 2006 n° 06-40662).

Le
Défenseur des droits, qui a repris les attributions de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), peut également être saisi par écrit par toute personne s'estimant victime de discrimination.
   Source : Manuel Jardinaud. LEntreprise.com  24/05/2012

 

  L'Observatoire économique de la FFP

Mis en en place en 1997, l'Observatoire économique de la FFP mesure, chaque année, l'évolution de l'activité des organismes privés de formation.

Cet outil permet de recueillir des données économiques et sociales sur le marché et de repérer les grandes tendances qui se dessinent.

Les enquêtes sont réalisées auprès des organismes, adhérents à la FFP, qui représentent environ un tiers du chiffre d'affaires du marché, tout secteur confondu.

Quelles évolutions ont marqué l'activité des organismes de formation durant l'année ? Comment les dirigeants envisagent-ils l'avenir ? Quels développements pour les dispositifs de formation (VAE, DIF,...)  Quelles nouvelles attentes des clients vis-à-vis des prestations de formation ?

Telles sont quelques unes des thématiques qui sont régulièrement présentées lors de la conférence de presse des résultats de l'observatoire économique (Etude de l'année : bilans et anticipations) de la FFP qui a lieu chaque année.


 
Les démarches qualité

La qualité, c’est « l’ensemble des caractéristiques d’une entité qui lui confère l’aptitude à satisfaire des besoins exprimés ou implicites ». Concernant le secteur de la formation professionnelle continue, les démarches qualité apparaissent dès les années 80 et se sont fortement développées ces quinze dernières années. Ces démarches se déclinent sous trois formes principales : les labels, les normes et les certifications.

La FFP a toujours considéré comme essentiel la démarche qualité dans lesquels s'engagent les organismes. Elle a, ainsi, mis en place le label OPQF (Office Professionnel de Qualification des Organismes de Formation) délivré par l'ISQ (Intellectual Services Qualification)- organisme de qualification independant reconnu par l'Etat.

Plus de huit cents organismes sont qualifiés par l'OPQF  qui apporte des garanties sur l'activité du prestataire (CV des dirigeants, attestation de clients, description des locaux et des outils pédagogiques...).

Il existe, par ailleurs, d'autres démarches qualité :

Les normes : C’est un référentiel qui précise les caractéristiques spécifiques d’un service ou d’un produit. Il a pour fonction de garantir une qualité constante aux produits et services considérés. Il existe deux types de normes différentes par leur finalité et leur forme : les normes Afnor formation continue, la norme Iso 9001.

Les certifications : C’est une procédure, généralement un audit, par lequel une tierce partie donne une assurance écrite qu’un produit ou un service est conforme aux exigences spécifiées par un référentiel.

Pour que la certification soit possible, il faut appliquer une des normes homologuées : NF (AFNOR) ou ISO 9001.

Les atouts F.F.P.
L’OPQF : une reconnaissance du professionnalisme des organismes de formation

La qualification OPQF est délivrée aux organismes de formation par l’ISQ (qualification des services intellectuels), organisme de qualification d’entreprises reconnu comme indépendant et impartial par le Cofrac (comité français d’accréditation).

La qualification OPQF a été créée en 1994, à l’initiative de la FFP et du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle. Aujourd’hui, plus de 850 organismes de formation sont qualifiés OPQF. Leur chiffre d’affaires cumulé représente plus de 15% du chiffre d’affaires total des organismes de formation professionnelle continue.

La vocation de l’OPQF est de participer au développement, à l’amélioration et à l’évaluation du professionnalisme des organismes de formation, formalisée par la délivrance d’un certificat de qualification.

Celui-ci atteste du fait que la structure qualifiée répond à toutes les caractéristiques du professionnalisme définies par l’OPQF, à savoir :
  • posséder les compétences et les ressources nécessaires à l’exercice de son activité dans le ou les domaines demandés
  • mettre en œuvre ces compétences en adéquation avec les missions
  • délivrer une prestation de qualité, à la satisfaction du client
 
La qualification s'adresse à toutes les personnes morales exerçant une activité de formation, à titre principal ou secondaire, quels que soient leur statut, leur taille, leurs domaines d'activité, la nature de leur clientèle et leur ancienneté, à condition que leur chiffre d’affaires soit supérieur à 76 000 euros.

Indépendant dans ses ressources et ses décisions, l’OPQF est reconnu par l'Etat, qui participe à ses instances. L'OPQF a une représentation tripartite qui associe les prestataires de formation, les clients (acheteurs, OPCA) et des représentants de l'intérêt général (personnalités qualifiées, DGEFP).

La qualification OPQF constitue une référence déterminante pour les professionnels, les clients et les pouvoirs publics. Elle est identifiée dans le code des Marchés Publics de 2006.

Outre qu’elle confère à l’organisme de formation une reconnaissance de son professionnalisme, la qualification OPQF constitue, avec l’adhésion à la fédération, une condition pour bénéficier de l’habilitation à délivrer des Certificats Professionnels FFP. Pour en savoir plus :
www.opqf.com
 
 Financez votre formation
Selon la formation visée et votre situation personnelle, votre contribution au financement de votre formation sera différente. Il est donc important pour vous de faire le point sur ce que vous percevrez pendant la formation et sur les coûts qui resteront à votre charge.

A savoir : si vous suivez une formation dans le cadre d’un contrat de travail en alternance (contrat d’apprentissage ou contrat de professionnalisation), vous avez un statut de salarié et le coût de la formation est pris en charge par votre employeur.
Pour plus d’information, rendez-vous sur le portail de l’alternance : www.contrats-alternance.gouv.fr

Un conseil au préalable
N'oubliez pas : consultez votre conseiller Pôle emploi avant d'entamer toutes démarches et pour valider votre dossier de formation.

Le conseiller vérifiera avec vous votre situation par rapport à votre rémunération durant le stage et les possibilités de prise en charge ainsi que les conditions administratives liées à la formation.

Dans tous les cas, ne versez jamais d'arrhes ni de droits d'inscription à un organisme de formation sans vous être assuré des possibilités de prise en charge financière de vos frais et de la rémunération que vous percevrez.












































































































































































































































































 
 
 



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